J’apprends par une vidéo (ICI) que l’Armée Française est livrée, en masse, en hexachloroquine (la médication préconisée par le Docteur Raoult), pendant qu’un décret inique interdit que cette médication soit accessible aux malades non encore mourants, et interdite de prescription aux médecins qui avaient pourtant eu le droit de la prescrire depuis 50 ans. Le scandale est énorme, terrifiant, car ce sont des milliers de morts que ce Gouvernement a sur les mains. SCIEMMENT ?

 

Cela sans parler des autres scandales. Deux mois de retard dans la production de tests, car le Gouvernement refusait de répondre aux entreprises françaises qui en proposaient la fabrication. La destruction d’un milliard de masques, le restant étant donné à la Chine ou à des pays africains et laissant la France démunie pour d’obscures raisons économiques, l’économie en question coûtant aujourd’hui des milliers de vies, et coûtant un prix astronomique et encore non chiffrable aux Français qui avaient payé ces masques avec leurs impôts.

 

Voici une vidéo qui interpelle aussi fortement:

Je ne suis certes pas qualifiée pour dire si c’est un remède miracle. Je fais seulement le constat que le Gouvernement, au mieux, a perdu totalement la capacité de gouvernance du pays et est strictement incompétent face à cette pandémie. Au pire, qu’il est complice avec une clique de médecins payés par les laboratoires pharmaceutiques, désireux d’imposer à tous un vaccin très lucratif pour leur business privé. Et qui a intérêt à exterminer un maximum de « vieux » et de gens qui sont fragilisés par leur état (diabète, obésité) ? Car il est bizarrement et diaboliquement bien ciblé, ce virus. Il décime en priorité ceux qui coûtent cher en soins à l’Etat, ceux qui sont considérés par des dirigeants politiques au cœur glacé comme des « bouches inutiles », ainsi que ceux que cette pandémie, grâce aux mesures de confinement (due à l’absence de tests et de masques) décime financièrement, les indépendants: PME, producteurs, commerçants… tous ceux sur lesquels l’État n’a pas encore tout un contrôle absolu.

D’aucun pourront trouver que mon discours n’est pas suffisamment chrétiennement bien « arrondi », ni « ecclésialement correct ». Mais qui pourra étouffer mon indignation, et celle de beaucoup, face à la vérité, quand c’est le pays que j’aime que l’on assassine  ?