Transmis par Lorraine -Écrit il y a un siècle, et tellement actuel !
L’appel de Christ, c’est de nourrir les affamés, non pas les repus, non pas ceux qui ont le cou raide; d’appeler à la repentance les pécheurs, non pas les moqueurs; ce n’est pas de construire et d’aménager confortablement des chapelles, des églises ou des cathédrales dans la métropole et d’y bercer des chrétiens-de-nom au moyen de discours savants, de prières stéréotypées ou de beaux récitals de musique [on dirait aujourd’hui : de concerts de louange !], mais de dresser parmi les malheureux des églises d’âmes vivantes, de sauver des hommes des griffes du Démon, de les arracher aux mâchoires-mêmes de l’Enfer, pour les enrôler au service de Jésus, les entraîner, et en faire la Toute-Puissante Armée de Dieu !
Il n’y a, pour accomplir cela, qu’une religion du Saint-Esprit, brûlante, nullement formaliste, et libre de tous liens, où ni l’Eglise, ni l’Etat, ni l’homme ni les traditions ne sont adorés, ni prêchés, mais Christ, et Christ crucifié.
Il ne s’agit pas de confesser le nom de Christ au moyen de vêtements spéciaux, de crosses d’argent, de croix d’or attachées à la chaîne de montre, de clochers d’églises ou de nappes d’autel richement brodées ! Mais de le confesser par un sacrifice, et un héroïsme audacieux dans les tranchées de première ligne.
Dans un combat corps à corps avec le monde et avec le Diable, les bonnes petites sucreries bibliques ne sont pas plus utiles qu’une sarbacane pour la chasse au lion. Ce qu’il faut, c’est un homme que rien ne retienne, et qui assène les coups à droite et à gauche aussi fort qu’il peut, en mettant toute sa confiance dans le Saint-Esprit.
Ce n’est pas la prédication, mais la mise en œuvre de la foi qui atteint efficacement l’adversaire et qui confond le monde, car elle est sans réplique.
Ce n’est pas dans des écoles qu’on s’y forme, mais dans la rue.
C’est un cœur brûlant et libre et non une cervelle bien faite qui envoie le Diable au tapis.
Les seuls chrétiens qui comptent ici doivent être fulgurants comme l’éclair.
Et le meilleur diplôme, pour le service de Christ, c’est d’avoir renoncé à toute renommée !
Je suis plus que jamais résolu à ne laisser mettre autour de nous d’autre limite et d’autre enceinte que celles qui ont été fixées par notre Seigneur Lui-Même quand il a dit : « Jusqu’aux extrémités de la terre« , et « A toute créature« .
Je suis et je serai toujours du parti du « Grand Dieu », et je ne veux pas avoir à faire avec les gens d’un petit Dieu !
Le plus dur, c’est d’admettre qu’il Lui plaise de se servir de misérables vauriens comme nous, mais il est vrai qu’il préfère les insensés de la foi à ceux qui ont des capacités et du savoir.
Tout ce que Dieu exige, c’est un coeur; tant pis pour la tête, n’importe quel simple navet peut faire l’affaire; tant qu’on demeure vide de soi-même, tout va bien, car c’est alors qu’il nous remplit du Saint-Esprit.
PAYER LE PRIX
Le baptême de feu du Saint-Esprit transformera les chrétiens tièdes et mous pour en faire, au service de Christ, des héros brûlants, plein d’allant, qui se battront et se feront tuer, mais jamais ne marqueront le pas [ : ne se soumettront à l’esprit du monde, ou au carcan des traditions chrétiennes].
Courrons vers le but céleste !
S’il nous arrive malheur, ce ne sera que pour tomber dans les bras de Jésus. Ces « malheurs »-là sont la bénédiction la plus précieuse de Dieu.
Ne t’encombre pas de bagages comme un train de marchandises !..
Il y a des gens assez stupides pour nier le Diable sous prétexte qu’ils ne le voient pas. D’autres érigent une pierre sur ce qu’ils croient être sa tombe. Mais il faut être sage, et ne pas le nier ni l’enterrer : il faut le tuer avec les armes de l’Evangile.
CLOUEZ LES COULEURS AU MAT !*
*(voir explication en bas de page)
Il n’y a pas autre chose à faire. Faites-le donc, et tout de suite !
Quelles couleurs donc ? Les couleurs du Christ, c’est-à -dire l’œuvre qu’il nous a donnée à faire, l’évangélisation de tous ceux qui n’ont pas l’Evangile.
Christ n’a que faire des grignoteurs du possible, il lui faut des déracinés de l’impossible, confiants dans la toute-puissance, la fidélité et la sagesse du Sauveur qui leur a donné ses ordres.
Y a-t-il un mur en travers de notre chemin? Au nom de notre Dieu, nous sauterons par-dessus.
Y a-t-il des scorpions ou des bêtes fauves sur la route ? Nous les piétinerons.
Une montagne arrête-t-elle notre avance ? Nous lui dirons : « Ote-toi de là , et jette-toi dans la mer ! » et nous poursuivrons notre marche.
Soldats de Jésus ! Ne vous rendez jamais! Clouez les couleurs au mat !
Ceux qui regardent à Jésus ne sont à leurs propres yeux que des sauterelles, mais ce sont des géants aux yeux du Démon.
« Suis-moi », dit Jésus; et tout en répondant: « Je viens », nous oublions plus ou moins que Christ ne s’est jamais complu en lui-même et qu’il s’est fait pauvre volontairement, pour sauver les autres et devenir le premier de tous les missionnaires en terre étrangère.
Nous prions tous pour devenir semblable à Jésus, mais en même temps nous refusons d’en payer le prix !«
Charles Studd
Note sur l’auteur :
* Ce texte a été écrit par l’évangéliste anglais Charles Studd, probablement en 1916. Après avoir travaillé en Chine dans la Mission d’Hudson Taylor, il se tourne vers l’Afrique est s’y investit totalement. Le prix à payer est très élevé, et la moisson grande également. Charles Studd revient plusieurs fois en Angleterre, et il est choqué par la tiédeur des chrétiens (pourtant cette nation a donné au monde de grandes missions d’évangélisation). Prenant en main la rédaction d’un journal il y lance plusieurs appels, dont celui-ci » clouez les couleurs au mat « . Par cette expression que chacun à cette époque peut clairement comprendre, l’auteur exprime la plus grande des déterminations. Quand un fortin isolé en pays hostile est attaqué, l’ennemi cherche à s’en emparer et il s’attachera particulièrement à ravir ce qui fait son identité : son drapeau, ses couleurs, sa bannière.
Lorsque, après des combats acharnés, les assiégés souhaitent faire leur reddition, ils « amènent » les couleurs, descendent leur drapeau, et le remplacent par un drapeau blanc, vaincus.
Afin de n’être pas tenté de se rendre, et pour bien marquer sa détermination, l’auteur « cloue littéralement ses couleurs au mat ». Son geste est définitif, le retour en arrière est impossible.
C’est un témoignage pour soi-même, mais aussi et surtout pour l’ennemi ! Cela signifie : « jusqu’à la mort, car je ne me rendrai jamais ! »
Clouer les couleurs au mat ne concerne pas seulement l’évangélisation, ou l’appel missionnaire…. C’est le symbole d’une décision prise à laquelle nous voulons donner un caractère définitif (Le Sarment).
«
» Il y a au service de Christ en Angleterre (pour quarante millions de pacifiques citoyens déjà évangélisés), au moins deux fois plus « d’officiers » – de chefs/de serviteurs de Dieu en uniforme – qu’il n’y a de troupes de toutes sortes à combattre au front parmi douze cent millions de païens ! Cela ne les empêche pas de s’appeler « Soldats du Christ »!
Je me demande comment les anges les appellent !
La brigade des « Sauvons d’abord l’arrière » prend la digne succession des « Je te prie de m’excuser » de la parabole. »
ah ce texte me met le feu encore plus que le feu,je ne connaissais pas cette expression « clouer au mat la bannière de l’éternel » ça c’est bien
ma devise à moi,et ils m’ont entendue le dire ici » je n’abandonnerai jamais »
donc c’est ça ! j’étais dans le vrai moi alors! je sens que je vais mettre l’artifice final , puisque c’est hallal ,hallal veut dire permis donc allons y tous à fond les gamelles et les bouchées quadruples
par contre les rassasiés comme je les appelle,les cous raides comme les appellent JESUS ,là c’est dur ,sérieux !
donc,voilà ma direction pour la nouvelle année. De toute façon ,j’ai toujours cherché dans la foule les affamés de DIEU ,qu’ils soient en costume ou en jean ou en mini jupe ben oui, y en a ,ben à cause de cette fichu mode et d’autres carrément qui ont grandi prés de moi ,en hijab fashion et de plus les françaises sont canon avec ce truc,non sérieux. Avant elles étaient quelconques et maintenant elles ont une sorte d’aura de sainteté factice
elles comptent dans la socièté et c’est pareil pour les garçons
je vous dis : on me les a volés, mais JESUS va me les rendre tous et toutes un à un et tous ensemble
merci ,MICHELE ,je le sais tu es bénie et tu nous bénis en JESUS , que l’éternel te donne encore plus de sa grâce , de sa puissance , de son repos et plus et plus de bénédictions , tu es une grande bénédiction toi même pour nous tous en JESUS
mais ,ici,il me semble pousser des ailes de feu ,depuis que j’y viens,et ça fait trés longtemps , et pousser par le ailes de l’ESPRIT . En vérité JESUS m’a mis la préssion afin que j’ai le courage de parler en vérité , et témoigner de ce qu’il a fait dans ma vie
et vous l’avez reçu ,à mon grand étonnement ,avec une grande foi ,plus que la mienne propre qui, pourtant, l’ai vécu
et là je me suis rendue compte d’un truc que t’as dit, à savoir que JESUS m’avait mise dans une cité pourrie
tu rigolerais,(mais c’est pas drôle) comment j’en avais parlé à l’époque ,j’étais pas contente du tout ,du tout , du tout ,j’avais jamais de ma vie habité une cité , mais celle là un vrai cauchemar de dickens ,les misérables en sus !
et je te parle même pas du paysage humain ,la vraie de vraie déchéance,et moi j’arrive ici
je ne le savais pas MAIS JESUS avait bloqué toutes les portes alors, ce que je prenais pour du racisme c’est tout , c’était surtout sa main à lui ,je me croyais abandonnée moi
!
Ici, tout de suite,je me suis fait racketter d’une manière vraiment bizarre et t’as raison , JESUS savait trés bien ce qu’il faisait avec mio
ai je la tête à me faire racketter deux fois ? non!
par amour je donnerais mes yeux,mais par force c’est même pas la peine !
je suis une résistante pure et dure ,donc,j’ai pris le taureau par les cornes et j’ai commencé avec la principale racaille, mais lui ,sortait de sa bouche les démons de l’enfer et cela faisait rire tout le monde ; l’air était pollué par ses invectives avec une voix rauque par l’alcool
bref,je suis tombais à genoux en larmes devant JESUS et je l’ai supplié de le faire s’arrêter de blasphémer à longueur de journée ,
J’étais là à prier et le gars s’arrête au milieu d’une phrase et le silence total jusqu’a ce jour
quand j’ai vu que JESUS avait fait ce miracle et ben j’ai continué comme ça ,pour toutes les choses, petites ou grandes
bon ,on m’appelle aussi la musulmane chrétienne,tu vois ça, pour eux tous les arabes sont musulmans, alors ,je recommence à chaque brèche d’expliquer pourquoi je ne suis pas musulmane
mais mon histoire ne tient pas debout pour eux, c’est trop . ben je leur mets au défi que mon DIEU JESUS est le tout puissant Sauveur ET je pensais naîvement que s’ils voyaient JESUS dans leur vie leur donner ce qu’ils désirent , ben, ils viendraient alors à lui
ben,non ! ces nouilles ils ont cru que c’est moi qui fais ces choses là ! Oui je prie, mais si c’était moi,je n’aurais pas besoin de supplier ,jeuner ,crier à DIEU pour eux
j’ai usé de tout mes talents,jusqu’au fameux couscous, mais rien ! ils me prennent pour une bonne poire ou une bonne pomme c’est au choix ,ils m’aiment et me craignent en même temps ,va comprendre ! pourtant c’est moi qui prend des risques pour les défendre ,
ah si j’avais été un homme ,du sais du style rambo
mais,si tu me vois,ben ,je suis RIEN
les pierres ici se sont transformées par mes prières ,mais je pleure là
mais,leurs coeurs de pierre pas encore
et mon coeur s’est transformé en poussière pour eux ,je suis jalouse pour eux mes frères et soeurs en CHRIST d’abord ET EUX ENSUITE
d’une jalousie de DIEU !
ps,le matin de noel dans ma ville ,pas un chat,le jour que j’aime le plus de l’année ,le calme parfait seuls les goëland dans le ciel froid ,ah c’est pour moi ça
tranquilou un jour parfait pour JESUS amen
je vous aime ,je ne vous le dirais jamais assez et de l’amour de JESUS en plus le vrai de vrai en esprit et en vérité sinon ça vaut rien
en lisant le texte je pensais que cela ressemble au style engagé de Fella!