L’étude de Fabien Bruneau sur la puissance de nos paroles, très profonde, m’appelle à parler de l’effet, hélas, parfois très efficace, des malédictions que l’on prononce contre nous ou nos proches.

 

Il est bien dit dans la Bible : « la malédiction sans cause est sans effet ». Mais la Bible nous dit-elle de rester passifs ? Nous devons briser ces malédictions. Plus : nous devons proclamer la Parole de Dieu qui les détruit, car la Parole de Dieu, incroyablement puissante, ne revient pas sans effet :

Proverbes 26 : 2

Comme l’oiseau s’échappe, comme l’hirondelle s’envole, Ainsi la malédiction sans cause n’a point d’effet.

 

ON DOIT CONDAMNER CES PAROLES DE MENSONGE :

 

Esaïe 54 : 17 Toute arme forgée contre toi sera sans effet; Et toute langue qui s’élèvera en justice contre toi, Tu la condamneras. Tel est l’héritage des serviteurs de l’Eternel, Tel est le salut qui leur viendra de moi, Dit l’Eternel.

 

Je souligne tout de même que c’est efficace parce qu’on est SERVITEUR DE L’ÉTERNEL ! Tout vrai disciple est serviteur de l’Éternel, quelle que soit la tâche que le Seigneur lui confie,  même si sa première tâche devant Dieu est de travailler dans le « civil » pour nourrir les siens (1Tim 5 :8).

Mais puisque ce sont des mensonges, brisons leurs effets au nom de Jésus. Avec foi ! Et délions-nous de leur pouvoir maléfique.

Ne jamais tenter de « redresser la vérité » auprès de ceux qui ont été empoisonnés. Généralement on s’enfonce : laissons Dieu agir, mais nous, combattons et prions. Bien sûr,  si nous pouvons produire une preuve irréfutable qu’il s’agit de mensonges, il n’est pas interdit de le faire. Dieu sera toujours du côté de la vérité. Sinon, c’est Lui qui justifie. Faisons-Lui confiance !

 

Romains 8:33

Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie !

 

Il y a plus dangereux que les calomnies dont le côté mensonger est flagrant : les allusions perfides. J’ai fait de nombreuses délivrances dans ma vie. À plusieurs reprises (en fait des dizaines de fois), j’ai vu la langue de la personne que je délivrai sortir de sa bouche, littéralement comme s’il s’agissait d’un serpent. Les Africains les appellent : « langues sorcières ». Il y a un vrai pouvoir dans ces langues-là, car elles proviennent d’héritages de sorcellerie, ou de pratiques personnelles, souvent à haut degré.

Je me souviens du cas d’une femme que j’avais délivrée d’un serpent logé dans sa langue. Elle m’a rapporté ensuite qu’il suffisait par exemple qu’elle dise à quelqu’un : « fais attention sur la route ! »… et la personne avait un accident de voiture ! Son arbre généalogique était peuplé de sorciers, aussi loin qu’elle en avait connaissance. Des vrais méchants.

On trouve aussi ces langues perfides et très dangereuses chez les Pervers Narcissiques Manipulateurs (PNM). Je l’ai subi à plusieurs reprises. Ce sont des langues doubles, tout  comme le sont les PNM, doubles. Ils peuvent dire des choses apparemment très gentilles sur leur proie. Ils sauront glisser un venin insidieux, par petites doses ténues pour que cela ne se décèle pas, afin que les amis, voire la famille, fuit la victime. Ainsi isolée, elle est sans défense et finit même par penser, via les paroles perfides de son bourreau, qu’elle mérite cela, qu’elle n’est rien, qu’elle ne vaut rien. Souvent, elles finissent par se laisser tuer « en douceur ». Les PNM aiment torturer leurs victimes sans que l’on puisse voir la moindre trace, durant un long temps s’ils le peuvent, car ils jouissent de la voir se débattre en vain.

Même leur « bénédiction » peut receler une malédiction cachée.

Si l’on bénit son prochain à haute voix et de grand matin, Cela est envisagé comme une malédiction.

Ce qui signifie simplement qu’au grand jour, ils bénissent de manière ostentatoire pour être entendus de tous. mais à l’abri des regards, ils maudissent, ils humilient, il dévaluent, ils prononcent des mots destructeurs qui sortent droit de leur coeur mauvais.

 

Matthieu 12:34
Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l’êtes? Car c’est de l’abondance du coeur que la bouche parle.

Comme les PNM sont toujours des personnes dont l’identité a été détruite dans la prime enfance ou dans l’adolescence, – souvent par des actes comme des abus sexuels, surtout si ces actes ont été répétés -, ou par la violence et les humiliations, le contrôle absolu qu’ils exercent sur leur proie leur donne le sentiment de puissance : ils existent ! On  les honore dehors, dedans ils terrorisent. Et l’habileté qu’ils ont pour paraître ce qu’ils ne sont pas conforte leur sentiment de puissance. Ils ont souvent une rage froide démesurée, mais qu’ils ont appris à maîtriser et bien camoufler. Ils n’ont strictement aucune empathie pour leurs victimes: leur bulle de rage les isole eux aussi. Ils n’entendent même pas la souffrance qu’ils provoquent.

Tous ceux qui ont été confrontés à des PNM (ce peut aussi être des femmes), chrétiens compris, déclarent tous : « À fuir ». Je l’ai aussi entendu dans la bouche de pasteurs et dans la bouche de RAV. Mais ceux-là sont rares : il faut qu’ils été personnellement des victimes pour être capables d’en parler. Le degré de méchanceté et de double langage des PNM est quasi inimaginable. Mais on entend aussi de plus en plus dans la bouche de psychologues, d’avocats, de juges, de policiers, confrontés de manière répétée à ce type de criminalité particulièrement tordue, conseiller aux victimes : « FUYEZ ! »

Car par leurs paroles perfides, les PNM détruisent progressivement le psychisme de leur proie, jusqu’à ce que mort s’ensuive, et c’est la victime qui passera pour folle ou dépressive, tant de son vivant qu’après sa mort : ils y ont veillé. Tout chez eux est calculé. Un [une] PNM est forcément intelligent, sinon son double visage se verrait très vite. Alors qu’ils doivent le garder à vie.

Même si vous êtes chrétien, même si vous priez beaucoup, vous ne les changerez pas parce qu’ils ne veulent en aucun cas changer : quand leur pouvoir cesse, faute de proie, ils s’écroulent, ils ne sont plus rien (à leurs propres yeux). J’ai entendu des dizaines de témoignages de survivants qui avaient réussi à fuir, jamais je n’ai entendu qu’il y ait eu un miracle de métamorphose chez leur bourreau.

Mais on ne sait jamais ! Je ne désespère pas…

C’est en fait dans le milieu chrétien qu’ils sont les plus dangereux. Car le chrétien authentique ne se méfie pas. (1Co 13 : [la charité] ne s’irrite point, elle ne soupçonne point le mal). Donc ces faux chrétiens, vrais agents de Satan mais qui l’ignorent – car généralement, ils finissent par être convaincus qu’ils sont ce qu’ils paraissent à l’extérieur -, sont rarement détectés dans ces milieux : ils paraissent si gentils, si prévenants, toujours prêts à mettre leur savoir et leurs compétences gratuitement au service des autres, tout en isolant leur victime et en la faisant passer là encore pour la « méchante », ou la « malade ». Pour la victime, c’est la double peine. Car en sus de ce qu’elles subissent chez elles, elles trouvent un entendement bloqué chez leurs responsables spirituels, qui ne connaissent pas ces choses là et répètent: « Prie, prie, prie, … soumets-toi, soumets-toi…, tu n’as pas le droit de divorcer (non biblique !)etc.. J’ai vécu cela avec un mari, j’en ai fait un livre. Il avait déjà fait vivre cela à sa première femme, durant 48 ans. Elle en est morte et n’a jamais trouvé d’aide parmi ses responsables chrétiens successifs. Elle a supplié Dieu de l’emmener, Il l’a exaucée. Moi, Dieu m’a aidée à m’échapper avant que j’en meure !

Un jour, j’ai entendu le RAV Touitou qui parlait de ce sujet affirmer : « Ces gens-là finissent fous et seuls ». J’ai été sidérée, car c’est ce que, justement, je voyais commencer à se produire chez moi : ce mari que Dieu m’avait ordonné d’épouser, justement pour que je puisse aider un jour des victimes, était déjà en passe de devenir fou et très dangereux. Mon « bourreau » de l’époque est, aujourd’hui, effectivement, fou et seul. Même ses enfants l’ont abandonné. Terrible ! Mais c’est dans cet état et grâce à cet état, qu’il a, je crois, rencontré le salut. Dieu est bon, même pour eux, si le brisement les conduit un jour à la repentance.

Nous avons donc non seulement à les fuir car c’est leur unique chance de salut, mais aussi et d’abord pour notre propre survie. Car tant que leur proie reste à leur portée, ils ne s’arrêteront jamais.

Nous avons, là aussi, à combattre le bon combat, avec la Parole de Dieu. Je me souviens que lorsque j’ai dû prendre une décision radicale et que j’ai annoncé pourquoi, mes amis chrétiens, convaincus que j’avais le mari le plus gentil qui soit, étaient éberlués. Je n’ai pas cherché à me justifier. J’ai juste demandé à mes amis de consulter le Seigneur. L’un d’eux est revenu vers moi en disant : « Michelle, le Seigneur m’a montré ce que tu avais dû subir depuis des années : j’ai vu d’abord un alligator qui te déchiquetait de ses dents, puis un requin qui en faisait autant. »

Pas top d’être entre les dents d’un requin et celles d’un alligator ! Au final, tous mes amis proches m’ont comprise, et ma famille, immédiatement. Ils savaient que jamais je ne leur mentirai sur un sujet aussi grave ! En sus, la belle-sœur de ma fille était une avocate spécialisée dans le domaine. Donc ils connaissaient un peu ce domaine, car ils en entendaient régulièrement parler.

Oui, ce drôle de mari qui se faisait passer pour un gentil agneau était, dans le privé, tour à tour, un alligator ou un requin. Il m’a fallu huit ans avant de commencer à comprendre.

De telles personnes, hommes ou femmes, ont eu leur identité profondément blessée dans leur enfance. Ils s’en donnent une autre. Au final, à force de porter un masque, ils ne savent plus eux-mêmes qui ils sont, et franchement il est difficile, même pour un conjoint, de savoir qui est vraiment la personne que l’on a épousée. Les enfants non plus ne savent pas, et finiront par avoir à leur tour leur identité détruite, dans cette atmosphère de violence rentrée qui explose soudain sans raison. Tous le monde vit sous tension et dans la peur. La joie ? Le rire ? la détente ?… ce sont des mots qui n’ont aucun sens dans le cercle privé des PNM.

Il a fallu, après ma libération de cet enfer, que je me délie de toutes ses paroles dévalorisantes, humiliantes, méchantes prononcées jour après jour contre moi, et que je délie tous mes amis des paroles venimeuses et perfides qu’ils avaient entendues contre moi, des paroles si bien enrobées d’évangile qu’il était bien difficile de ne pas y croire !

Depuis, j’ai rencontré et subi encore plus complexe et compris ce qui m’arrivait, grâce à une ex-« femme-enfant » qui m’a témoigné de son histoire. Sinon, je crois que je n’aurai jamais pu analyser ce qui m’arrivait. Je sais que Dieu l’a mise sur ma route pour m’éclairer. Il y a parmi ces PNM certains qui épousent des personnes qui ont été broyées dans leur enfance. Aux yeux du monde, et encore plus dans l’Église, ces PNM passent pour des héros, de formidables protecteurs de ces femmes qui, en retour, les aiment. Leur amour touche tout le monde : il semble si rare ! Ces femmes considèrent leur mari comme leur sauveur et souvent l’adulent ou l’idolâtrent. Elles ne savent même pas qu’elles sont en fait des proies de choix pour ces pervers qui se font, grâce à elles, une identité publique hyper-valorisante tandis que, dans le privé, ils tiennent leur proie sous emprise et s’arrangent pour qu’elles dépende si étroitement d’eux qu’elle ne pourra jamais les quitter. Même si un jour elle ouvre les yeux.

Dans le cas du « témoin » que je cite ci-dessus, son mari lui a dit un jour, alors qu’après des années elle commençait à se rebiffer : « Tu n’es plus la poupée docile que j’ai épousée »… Et de divorcer pour épouser une autre « poupée », en fait un pauvre être tout aussi cassé !… avec l’assentiment de leur pasteur, de fait un gourou, qui a en sus aidé le mari à éloigner cette femme-enfant de ses enfants. Le pervers était parvenu à embobiner les juges jusqu’à leur faire croire que la personne dangereuse, c’était cette ex-poupée qui savait si bien encaisser coups et humiliations, sans jamais moufter. Elle a mis dix-sept ans avant d’accepter de sortir de sa culpabilité : elle avait trop été mise sous contrôle, depuis sa plus petite enfance, pour se voir autrement qu’un déchet inutile, comme on le lui avait asséné maintes fois..

Les sales paroles, entendues des centaines ou des milliers de fois de la part d’un mari qui n’avait eu qu’a continuer le rôle d’un frère PNM, avaient continué à faire leur œuvre de destruction longtemps après le divorce.

Ce sont vraiment des démons (Lire Jn 6:79), ces PNM à la si gentille apparence. Mais même s’ils protègent apparemment leur proie N°1, tôt ou tard ils ont besoin d’autres proies.

Pourquoi ? Parce que leur rage froide, meurtrière, est toujours là, tapie, mais sous contrôle.

Ils vont en trouver tôt ou tard, une autre proie (ou plusieurs), soit dans leur travail s’ils ont un poste de pouvoir, soit dans leur propre famille, soit dans leur entourage chrétien, candide par nature. Et cette proie-là, ils vont la déchiqueter lentement, en espérant plus ou moins consciemment que mort s’ensuive.

Je l’ai vécu, ce rôle de victime de remplacement, j’ai failli en mourir, mais mon Dieu ne m’avait pas abandonnée. Il a entendu mes cris, Il m’a ouvert les yeux – on a du mal à « encaisser » tant l‘apparence est trompeuse ! – mais c’est essentiel d’être enfin lucide, pour se libérer et pour mener le bon combat. En fait, on est longtemps aveugle tant des gens si gentils, si serviables, ce n’est pas possible qu’ils se transforment si vite en serpents.

 

Pourquoi ? Pourquoi? Que lui ai-je donc fait ? Des questions qui taraudent, car leur motivations, quand enfin on commence à comprendre, même si on a déjà vécu des choses comme cela, sont à des années-lumière de votre système de pensée.

Là encore il faudra bien sûr confronter des esprits méchants, mais aussi briser le pouvoir des paroles venimeuses que ces pervers ont répandu dans votre entourage en inversant les rôles. Les victimes, c’est eux. Le méchant, dangereux de surcroît, c’est vous ! Peu importe que vous  soyez âgée et handicapé, tout le monde les croit. Ils savent admirablement faire, parce qu’ils sont malins et rodés à cet exercice.

Cette fois-là, j’ai vu se déchaîner autour de moi, durant des mois, des problèmes insensés, les uns derrière les autres, avant d’en comprendre la source : les paroles de malédiction que le pervers prononçait dans le secret !

Oui, avec les mots, on peut bénir et voir se concrétiser des choses magnifiques, qui descendent droit du ciel. Mais les malédictions lancées par des gens qui ont une langue sorcière – parfois ils ne le savent même pas vraiment eux-mêmes, mais ils ont fait de longue date le constat de ce « pouvoir » et ils l’aiment – peuvent avoir de grosses conséquences si on n’y prend pas garde.

Les temps sont mauvais, le mal avance à grand pas, les méchants se multiplient. Le monde le constate, l’Église se doit d’être très vigilante. Les méchants ont des vêtements de brebis…

Nous pouvons être les témoins externes de faits semblables, alors que la victime est aveugle – elle l’est souvent – mais notre propre expérience dans le domaine nous a donné quasiment un sixième sens pour reconnaître la situation. Alors  nous pouvons combattre à la place de la proie, tandis qu’elle est encore impuissante. Ce n’est pas notre mission d’ouvrir les yeux des victimes. Seul Dieu peut le faire, à Son heure et quand elles pourront « encaisser ». Et nous n’avons pas à combattre contre la chair,  mais… (Eph 6 :12). Alors, prenons toutes les armes que Dieu nous donne et combattons à leur place…

Dieu agira car Il protège ses enfants.

 

Néhémie 4:8

Après avoir tout inspecté, je me suis levé pour dire aux nobles, aux magistrats et au reste du peuple: «N’ayez pas peur d’eux! Souvenez-vous du Seigneur grand et redoutable et combattez pour vos frères, vos fils et vos filles, vos femmes et vos maisons!»

 

Le nom de notre Seigneur est au-dessus de tous les noms. L’univers entier tremble quand on l’élève avec justice. Notre mission est de délivrer les captifs… à commencer par nous-même. La justice appartient à Dieu seul. Un jour, elle tombe, à l’heure de Dieu. Pendant ce temps, ce sont nos propres cœurs que le Seigneur travaille et cela, c’est SA priorité.

Tu nous as fait éprouver bien des détresses et des malheurs; mais tu nous redonneras la vie, Tu nous feras remonter des abîmes de la terre.

C’est dans ces tribulations, parfois terribles, et que beaucoup, sans Dieu, ne pourraient supporter,  que nous apprenons vraiment à mettre en pratique les ordres bibliques :

Romains 12:14

Bénissez ceux qui vous persécutent, bénissez et ne maudissez pas.

 

Luc 6:28

bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent.

 

 

1 Pierre 3:9

Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’insulte pour l’insulte; bénissez au contraire. Vous le savez, c’est à cela que vous avez été appelés afin d’hériter de la bénédiction.

 

Matthieu 5:44

Mais moi je vous dis: Aimez vos ennemis, [bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous détestent] et priez pour ceux [qui vous maltraitent et] qui vous persécutent,

 1 Pierre 3:9

Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’insulte pour l’insulte ; bénissez au contraire. Vous le savez, c’est à cela que vous avez été appelés afin d’hériter de la bénédiction.

C’est la condition indispensable pour que notre combat soit efficace. Pour qui est passé par là, obéir à tout cela est si difficile qu’on est vite vidé, épuisé, découragé… C’est alors nous qui avons un besoin urgent de la prière de nos frères ! Dieu merci, il nous en reste toujours, qui ne nous ont pa lâché. Dieu y veille !

Mais je vais partager un secret : côté mort à soi-même, traverser ce genre d’épreuve, c’est vraiment radical ! 🙂

 

Que mon Dieu soit béni !