Hier matin, samedi 17 août 2024, alors que je priais avec un ami, j’ai commencé à voir la Seine, en amont de la capitale, s’enfler démesurément. Pourtant, il ne pleuvait pas. Cette eau était cristalline, purifiée de tout déchet.

Elle enflait, elle enflait. À ce niveau-là, je savais qu’elle allait provoquer, forcément, une gigantesque catastrophe. D’où venait-elle ? Je ne sais, sauf qu’elle venait d’en Haut, comme si le Seigneur avait ouvert les écluses du ciel, sans pourtant qu’il en tombe une seule goutte visible.

J’ai compris ce qui allait se produire : Dieu allait laver Paris. Je savais que cela avait un rapport direct avec les cérémonies sataniques pour les J.O. qui venaient de s’achever dans la capitale, dans l’aveuglement spirituel quasi général des Français, hypnotisés par les médailles, sur les conséquences gravissimes que cela ne pouvait qu’entraîner. Et dans l’apathie quasi générale de l’Église de France (mais pas de 84 pays, pays musulmans compris, qui ont immédiatement perçu le caractère scandaleux et horriblement blasphématoire de la majorité des tableaux présentés, avec l’apologie de la perversion sexuelle et de la pédocriminalité la plus nauséabonde et la plus abjecte qui soit).

Hormis quelques voix qui se sont élevées avec vigueur, courageusement, mais sans que la France sorte de son euphorie et l’Église de son apathie.

Un défi avait été lancé à Dieu, par les plus hautes autorités du pays, qui avaient prémédité leur « coup » depuis des années, dans le moindre détail, convaincues sans doute d’être applaudies du monde entier pour leur « audace artistique », alors que c’était l’étalage de l’abjection de leur propre âme qui était ainsi exposée au vu de toutes les nations.

Honte à la France ! Mais on ne se moque pas de Dieu impunément.

« Hébreux 10:31 C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. »

Et la Seine ? Un de mes amis prophètes avait déjà, en 2022, vu ce fleuve si couvert d’immondices qu’on pouvait passer d’une rive à l’autre en marchant sur cette croûte épaisse puante, sans même se mouiller les pieds*. On était bien, bien loin, de l’eau dans laquelle on était censé pouvoir nager sans s’intoxiquer, eau que s’est chargée de faire purifier une certaine maire de la ville, avide d’entrer dans l’Histoire, au prix de centaines de millions d’euros. Nettoyage raté ! La Seine a vite repris son sale train-train  habituel.

* (https://michelledastier.com/vision-de-la-seine-nettoyage-une-vision-prophetique-recue-par-didier/)

Mais le nettoyage que préparait le Seigneur, lui, ne pouvait rater ! Et ce n’était pas seulement les immondices des J.O. qui allaient être balayés, mais ceux de siècles de vices, de sacrifices humains et d’abominations, le tout caché dans les souterrains et soubassements de la capitale de la France.

Dans ma vision, la vague gonflait toujours. Sa largeur dépassait déjà les dimensions de la ville et en hauteur celle de ses plus hautes tours.

Soudain, cette masse d’eau a commencé à se déverser sur Paris. Un cataclysme tel qu’il était évident que beaucoup allaient être engloutis. La poussée des eaux était inexorable et balayait tout sur son passage.

J’ai vu un surfeur tenter de s’échapper avec sa planche ¹. Il a pu tenir sur le flot quelques minutes, mais les tourbillons et la fureur de l’eau l’ont renversé. Comme c’était un bon nageur, après avoir quelque peu roulé sous la vague, il a émergé et s’est mis à crawler vigoureusement, en se servant de la poussée du courant impétueux pour échapper à la ville maudite.

D’autres aussi tentaient de s’enfuir en nageant. Mais de hautes chutes d’eau s’étaient déjà formées dans le lit du fleuve. Ils étaient précipités au bas des cascades.

Oui, Dieu lavait Paris, c’était en parallèle un jugement pour l’offense effrayante qui venait d’être faite à Dieu. La « goutte d’eau » – si on peut dire ! – qui mettait fin à Sa longue, longue patience.

Mais pour l’instant, c’était pour les Parisiens un désastre apocalyptique.

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Puis j’ai vu cette eau, toujours transparente et pure comme si elle n’avait pu être, ne serait-ce qu’effleurée, par tous les immondices qu’elle balayait, s’apaiser. Le flot coulait désormais vers Rouen, puis vers la mer.

Mais j’ai vu alors quelque chose de surprenant. Cela ressemblait à un radeau qui glissait lentement sur l’eau, avec un grand récipient qui ressemblait à une grande théière ouvragée. En tout cas, c’était un récipient élégant, très beau, et que je savais plein, mais je ne savais de quoi. Par millions, des gens en haillons mais des haillons blancs, se serraient les uns contre les autres sur la rive du fleuve, en aval de Paris, comme si tous voulaient se diriger vers l’ouest pour échapper aux conséquences du cataclysme : une ville quasiment engloutie. Pourtant tous ces gens ne bougeaient pas. Ils tendaient les mains dans un signe de supplication, pour recevoir quelques gouttes du breuvage que renfermait la théière. Jésus, je le savais, était sur le radeau, même  si on ne Le voyait pas. Il versait quelques gouttes dans chaque main tendue. Alors les gens reprenaient vie. On sentait la joie monter, car le breuvage ne tarissait pas.

Ma vison s’est arrêtée là. J’ai ressenti que le breuvage, c’était peut-être l’eau de la Parole de Dieu, ou peut-être étaient-ce les larmes de compassion de Jésus.

Ps 56:9 Recueille mes larmes dans ton outre : Ne sont-elles pas inscrites dans ton livre ?

Ces gouttes versées dans les mains qui se tendaient vers Lui suffisaient pour amener la résurrection du pays tout entier, selon 2Ch 7:14.

 

14 si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies,-je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays.

 


¹ – Je pense que ce surfeur musclé symbolisait les athlètes français qui avaient pris part à ces j.0. et avaient dû subir les cérémonies, même contre leurs convictions morales ou religieuses.