J’ai vu un grand fleuve, dont les eaux avançaient avec force. Sur ce fleuve, une longue embarcation, poussée par les eaux. Au fond de ce canot, des silhouettes de personnes. Il était difficile de voir s’il s’agissait d’hommes, de femmes, de vieillards, d’enfants… Il n’y avait personne pour prendre les rames (il y en avait ) afin de diriger le bateau. Personne au gouvernail. Les gens à l’intérieur avaient le dos courbé et on ressentait la peur… Tout était sombre: le bateau comme les gens à l’intérieur.
Ce bateau, je le savais dans mon cœur, c’était la France.
Il a poursuivi sa route, toujours poussé par les flots. Je savais qu’il descendait vers des cascades et des rochers. C’était inexorable puisque personne ne contrôlait ce bateau. Et je l’ai vu arriver sur ce qui était devenu un torrent tumultueux, roulé dans tous les sens, explosé par les coups. J’ai vu un homme qui tentait tant bien que mal de lever un drapeau de France. Mais les couleurs -bleu, blanc, rouge- de ce drapeau étaient comme déteintes, on les distinguait à peine. Il était en sus couvert de boue.
Il était devenu un signe de honte, vraiment pas de grandeur nationale !
Toute la scène se déroulait dans un brouillard épais, de nuit.
Puis j’ai vu surgir de ce brouillard un cavalier. Il était couvert d’une armure venant du fond des âges, un peu comme mon illustration :
Je le voyais à peine, à cause du brouillard. Mais il donnait un sentiment de détermination, et d’une formidable puissance. Soldat ancien ? Peut-être parce qu’il était héritier spirituel des premiers Francs et qu’il avait dans le cœur l’amour de ce pays qui se levait. En tout cas, j’ai ressenti que Jésus préparait une armée dans le secret, une armée qui serait revêtue de sa force, une armée que l’ennemi n’attendait pas, et qui relèverait le pays même quand tout serait dans un état de destruction apparemment irrémédiable..
Quelle différence entre le navire décrit, le « France » en quelque sorte, et celui, brisant ses chaînes, de l’article « Oracles du cataclysme? »!
En relation avec ce texte, je méditais, il y a un peu plus d’une semaine, les 767 mois qui se seront bientôt écoulés du tremblement de terre de Valdivia, en 1960, à la prochaine Pâque israélite, le 22 avril au soir. L’Esprit m’a alors poussé à reprendre le Psaume 107, où il est précisément question de navigation par gros temps; cf. versets 23ss. A ma grande surprise, je me suis alors aperçu qu’au verset 14 in fine (Et il rompit leurs liens/chaînes) le mot hébreu rendu par « leurs liens, leurs chaînes » a précisément une valeur numérique de… 767! Nous sommes donc, ici, parfaitement en phase avec les chaînes du bateau de l’article ci-dessus, se brisant les unes après les autres.
Le cavalier vu par Michelle renvoie aussi à « Oracle du cataclysme? », qui évoque brièvement « l’armée du Seigneur partant parcourir la terre à cheval ». Mais ce n’est pas tout. Cet homme à cheval rappelle de manière saisissante celui qui, dans une vision de 1950, a transmis à notre cher Kenneth Hagin un message de guerre, de destruction, de jugement.
Ce message était un avertissement donné à l’Amérique se référant à Genèse 7.14 (Car, encore sept jours, et je ferai pleuvoir sur la terre quarante jours et quarante nuits, et j’exterminerai de la face de la terre tous les êtres que j’ai faits) et précisant « le temps restant est comparable aux sept derniers jours du temps de Noé ». Si nous considérons, maintenant, que les sept iamim/ »jours, temps » de Genèse 7.4 sont des décennies, nous obtenons, depuis la vision en question: 1950 + 70 ans = 2020, soit l’année exacte où tout a basculé pour le monde (coronavirus, dictature sanitaire, avec, aux USA, le coup d’état/vol des élections présidentielles). Nous y sommes, vous ne croyez pas?