3129402434_1_2_6iU8lYzd
Cette nuit (20 décembre 2015), j’ai reçu un songe qui a dû se prolonger plusieurs heures. Cela concernait le quart sud-ouest du grand Paris, incluant aussi le quart de la capitale (Je ne pouvais voir ce qui se passait ailleurs, je crois que ce n’était pas mieux).

J’ai même vu à un moment un énorme rocher – une météorite de plusieurs tonnes – qui tombait du ciel et écrasait un groupe de personnes.

Tout était dans un état de destruction terrible. On ne savait ce qui s’était passé: une attaque chimique  ?  Une attaque atomique  ?  Des missiles  ? Des bombes  ? Une guerre civile ? Peut-être le tout.  Bref, tout était détruit, rasé, et le sol même était devenu en grande partie comme un immense  marais, avec un peu partout des  îlots qui émergeaient.

J’étais sur un cargo  qui naviguait, très difficilement, dans ce dédale marécageux  parsemé d’îlots .

Soudain, le cargo a heurté un roc dur, et il s’est brisé en deux. J’étais dans la partie avant. La partie arrière s’est mise à  errer.

Partout, c’était le désastre. Sur le plan technique : plus d’électricité, plus de téléphone, plus de réseaux, plus d’internet, et surtout, même pas de quoi manger pour survivre. Sur la partie arrière du cargo, comme parmi ceux qui nageaient dans le marais, certains, très rares, cherchaient de quoi répondre à  leur faim, mais tout ce qu’ils pouvaient mastiquer, quand ils en trouvaient, c’était des bouts de plastique. Parmi les autres, bien peu semblaient s’en inquiéter.

Dans la partie avant du bateau, tout le monde  cherchait de la nourriture, mais nous non plus ne trouvions rien : il n’y avait plus de vivres à  bord. Nous aussi étions arrivés à tromper notre faim par des bouts de plastiques que nous mastiquions.

Alors nous avons demandé au capitaine d’aborder dans un îlot pour trouver au moins des feuilles d’arbres ou des racines. Nous voyions les arbres de loin, mais il nous a avertis que même si cela paraissait vert et plein de vie, tout était empoisonné, et surtout toutes les racines. À un moment, nous avons tout de même abordé un de ces îlots, et je suis allée examiner une de ces racines. Visiblement, elle était remplie de poison mortel. Donc nous sommes retournés auprès de notre Capitaine, sur le cargo, comprenant que là  seulement, nous étions en sécurité. Il nous a simplement  rappelé que nous étions libres d’aller et de venir, de sauter au passage sur un îlot, ou sur l’autre partie du cargo  qui, bien qu’il soit coupé en deux, flottait toujours à  l’horizontale,  comme si de rien n’était.

Apparemment personne ne pouvait ni nous entendre, ni nous aider. Pourtant, quand je me suis réveillée, on voyait enfin arriver des équipes de secours, dans des combinaisons oranges, étanches, avec casques et bouteilles d’oxygène pour éviter toute contamination. Ils arrivaient avec de la nourriture fraîche et abondante pour nous sauver la vie.


INTERPRÉTATION: Ensuite, j’ai tenté de comprendre le sens de ce songe, qui n’était pas un cauchemar, simplement une vision triste et désespérante qui semblait si réelle à mon réveil que je me rappelais chaque détail.

J’ai alors compris que ce marécage avec quelques îlots, cela représentait la France actuelle, mais aussi plus directement Paris et l’île de France, qui allaient être touchés par des cataclysmes qui détruiraient tout. Les îlots, c’étaient apparemment des lieux qui avaient été épargnés, mais tout y était contaminé.  Quelques-uns, après ces destructions, faisaient  le constat d’une absence dramatique de la nourriture qui donne la vie. Mais les autres, au final, ne cherchaient que très vaguement cette nourriture, sans y attacher un réelle importance, préférant l’insouciance plutôt que d’ouvrir les yeux sur la tragédie qui les guettait et qui allait forcément les conduire à  la mort : la famine.

C’était la Parole de Dieu, la Vérité, la vie, qui était dramatiquement absente, introuvable, qui provoquait cette famine, et bien peu de  gens, ceux qui en ressentaient le besoin vital, la cherchaient vainement,  sans parvenir à  en trouver.

Puis j’ai compris que le cargo, c’était l’Eglise. C’était elle, la première, qui manquait terriblement de nourriture saine et consistante, et elle n’offrait que des objets de plastique à  mâcher, qui RESSEMBLAIENT à  de la nourriture, mais qui ne nourrissaient pas. C’était juste un leurre. Et puisqu’elle-même n’était pas nourrie, elle ne pouvait nourrir personne.

En se cognant sur le  Rocher, le bateau  s’était coupé en deux, la moitié arrière flottant sans direction, sans capitaine à bord, à la dérive. Pourtant, ceux qui s’y trouvaient y étaient insouciants, se sentant en apparente sécurité puisque cette moitié de bateau flottait, mais tant dans le marais qu’à bord,  on manquait tout aussi cruellement de nourriture vitale. C’était comme si ceux qui étaient sur la  partie arrière du cargo n’en avaient même pas conscience… C’était l’Église de Laodicée, qui se croit riche, enrichie et n’avoir besoin de rien et qui ne voit pas qu’elle est pauvre, aveugle, malheureuse et nue. Cette Église apostate se fondait  dans le monde qui l’entourait, préférant l’illusion à  la vérité, malgré l’état de destruction et de perdition qui l’entourait : elle était dans le même état, mais elle ne le savait pas !

Dans la partie avant, il y avait ceux qui restaient avec le Capitaine, dans l’espérance de survivre. Les passagers, dont moi, avons demandé à être débarqués sur un îlot parce qu’on y voyait  des arbres verts. Mais le Capitaine a averti : là  encore, c’était un leurre, du mensonge, tout était empoisonné, y compris  les    racines, qui était la partie la plus gravement empoisonnée de l’arbre, ce qui expliquait pourquoi cet arbre, qui avait pourtant l’air si vivant, ne pouvait porter que des fruits empoisonnés. Même ses feuilles l’étaient, car la sève l’était.

Apocalypse 3:1

Ecris à l’ange de l’Eglise de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes oeuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.

Cela symbolisait l’Eglise prostituée, dont les racines grecques et romaines, coupées de l’Olivier franc par l’antisémitisme viscéral de ses créateurs et promoteurs, avaient pollué et empoisonné tout l’arbre. Elle avait l’air belle, vivante, mais aux yeux de Dieu elle était morte. Mais certains pourraient s’en échapper: ils avaient faim de vérité.

Apoc 3:3 Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde, et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à  quelle heure je viendrai sur toi. 4 Cependant tu as …  quelques hommes qui n’ont pas souillé leurs vêtements; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu’ils en sont dignes. 5 Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs; je n’effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. 6 Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises !

Dans le cargo où nous étions revenus après notre escapade inutile sur l’îlot, les passagers  cherchaient donc activement de quoi se nourrir, suppliant le  Capitaine d’appeler les secours. Celui-ci  se mit donc à le faire, sans se relâcher, grâce à la radio qu’il détenait dans sa cabine, et  d’où il pouvait émettre des appels de détresse.

C’est ainsi que l’on a vu,  enfin, arriver le secours providentiel….

Je ne sais si tout cela ne reflète qu’une réalité spirituelle, ou bien s’il va vraiment falloir passer, tant pour le monde que pour l’Église, par un état de véritable destruction, pour qu’enfin les gens aient soif de la nourriture qui vient d’en Haut  et la cherchent avec persévérance, en criant à Dieu :  »  Au secours ! ».  Compte tenu de toutes les prophéties que j’entends – un de mes amis chrétiens hier m’a confié avoir entendu il y a peu:  »   La France doit passer par la mort, ensuite Je pourrais la relever  » ! – je crois hélas que de grands cataclysmes vont devoir toucher ce pays.

Mais y a-t-il  donc, encore et toujours, un si faible reste, y compris dans l’Eglise, pour chercher la parole de vie et vouloir boire à la Source, et non dans une citerne crevassée et polluée ?  Et sur quelles racines nos Églises sont-elles plantées  ?  Celles de l’Olivier franc, ou celles de l’olivier sauvage aux racines grecques et romaines, et dont la sève est empoisonnée depuis des siècles  ?

Ô Dieu, réveille les consciences endormies … C’est si urgent ! Et aies encore compassion de ce pays spirituellement si pollué… alors que la plupart des habitants, y compris dans l’Église, ne le savent même pas  !

 »  Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, l’Éternel, où j’enverrai la famine dans le pays, non pas la disette du pain et la soif de l’eau, mais la faim et la soif d’entendre les paroles de l’Éternel. «   (Amos 8 :11).

À LIRE :

La Famine Dans le Pays, par Arthur Katz