Je veux et je peux souhaiter à tous une magnifique année. D’accord, elle commence lamentablement !

 

Mais voilà !

 

On m’a envoyé tant de prophéties, et j’en ai reçu personnellement en direct de Dieu de si réconfortantes, que je pense que cela va être une année de grosses surprises. Il se peut que cela passe par des temps de turbulences. Le marais français va se défendre becs et crocs… Oui mais, nous, nous avons un ROI DE FRANCE, Jésus-Christ, qui se rit des méchants, des despotes, des dictateurs, des menteurs et de ceux qui se pensent puissants sur terre.

 

Beaucoup d’intercesseurs se sont levés pour la France, non seulement dans le pays, mais dans bien d’autres lieux du globe, des chrétiens qui ont à coeur notre si beau pays. Dieu les a entendus !

 

Nous n’avons cessé tout au long de l’année 2020 de relayer au maximum l’information pour que les lecteurs ne tombent pas dans la peur, dans la sidération, dans le désespoir, malgré les litanies lancinantes des médias mainstream (ceux qui font l’opinion), tous ou presque tous corrompus (Saluons au passage France Soir). Nous avons mis les déclarations de sommités du monde médical, de journalistes intègres, de lanceurs d’alerte déterminés, d’avocats qui montent au créneau, de politiques ne pratiquant pas la langue de bois… pour rétablir la vérité. J’espère qu’aucun de vous ne s’est laissé happer par la peur. Moi, j’ai beaucoup pleuré devant le Seigneur en voyant ce qu’on faisait à MA France, ce pays que j’aime tant !

 

Jésus a dû recueillir mes larmes, une à une. Je suis même certaine qu’Il l’a fait, et qu’Il a recueilli toutes les larmes des Français qui ont été maltraités et mal traités !

Mais le soleil va se lever.

 

Je veux partager ce passage avec vous:

 

Esaïe 9:1 Mais les ténèbres ne régneront pas toujours Sur la terre où il y a maintenant des angoisses… 2
Le peuple qui marchait dans les ténèbres voit une grande lumière; Sur ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort Une lumière resplendit. 3 Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d’allégresse au partage du butin. 4 Car le joug qui pesait sur lui, Le bâton qui frappait son dos, La verge de celui qui l’opprimait, Tu les brises, comme à la journée de Madian.