Source Attention, scandale en cours

Depuis des années (2014 ici), l’OMS préconise beaucoup de choses. Mais c’est maintenant que ça va s’imposer à tous. Et ce faisant, si vous lisez bien, elle révèle ses techniques de manipulation.Voyez la source: Considérations de l’OMS relatives au consentement à la vaccination des enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans (téléchargement ici)

Vous êtes avertis, la vaccination va se faire, à votre insu. Votre enfant sera vacciné si vous ne vous y opposez pas clairement.

Cette vaccination de l’enfant à votre insu peut arriver à n’importe quel moment, comme nous l’avons vu dans de nombreux établissements, y compris « catholiques » ou « musulmans », ou « juifs orthodoxes ».

De plus en plus souvent, les vaccins font partie d’approches intégrées (sic) et sont administrés parallèlement à d’autres interventions de santé comme le déparasitage*. Il faudra donc peut-être harmoniser les procédures de consentement actuellement utilisées

Technique employée

Il s’agit de contourner votre refus si on vous pose la question. Malin. On supprime la question qui vous est posée « voulez-vous faire vacciner votre enfant ? » qui amène un refus massif, par une notion d’assentiment qui remplace le consentement.

On va donc vacciner les enfants de manière industrielle, et le vôtre, s’il est à l’école, y passera parce que vous n’aurez rien dit explicitement. Et vous savez que le vaccin tue souvent, ou produit des effets secondaires parfois dramatiques. La médecine générale et le vaccin sont d’ailleurs ensemble le premier facteur de mortalité du monde.

L’OMS joue sur les mots et amène la notion d’ « assentiment » pour éviter celle de « consentement ». Désormais, on va considérer « l’assentiment » de l’enfant à partir de 6 ans, sans que vous soyez averti, comme notion admissible. On lit :

L’assentiment, pour sa part, renvoie à la participation des enfants et des adolescents à la prise de décisions concernant la vaccination ou d’autres actes médicaux. Il n’est pas régi par le droit, à l’inverse du consentement, et on s’y réfère parfois comme une obligation morale – la notion étant alors étroitement apparentée à une bonne pratique en matière de relations avec les patients

Sous couvert de participation de l’enfant

Sous couvert de participation de l’enfant, on va pouvoir éviter… les parents.

La tromperie se poursuit en quelques mots menteurs:

Le droit international plaide résolument en faveur du droit des enfants à participer aux décisions sur leur santé et sur les soins

C’est faux. D’abord, il n’existe pas de « droit international », chaque pays a en matière de santé son droit propre. Il n’y a de « droit international » qu’en droit commercial et quelques autres domaines, mais jamais de « droit international » pour l’éducation ou la santé: il n’y a que des recommandations. Ensuite, les pays ont toujours estimé jusqu’à présent qu’il fallait protéger l’enfant des abus commis par des adultes, capables de le tromper. L’enfant n’est pas apte à prendre toujours la meilleurs décision. Il est donc depuis toujours considéré qu’abuser sa confiance est un délit. En droit, jusqu’à ce jour, ce sont les parents qui décident.

On a vu la même glissade avec la sexualité. Afin d’alimenter les réseaux pédocriminels, les organisation internationales tentent d’imposer l’abaissement de l’âge du consentement, sous prétexte de défendre un nouveau droit de l’enfant. On sait que l’OMS, c’est Bill Gates, et que Bill Gates, c’est Epstein et toute la tribu des violeurs et assassins d’enfants du pizzagate (dont les négationnistes de la grosse presse complice refuse de reconnaître l’existence). Il n’est pas besoin d’y revenir.

Faire en sorte que le parent se sente coupable

Mais elle dit aussi : si l’on demande leur avis aux parents, ils culpabilisent et n’osent pas dire non.

la couverture s’est améliorée lorsqu’on est passé à une procédure de consentement implicite avec faculté de refus (opt-out)

C’est clair: si au lieu de demander « acceptez-vous de faire vacciner votre enfant », on force les gens à dire par eux-mêmes « je ne veux pas que mon enfant soit vacciné », ils ont peur et ne font pas la démarche. C’est là que votre enfant est condamné: par votre silence.

Enfin, la célèbre organisation génocidaire ajoute ces mots extraordinaires:

Lorsque le consentement parental est requis, les agents de santé devraient également permettre aux enfants plus âgés et aux adolescents de donner leur assentiment.

On ne sait pas ce que signifie les mots « plus âgés ». Donc, s’il y a consentement requis, dans la loi locale, il faudra recourir à la technique de l’assentiment de l’enfant… pour se passer de l’avis du parent.

Parade à la vaccination : vous devez dire les choses

Étant donnés les effets indésirables des vaccins, vous devez faire en sorte de faire respecter le principe de précaution.

Or, l’OMS valide la vaccination de l’enfant sans l’avis des parents, charge à eux à dire explicitement qu’ils refusent la vaccination.

Est réputé consentant tout parent qui amène son enfant à l’école et ne dit rien.

Il faut donc bien dire les choses, les écrire et remettre en mains propres un mot que vous ferez signer signer au responsable de l’établissement (ou à défaut à l’institutrice) :

« En tant que responsable de l’établissement X, je prends note formellement que l’enfant Y ne doit pas être vacciné, selon la volonté exprimée par le parent responsable (opt-out selon l’OMS). »

Si l’instituteur ou le responsable refuse de signer, vous retirez l’enfant de l’école et indiquez que, conformément à la loi, tant que vous n’aurez pas obtenu un récépissé pour votre « opt-out » ou « refus de vaccination », votre enfant n’ira pas à l’école. Vous maintenez cette position malgré les menaces de l’école et le harcèlement téléphonique auquel vous mettez un terme en consultant les Règles de base avec un fonctionnaire.

Pour vous défendre, regardez ce document.

Évidemment, on va créer des guerres entre enfants, les vaccinés vont agresser les non-vaccinés. Par conséquent,

La meilleure défense à ce jour: évitez l’école, l’hôpital et toutes les administrations (en attendant la Libération)

Et faites l’école à la maison. En effet, les « agents de santé » vaccinateurs (meurtriers potentiels de votre enfant) ne vont pas défoncer votre porte; en tous cas pas pour l’instant. L’école à la maison est un rempart.

Rappelons que tout cela est motivé par des mondialistes qui sont persuadés qu’il faut réduire la population mondiale.

*: Eventuellement, des poux à l’école ? Hop ! vaccins ! On l’a vu en Afrique et en Amérique du sud.