C’est en 1859 que fut construite place de la Bastille à Paris la gare que l’on appelait alors « Embarcadère de Vincennes ». C’était une des gares les plus proches du coeur de Paris, de ses grands magasins dans lesquels se pressaient alors aussi bien les Parisiens que les Banlieusards. Jusqu’à la seconde guerre mondiale, elle poussait loin dans la Brie et rejoignait à Verneuil l’Etang la grande ligne de Paris à Mulhouse. En semaine, des ouvriers et des employés l’empruntaient depuis Saint Maur des Fossés ou Fontenay sous Bois pour venir à leur travail tandis que, le dimanche, elle amenait les Parisiens aux guinguettes de Nogent sur Marne et de Joinville le Pont.

Après la guerre, la nouvelle SNCF sembla l’exploiter sans enthousiasme, en s’abstenant de la moderniser. Elle supprima la desserte de la vallée de l’Yerres et de Brie-Comte-Robert en 1953 mais, fin 1969, l’essentiel de ce qui en restait fut transformé en moderne ligne du métro express régional électrifiée entre la place de la Nation et Boissy-Saint-Léger. Privée de rails, de trains et de voyageurs, la gare de la Bastille allait devenir un hall d’exposition jusqu’à ce que, au début des années 80, Francois Mitterand décide de la démolir pour y construire un opéra supplémentaire.

La politique consiste à faire des choix.

C’est justement dans les années 80 que des grandes villes françaises commencèrent à regretter les tramways qu’elles avaient supprimés massivement dans les années 50. Avec plus de retard, sans doute parce qu’elle avait été la première à s’y mettre à la fin des années 20, Paris finit par suivre le mouvement et a maintenant construit une ceinture presque complète de lignes de tramway sur les boulevards des Maréchaux (à part ceux du XVIème arrondissement. Allez savoir pourquoi !).

J’imagine si, au lieu d’aboutir à la Porte de Vincennes, ces lignes avaient pu utiliser le tracé en site propre de l’ancienne ligne de chemin de fer qui passait très près de la place Daumesnil et aboutissait à la place de la Bastille. Quelle grande utilité sociale pour beaucoup d’usagers. Alors que, en comparaison, un opéra de plus et qui vieillit mal à ce que je lis …

J’ai pris cet exemple pour illustrer, à petite échelle, une situation où l’on démolit quelque chose qui a le potentiel de servir à beaucoup pour bâtir, mal … dans l’intérêt de pas grand monde.

Eh bien, c’est ce que font, à l’échelle de la France, Mc Rignol (=Møcron) et sa pègre et il faut leur reconnaître qu’ils le font très bien.

https://www.brighteon.com/e92436b3-9d5f-4277-abee-2365b04527b2

Certes, la France des années 60 dans laquelle j’ai vu le jour n’était pas encore le paradis sur terre mais elle avait un système éducatif performant qui élevait effectivement le niveau d’instruction et de compétence d’un nombre croissant de Français. Il y avait des services publics qui faisaient leur possible pour remplir leur mission d’être utiles à tous les Français, que ce soit les transports, l’énergie, l’eau, les postes et télécommunications. L’argent n’était pas encore la valeur suprême exclusive. Évaluer ces services à l’aune de leur seule « rentabilité » pécuniaire aurait paru saugrenu.

La France avait conservé une vieille tradition d’accueil de réfugiés, c’est à dire et c’est seulement à dire, des personnes persécutées dans leur pays pour leur opinion politique ou leur croyance religieuse. Il y avait cependant également une immigration économique mais tout le monde convenait encore que ces flux migratoires devaient être gérés. D’ailleurs, cette positon de bon sens était celle de tous les États à l’époque.

Cette France avait une bonne couverture médicale et un bon équipement en hôpitaux, maternités et cliniques. (Souvenez-vous, c’était l’époque où l’infirmière Janique Aimée prenait son service à l’hôpital de « Janson » en vélosolex.

https://www.youtube.com/watch?v=pURvHm4cZsU

Il faut dire que la France d’alors n’avait pas encore vu naître le génial énarque qui découvrit que, pour maîtriser les dépenses de santé, il suffisait de former moins de médecins. Certes, cette génération-là n’a pas inventé la roue mais elle a néanmoins montré ainsi à quel point elle pouvait brillamment raisonner.

Alors, ceux qui ont encore en tête ce qu’avait été cette France optimiste, encore familiale, solidaire, avide de culture, de lecture, ont bien du mal à retrouver ce qui en reste dans tout ce qui défile dans la vidéo:

https://www.brighteon.com/e92436b3-9d5f-4277-abee-2365b04527b2

Aurait-on imaginé un ministre de la santé menacer ouvertement une députée à la Chambre des députés ?

Aurait-on imaginé le sabordement de la politique d’indépendance énergétique ?

Aurait-on imaginé l’administration au service de tous mise entre parenthèses par des cabinets conseils privés, même pas français, même pas européens, aussi coûteux qu’incompétents, sauf en esbroufe ?

Quant aux flux migratoires clandestins qui reposent sur des réseaux criminels de passeurs, pourquoi un multimilliardaire comme Soros les finance-t-il massivement ?

Par amour des pauvres, par souci philanthropique de leur donner accès à de meilleures conditions de vie ?

A votre avis, les grands criminels qui s’enrichissent du trafic de drogue, d’armes, d’organes, de jeunes femmes et même d’enfants, mettent-ils l’argent qu’ils gagnent ainsi sous leur matelas ? Il leur faudrait une échelle pour aller dormir !

L’argent du crime va dans le secteur financier, c’est à dire qu’il se retrouve dans les banques des oligarques.

Avoir des immigrés illégaux, en situation de vulnérabilité et de précarité, cela leur permet:

– de bénéficier de travail au noir, c’est à dire d’encore plus de profits (ils n’en ont jamais assez), avec des salaires bas, sans cotisations sociales dont ils font évidemment l’économie ;

– de reconstituer les réseaux de petits dealers car, au final, les profits de la drogue viennent dans leurs établissements de crédit. Une grande partie de leur prospérité en dépend ;

– d’augmenter les tensions sociales, les sentiments d’insécurité qui faciliteront l’acceptation d’encore plus de restrictions aux libertés publiques, d’encore plus de surveillance. Le crédit social à la chinoise entre leurs mains: leur rêve !

Soros et d’autres financent en fait une forme modernisée de « traite des nègres », leur approvisionnement en quasi-esclaves.

La caste des oligarques EST aussi la bénéficiaire financière du crime organisé. Elle est vraiment, objectivement la tête du crime, la mafia des mafias.

Quand des commis de cette mafia, comme Mc Rignol et toute sa pègre avec lui, mettent toute leur industrie à lui livrer l’Etat pieds et poings liés alors qu’il avait vocation à être l’organe de régulation et de contrôle suprême, comment les choses pourraient-elle faire autre chose qu’empirer pour le peuple ?

Une « politique » pareille a une méthode, la démolition. Elle a un résultat, un désastre …