Nous sommes en 2023. Certains disent que la guerre avec l’Occident a démarré le 11 sept 2011 avec l’attaque de El-Quaïda provoquant l’effondrement des Tours jumelles de New-York. Mais l’Histoire nous montre que ce terrorisme islamique existait bien avant. N’est-ce pas le Mufti de Jérusalem, Hadj Amin al-Husseini, l’ami de Hitler le conseillant de liquider les Juifs et « de finir le travail » en Palestine en installant des camps de la mort ? Il était déjà à l’origine du massacre terrible de 131 Juifs à Hébron, sous prétexte que « les Juifs mettaient en danger les lieux saints musulmans du Mont du Temple ». Après la guerre, la France traitera le Mufti de Jérusalem avec bienveillance (les Britanniques et les Yougoslaves voulaient l’extrader) et il put facilement s’évader vers le Moyen-Orient où il devint un héros (LIEN).
Hier, Ismail Haniyeh, le chef du Hamas en exil au Qatar s’adressait aux Israéliens et déclarait : « Nous ne voulons plus de vous sur cette terre » (LIEN). Le Qatar parmi d’autres pays musulmans est un des pourvoyeurs du terrorisme (Mr Haniyeh n’est pas fou, il a trop peur de vivre à Gaza). Pour information, la France est l’une des premières cibles pour les investissements massifs du Qatar au niveau international. Certains commentateurs experts en économie ont même affirmé que le Qatar « achète » la France (LIEN).
L’invasion des immigrants en Europe depuis une décennie, on pourrait dire, achève l’islamisation de l’Europe. La crise migratoire dans les pays nordiques depuis 2015 a changé l’image de ces pays auparavant tranquilles. En Suède, le pays où il faisait bon vivre, le taux de criminalité a augmenté de façon drastique.
L’Occident fait face à une population étrangères aux valeurs et à la culture complètement différentes, voulant imposer sa culture, sa justice, la charia. On voit ce que cette culture signifie dans un pays livré aux extrémistes religieux comme l’Afghanistan.
Israël est une démocratie, la seule au Moyen-Orient, qui combat depuis sa création en 1948 l’extrémisme palestinien gangréné par l’Islamisme, et qui lutte pour sa survie, attaqué régulièrement par ses voisins arabes. Une grande partie des Palestiniens n’aspire qu’à bien vivre et profiter des bienfaits de la société israélienne. Mais l’éruption endémique de mouvements soutenus par le Hamas et tolérés par le Fatah de Mahmoud Abbas, place Israël dans des positions impossibles. De même, à chaque fois qu’Israël a voulu confronter le Hamas et bombarder leurs centres à Gaza, c’est le monde et l’ONU qui s’y sont opposés avec ce reproche récurrent de réagir « de manière disproportionnée ».
Aujourd’hui, le monde s’émeut à cause des tueries et massacres de civils et de familles israéliennes. Est-ce enfin l’occasion d’en finir avec ce Hamas ?… Oui, peut-être mais à quel prix ; combien de jeunes soldats israéliens vont mourir en combattant dans Gaza truffée de tunnels et de pièges mortels ?
Le Hamas a été créé en 1987 par des Frères musulmans ; la charte du Hamas affirme que « la terre de Palestine est une terre islamique » ; il prône la destruction de l’État d’Israël et l’instauration d’un état islamique palestinien sur tout le territoire de l’ancienne Palestine mandataire. Ceux qui veulent forcer Israël à créer un Etat palestinien se leurrent ; ils n’en veulent pas, ils veulent toute « la Palestine ». Arrêtons l’hypocrisie.
Même si le Hamas est éradiqué (jusqu’où les instances internationales vont donner le champ libre à Israël ?), nous devons savoir que derrière le Hamas, il y a le Hezbollah et encore derrière l’Iran des mollahs, et autres nations islamiques qui n’aiment pas l’Occident démocratique et ses valeurs humanistes ; c’est une guerre entre la civilisation judéo-chrétienne et l’Islam.
Fouad Ali Saleh était un Tunisien né en France, converti au chiisme, jugé comme organisateur d’une partie des attentats terroristes commis à Paris en 1985-1986. Après les attentats d’Al Qaïda le 11 sept 2001 à New York, Il donna ces imprécations : « Au nom de Dieu tout-puissant, destructeur de l’Occident, que soient maudits les fils mécréants d’Israël et de Jésus […]. Je ne m’appelle pas Fouad Ali Saleh, je m’appelle la mort de l’Occident […]. L’Occident sera sanctionné sans pitié jusqu’à l’extermination du dernier Européen de la planète, judéo-chrétien, gréco-romain blanc et occidental […]. C’est la guerre sainte. Il est fini l’Occident… Le Hezbollah vous écrasera… L’islam a tout le temps. De l’Iran, nos frères partiront livrer bataille et iront sur Paris, Londres et Washington… » (Cairn.info).
L’Occident va-t-il, ou veut-il ouvrir les yeux, et finalement pourra-t-il réagir ? Humainement, il est difficile de le croire. |
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