Transmis par Elisabeth777 – Source Dreuz-Info

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Dans un roman français du début du siècle,  Le Voleur*, de Georges Darien  le personnage principal dit qu’il fait un métier sale, et qu’en conséquence, il le fait salement.

Hillary Clinton considère qu’elle fait un métier sale, et elle le fait très salement.

Plus grave que la mafia et le  crime organisé, car mafia et crime organisé n’ont jamais réussi à  acheter le directeur du FBI

Il est avéré désormais non seulement que la Fondation Clinton est une entreprise de corruption massive par le biais de laquelle des puissances étrangères et des entreprises internationales ont acheté les Clinton, et non seulement qu’Hillary Clinton serait en prison pour espionnage au service de puissances étrangères en raison des activités menées depuis un serveur internet clandestin si le directeur du FBI n’avait été lui-même acheté, mais qu’Hillary Clinton et les gens de sa campagne ont fait appel aux services d’hommes de main pour agresser physiquement des gens soutenant Donald Trump et pour créer désordres et émeutes lors des réunions publiques de son concurrent.

Hillary Clinton a aussi recruté des hommes de main pour pratiquer des fraudes électorales.

Ce sont des activités dignes de la mafia et du crime organisé. Ce sont même des activités plus graves que celles de la mafia et du crime organisé, car mafia et crime organisé n’ont jamais réussi à  acheter le directeur du FBI.

Ce sont des activités rendues possibles par l’administration Obama et par le Ministère de la Justice, et c’est difficile à  dire, mais ce doit être dit :

une entreprise criminelle tient les leviers de commande aux Etats-Unis aujourd’hui, et tout en préservant les apparences du droit et de la démocratie, détruit droit et démocratie.

C’est une situation sans véritable précédent, et qui va s’aggraver encore si Hillary est élue. Comme me l’a déclaré Phil Haney voici peu à  Los Angeles, Obama comparé à  Hillary est un simple amateur : Phil Haney, lui, n’est pas un amateur, puisque c’est un ancien membre de haut rang du Department of Homeland Security, et l’auteur d’un livre accablant pour Barack Obama et Hillary Clinton (et très documenté) appelé  See Something, Say Nothing*.

Le rôle des médias était autrefois de mettre au jour ce type de situation, et c’est pour cela qu’Edmund Burke en son temps les avait appelés le quatrième pouvoir. Les médias américains ne jouent plus leur rôle ou, plus exactement, les médias qui jouent encore leur rôle sont trop peu nombreux pour influer sur l’opinion. Ni CNN, ni ABC, ni NBC, ni CBS, ni PBS, ni le New York Times, le Washington Post, le Boston Globe, le Los Angeles Times, le San Francisco Chronicle ou le Chicago Sun Times ne traitent du sujet. Ce sont devenus des appendices de la campagne des Clinton. Et c’est avéré, comme le reste de ce que j’écris ici, par les milliers d’emails divulgués par Wikileaks.

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Les Américains qui vont voter le 8 novembre vont voter dans un cadre où, s’ils votent Hillary Clinton, ils ne sauront pas pour qui et pour quoi ils votent : il y a toujours eu des électeurs non informés, mais pas dans ces proportions.

Que des gens votent en échange d’un chèque est déjà  très grave. Qu’ils votent en imaginant être encore en démocratie alors que ce n’est plus le cas est accablant.

J’ajouterai que les emails divulgués par Wikileaks montrent aussi que les sondages sont, pour la plupart d’entre eux manipulés aux fins que les électeurs de Donald Trump restent chez eux. Hillary va sans doute gagner, tout est organisé à  cette fin, mais ceux qui agissent pour elle veulent que ce soit écrasant.

Que l’establishment républicain et les imposteurs du conservatisme se rendent complices de ce qui se passe est révoltant. L’establishment républicain et les imposteurs du conservatisme méritent de disparaître.

Que des idiots inutiles balaient les faits et prennent un air de crétins supérieurs pour dire que tout cela relève de « théories de la conspiration » donne la nausée, et j’ai la nausée.

L’Europe va très mal, et les Etats-Unis risquent de glisser vers l’ornière et vers un fonctionnement de république bananière ou d’État semi-totalitaire. C’est infiniment triste.

C’est inquiétant aussi. Les partisans de Donald Trump considèrent, à  juste titre, que le jeu est truqué. Ceux qui truquent le jeu pratiquent la violence et incitent à  la violence.

J’ai assisté à   des scènes ces jours derniers, à  Los Angeles, qui montrent la haine injectée par Barack Obama et Hillary Clinton au sein des gens qui penchent vers la gauche. S’afficher pro-Trump peut valoir à   qui ose, des agressions verbales et physiques.

Des émeutes auront lieu encore, c’est une certitude. Des meurtres de policiers auront lieu encore aussi.

Je sais que des années sombres se préparent.

J’y reviendrai : si Donald Trump devait être élu, malgré tout, des émeutes se déclencheraient immédiatement. S’il est battu, il y aura des représailles de la gauche envers Trump et ceux qui l’ont soutenu.

Des actions se préparent, si Trump est battu, pour museler les derniers médias américains indépendants, à  commencer par Fox News.

Barack Obama et Hillary Clinton ont eu le même maître à  penser, Saul Alinsky. Le livre  Rules of Radical*, de Saul Alinsky était dédié au diable.

A part cela, une star du porno, Jessica Drake, est devenue la onzième femme à  accuser Trump de comportement inapproprié.

Elle vient de lancer une boutique en ligne où se trouvent ses œuvres complètes, toutes classées X et de multiples sex toys. Trump l’aurait, dit-elle, embrassée sans son consentement, il y a douze ans. Elle vient tout juste de s’en souvenir. Les grands médias américains ne parlent que de cela. C’est cela qui est important, non ? Et c’est logique qu’ils ne parlent que de cela. Très logique.

© Guy Millière pour  Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.