Lors de cet instant que l’Eternel m’a permis de vivre, j’ai vu en vision les lieux Célestes, mais à plusieurs reprises, l’Eternel m’a permis de vivre en réalité certaines choses. Lors de la retranscription, je vous dirai à quel moment ces instants réels se sont produits.


Lors de la vision, des temps de silence se sont produits, je les ai matérialisés en sautant une ligne.

À la fin du message, un dialogue va s’installer entre l’Eternel et moi, je noterai pour pour Père (P) Jésus (J), et moi (M).

Bonne lecture !
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Vision

L’Eternel m’a demandé de m’agenouiller (réel).
Puis il m’a dit : « Monte ici ». J’ai pris des escaliers, de très grands/hauts escaliers.
Tout en haut, j’ai vu une porte. Lorsque je me suis approchée de cette porte, elle paraissait immense. Elle était composée de deux immenses battants qui s’ouvraient devant moi vers l’extérieur.
J’ai aperçu une silhouette qui venait me chercher, je pense que c’était un ange. Il m’a dit : « Viens ! ».
Nous avancions sur une allée qui était bordée à gauche par des arbres, et du côté droit se trouvait un fleuve. Au bout du fleuve, il y avait une immense cascade. En marchant, j’ai demandé à l’ange : « Suis-je digne d’être ici ? ». Il m’a simplement répondu : « Viens ! ». 
Je me suis agenouillée au niveau de la cascade, la tête au sol.
Étant à genoux, je ressentais une force arriver sur moi, que je ne pourrais expliquer. En fermant les yeux je voyais des images devant moi : un porte-avions, un voilier…

Je savais que devant moi il y avait le trône, mais je ne l’apercevais pas. Je sentais juste cette force qui était arrivée jusqu’à moi.

Puis est arrivée une immense silhouette, avec un habit de sacrificateur, les bras levés comme pour m’accueillir.

J’attendais que le Seigneur me parle car je savais qu’Il avait quelque chose à me dire. J’ai remercié l’Eternel pour cet instant magnifique.

J’ai entendu le shofar (trompette) sonner : un long son, puis trois petits sons, pour finir avec un son long saccadé.

Puis j’ai entendu une voix qui m’a dit : « l’Eternel te demande de te tenir prête car il va parler ». 
Du sol, jaillissaient des lumières et au milieu une abondante lumière qui envahissait tout l’espace où je me tenais.

Je voyais un vrai cœur qui battait et, sortaient de ce cœur des vaisseaux sanguins qui venaient jusqu’à moi pour me toucher. Au moment où ils m’ont touché, j’ai vu la gueule d’un lion qui rugissait.
J’ai demandé à l’Eternel d’ouvrir mes oreilles.
L’Eternel m’a redressée. J’ai vu au loin un arc-en-ciel au dessus du trône.
Quelque chose a touché mes oreilles.

L’Eternel m’a demandé de me lever (réel). J’ai ressenti une chaleur qui m’envahissait, un frisson qui traversait mon corps (réel). L’Eternel a pris mes mains et a posé ses mains sur les miennes. Je frissonnais de tout mon corps. (Réel).

Devant moi se tenait une grande silhouette, une grande chaleur, une grande lumière, et tout mon corps était pris d’effroi. Je me suis mise à tousser. Le  Seigneur a reposé mes mains le long de mon corps, et je me suis mise à tousser à nouveau. (Réel).

Le mot « Pestilence » est venu devant mes yeux. L’Eternel a dit :
J – « Je mettrai la pestilence tout au long de l’année. 
M – Mais Seigneur, il y a déjà le Covid !
J – Il augmentera. 
M – Et tes enfants Seigneur, ton épouse ?
J – Elle doit se tenir prête. Elle doit se laver, s’habiller. Je vais restaurer son cœur. Elle sera belle lorsque je viendrai la chercher.

Un frisson m’a envahie et une grande lumière s’est levée : le Père Tout-Puissant s’est manifesté :
P – « Ma colère arrive, ma colère arrive ! »

L’Eternel m’a demandé de m’agenouiller (réel).
P – Ma colère arrive !
M – Pardon seigneur, pardon Eternel, Pardon pour l’église…
P – Ouvre tes oreilles.

A suivi un immense silence…

J – Des guérisons vont arriver. Je vais étendre ma main et arracher des âmes de la mer épouvantable, tumultueuse. Le Saint Esprit, le « Ruah » viendra inonder les cœurs de toutes les personnes qui le désirent et je viendrai les chercher pour les conduire près de moi, près de mon cœur céleste qui bat continuellement pour ma fiancée.
Je me tiendrais sur les nuées à la rencontre de celle qui est ma bien-aimée. Ce sera un jour d’allégresse, de joie, d’abondance, de victoire, d’honneur, car la reine va entrer dans ses demeures que j’ai préparées spécialement pour elle. Elle se tiendra près de moi pour l’éternité car je l’aime, je l’ai toujours aimé et je l’aimerai toujours, dit le Seigneur l’Eternel, Dieu tout-puissant, créateur des cieux et de la terre.

J – Ce jour, déclenchera une catastrophe terrestre. Les nations seront affolées, paniquées. Elles ne comprendront rien, il y aura une panique générale.
Et mes sceaux seront ouverts un par un !
Et mes trompettes retentiront une par une !
Et mes coupes se déverserons les unes derrière les autres !

Mon peuple, mon peuple bien-aimé, mon peuple premier-né, celui que j’ai chéri, celui que j’ai créé, je ne l’oublie pas. ( Peuple d’Israël). Il sera près de moi dans ma gloire quand il m’aura reconnu Père, Fils et Saint Esprit. 

J – Pour l’heure, accrochez-vous à ma parole, qui vous enseignera toute chose. Soyez prêts, soyez prêts à la venue de votre bien-aimé, soyez prêts! Remplissez d’huile vos fioles. Le temps arrive où tout va se détruire, où tout va brûler. C’est un temps de misère qui arrive, un temps de désolation. Un temps de prison pour toutes les personnes qui n’entendront pas ma voix.
Attention, attention ! Restez ferme, restez à l’écoute de ma voix. 
Les nations vont se révolter. Les nations vont s’élever, les nations vont grandir, grandir, grandir et se prendre pour Dieu. L’orgueil qui les guide les conduira à leur perte.
Mais vous attention ! Tenez-vous prêts, soyez attentif !
La lourdeur, le poids, la menace, la panique, la peur, les nations ont peur…, ils ont peur, ils vont se faire séduire par ce qu’ils ont peur.
Mais vous tenez ferme ! Mettez vos pieds dans mes pieds, mettez vos mains dans mes mains, tenez votre regard sur moi, soyez ferme !
Vous êtes l’armée céleste, tenez ferme, dit l’Eternel « Yechua HaMachiar ». 

J – Je pose sur ta bouche mes paroles. Va le dire à mes enfants. Il t’entendront, maintenant va et accomplis mon œuvre jour et nuit.