Transmis par Aline – source : http://www.croixsens.net/souffrance/souffrancedejesus.php

Il y a une dizaine d’années, en lisant « Le jour où Christ est mort » par Jim Bishop, j’ai réalisé que j’avais pris la crucifixion plus ou moins pour acquise – que je m’étais endurci à  son horreur par une connaissance trop facile des détails sinistres et d’une amitié trop éloignée avec notre Seigneur. J’ai finalement réalisé que, bien qu’étant médecin, je ne savais même pas ce qui avait causé sa mort. Les auteurs de l’Évangile ne nous aident pas beaucoup sur ce point, parce que la flagellation et la crucifixion étaient si communes pendant leur vie qu’ils avaient apparemment considéré une description détaillée inutile. Ainsi, nous avons seulement les mots concis des Évangélistes:

«  Pilate, ayant fait battre de verges Jésus, le livra à  eux pour être crucifié — et ils l’ont crucifié. « 

Ceci m’a amené tout d’abord à  une étude de la pratique de la crucifixion elle-même ; c’est-à -dire, la torture et l’exécution par la fixation à  une croix. Je me dois beaucoup envers ceux qui ont étudié ce sujet dans le passé, et particulièrement à  un collègue contemporain, le Dr. Pierre Barbet, un chirurgien français qui a fait une recherche historique et expérimentale approfondie et a écrit intensivement sur le sujet.

Je n’ai aucune compétence pour discuter la douleur psychique et spirituelle infinie de Dieu incarné expiant les péchés de l’homme après la Chute. Mais, il m’a semblé qu’en tant que médecin, je pourrais discourir sur les aspects physiologiques et anatomiques de la passion de notre Seigneur.

Qu’est-ce que le corps de Jésus de Nazareth a supporté réellement pendant ces heures de torture ?

Il semble que la première pratique connue de la crucifixion fut par les Perses. Alexandre et ses généraux l’ont ramenée dans le monde méditerranéen — en Égypte et à  Carthage. Les Romains ont semble-t-il appris la pratique des Carthaginois et (comme avec presque tout ce que les Romains ont touché) ils l’ont rapidement développé à  un degré très élevé d’efficacité et de compétence. Un certain nombre d’auteurs romains (Livie, Cicéron, Tacite) présentent leurs observations sur la crucifixion, et plusieurs innovations, modifications, et variations sont décrites dans la littérature antique.

Par exemple, la partie transversale de la croix (le patibulum) pouvait être attachée deux ou trois pieds en bas de l’extrémité du poteau planté (stauros) , on se réfère à  ce modèle généralement comme étant la croix latine. La forme la plus commune utilisée au temps de notre Seigneur, cependant, était la croix de Tau, formée comme notre T. Le patibulum était placé dans une entaille en haut du poteau. Il y a des évidences archéologiques qui démontrent que c’était sur ce type de croix que Jésus a été crucifié.

Sans aucune preuve historique ou biblique, les peintres médiévaux et de la Renaissance nous ont donné notre image du Christ portant la croix entière. Mais le poteau droit était généralement fixé de manière permanente dans la terre à  l’emplacement de l’exécution et l’homme condamné était forcé de porter le patibulum, pesant à  environ 110 livres, de la prison à  l’endroit de l’exécution.

Plusieurs peintres et la plupart des sculpteurs de la crucifixion, montrent également les clous plantés dans les paumes. Les récits romains historiques et le travail expérimental ont établi que les clous étaient plantés dans les petits os des poignets (radial et cubitus), non pas dans les paumes. Les clous plantés dans les paumes auraient déchiré la peau et seraient sortis des mains sous le poids du corps humain. Cette idée fausse a peut-être sa source dans une mauvaise compréhension des paroles de Jésus à  Thomas,  » observent mes mains.  » Les anatomistes, modernes et antiques, ont toujours considéré le poignet comme faisant partie de la main.

Un petit écriteau (titulus) énonçant le crime de la victime, fixé habituellement sur un bâton, était porté à  l’avant du cortège en sortant de la prison, et plus tard cloué sur la croix au-dessus de la tête. Cet écriteau cloué au dessus de la croix lui aurait donné un peu la forme caractéristique de la croix latine.

Mais, bien entendu, la passion physique du Christ a commencé à  Gethsemane. Parmi les nombreux aspects de cette première souffrance, la sueur sanglante est celui portant le plus grand intérêt physiologique. Point intéressant, Luc, le médecin, est le seul à  la mentionner. Il dit,

 » et étant dans l’agonie, il a prié plus instamment et sa sueur est devenue comme des grumeaux de sang qui tombaient par terre. « 

Toutes les explications imaginables ont été avancées par les érudits modernes pour dénigrer cette description, apparemment sous l’impression erronée qu’il est impossible que cela se produise. Si les douteurs avaient consulté la littérature médicale, ils auraient ménagé bien des efforts. Bien que cela se produise très rarement, le phénomène d’hématidrose, ou la sueur sanglante, est bien documenté. Subissant un stress émotif intense, les minuscules capillaires dans les glandes de sueur de notre Seigneur ont pu se briser, mélangeant ainsi le sang à  la sueur. Ce processus a pu provoquer une faiblesse marquée et un état de choc.

Après que l’arrestation au milieu de la nuit, Jésus fut emmené devant le Sanhédrin et Caïphe, le souverain sacrificateur ; c’est ici que le premier traumatisme physique lui fut infligé. Un soldat a frappé Jésus au visage parce qu’il est demeuré silencieux après avoir été interrogé par Caïphe. Les gardes du palais lui ont bandé les yeux et se sont moqués de lui en le défiant d’identifier ceux qui passaient devant lui en lui crachant dessus et en le frappant.

Tôt le matin, battu et meurtri, déshydraté, et épuisé par une nuit sans sommeil, Jésus est conduit à  travers le prétoire de la forteresse Antonia, le siège du gouvernement du procurateur de Judée, Ponce Pilate. Vous êtes, bien sûr, au courant de la tentative de Pilate de passer la responsabilité à  Hérode Antipas, le Tétrarche de Judée. Jésus ne semble pas avoir souffert d’aucun mauvais traitement physique aux mains de Hérode qui l’a retourné à  Pilate. En réaction aux cris de la foule, Pilate a ordonné que Barabbas soit libéré et condamné Jésus à  être flagellé et crucifié.

Il y a beaucoup de désaccord parmi les autorités en la matière à  propos de la flagellation comme prélude inhabituel à  la crucifixion. La plupart des auteurs romains de cette période n’associent pas les deux. Plusieurs érudits croient que Pilate a, à  l’origine, commandé que Jésus soit seulement flagellé et que la sentence de mort par crucifixion est venue seulement en réponse aux railleries de la foule que le procurateur ne défendait pas correctement César contre ce prétendant qui se présentait comme le Roi des Juifs.

Les préparations pour la flagellation consistaient à  dépouiller le prisonnier de ses vêtements et à  lui attacher ses mains à  un poteau au-dessus de sa tête. La loi juive limitait à  40 le nombre de coups, mais il est douteux que les Romains en aient tenu compte.

Le légionnaire romain s’avançait avec le fouet (flagrum ou flagellum) dans sa main. C’est un fouet court se composant de plusieurs lanières de cuir pesantes avec deux petites boules de plomb attachées près du bout. Le légionnaire fouettait de toutes ses forces les épaules, le dos, et les jambes de Jésus. En premier lieu, les lanières lacèrent la peau seulement. Ensuite, alors que les coups se succèdent, ils entament les tissus sous-cutanés, produisant d’abord un suintement de sang provenant des capillaires et des veines de la peau, et finalement, c’est le saignement artériel qui gicle des vaisseaux musculaires.

Les petites boules de plomb produisent d’abord des contusions larges et profondes qui sont ouvertes par les coups suivants. Enfin, la peau du dos pend par de longs lambeaux et toute la région dorsale est une masse méconnaissable de tissu déchiré et saignant. Quand le centurion estime que le prisonnier est près de mourir, il fait cesser la flagellation.

Jésus, à  moitié évanoui, est alors délié et il s’effondre alors sur le trottoir en pierre, mouillé avec son propre sang. Les soldats romains trouvent cela bien drôle que ce Juif venant de la campagne prétende être roi. Ils lui jettent sur les épaules une robe longue et placent un bâton dans sa main pour servir de sceptre. Ils ont encore besoin d’une couronne pour terminer leur déguisement. Des branches flexibles couvertes de longues épines (généralement utilisées pour attacher par paquets le bois de chauffage) sont tressées dans la forme d’une couronne, puis sont enfoncées dans son cuir chevelu. Encore une fois, Jésus saigne abondamment, le cuir chevelu étant un des secteurs les plus vasculaires du corps.

Après s’être moqués de lui et l’avoir frappé au visage, les soldats lui ôtent le bâton de sa main et s’en servent pour le frapper sur la tête, enfonçant les épines plus profondément dans son cuir chevelu. Finalement, ils se fatiguent de leur sport sadique et ils arrachent la robe du corps de Jésus. La robe ayant déjà  adhéré aux caillots de sang et de sérum dans les blessures, elle lui cause une douleur atroce quand on la lui enlève, comme quelqu’un qui enlève sans précaution un bandage chirurgical. Les blessures commencent alors une fois de plus à  saigner, presque comme si elles encore étaient fouettés.

Par déférence pour la coutume juive, les Romains lui redonnent ses vêtements. Le patibulum lourd de la croix est attaché sur ses épaules, et le cortège du Christ condamné (les deux voleurs, et un petit groupe de soldats romains chargés de l’exécution et dirigés par un centurion) commence son lent voyage le long de la Via Dolorosa. Malgré ses efforts de marcher redressé, le poids de la poutre ainsi que le choc produit par la perte copieuse de sang, sont trop pour Jésus. Il trébuche et tombe. Le bois rugueux creuse dans la peau et les muscles lacérés des épaules. Il essaye de se relever, mais les muscles humains ont été poussés au delà  de leur résistance.

Le centurion, impatient de procéder avec la crucifixion, choisit un vigoureux spectateur d’Afrique du Nord, Simon de Cyrène, pour porter la croix. Jésus suit, saignant encore et transpirant de la sueur froide et moite causée par le choc, jusqu’à  ce que le voyage de 650 verges de la forteresse Antonia à  Golgotha soit finalement terminé.

On offre à  Jésus du vin mélangé à  la myrrhe, un mélange analgésique doux. Il refuse de le boire. On ordonne à  Simon de placer le patibulum sur la terre et Jésus est rapidement renversé vers l’arrière avec ses épaules contre le bois. Le légionnaire trouve la dépression à  l’avant du poignet. Il enfonce profondément dans le bois à  travers le poignet un clou en fer pesant et carré. Rapidement, il se déplace de l’autre côté et répète la procédure en faisant attention à  ne pas trop étirer les bras pour permettre une certaine flexion et un peu de mouvement. Le patibulum est alors soulevé en place au dessus du poteau. Un écriteau avec l’inscription « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs  » y est clouée.

Le pied gauche est pressé vers l’arrière contre le pied droit, et avec les deux pieds étendus, les orteils vers le bas, un clou est enfoncé à  travers l’arche de chaque pied, laissant la possibilité aux genoux de se plier un peu. La victime est maintenant crucifiée. Alors qu’il s’affaisse lentement en mettant plus de poids sur les clous dans les poignets, une douleur atroce est déclenchée le long de ses doigts et explose dans son cerveau – les clous dans les poignets mettent de la pression sur les nerfs médians. Quand il se redresse pour éviter ce tourment causé par l’étirement, il place tout son poids sur le clou dans ses pieds. Une fois de plus, il y a une agonie fulgurante causée par le clou déchirant ses nerfs entre les os du métatarse des pieds. Rendu à  ce point, alors que les bras se fatiguent, de grandes vagues de crampes balaient ses muscles, les nouant dans une douleur élançante, profonde et sans répit. Ces crampes l’empêchent de se redresser. Pendant par les bras, les muscles pectoraux sont incapables de faire leur travail. L’air peut être aspiré dans les poumons, mais ne peut être exhalé. Jésus lutte pour se soulever afin de pouvoir prendre une petite respiration. Finalement, le dioxyde de carbone s’accumule dans ses poumons et dans son sang ce qui le soulage partiellement de ses crampes. De manière spasmodique, il est capable de se soulever pour exhaler et inhaler ensuite l’oxygène qui le maintient en vie. C’est sans aucun doute durant ces périodes qu’il a pu prononcer sept courtes phrases retenues dans les Évangiles :

La première, regardant les soldats Romains jetant le sort pour partager son vêtement sans couture,

« Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ».

La seconde, adressée au voleur repentant,

« Aujourd’hui, tu seras avec moi au paradis « .

La troisième, regardant Jean, l’adolescent terrifié et peiné, – l’apôtre bien-aimé – ,

 » Voici ta mère « .

Ensuite, regardant sa mère Marie,

« Femme, voici ton fils ».

Le quatrième cri est une citation du début du Psaume 22

« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »

Jésus passe des heures de douleur sans limite ; crampes qui lui tordent et déchirent les ligaments, asphyxie partielle intermittente, douleur fulgurante où les tissus déchirés dans son dos lacéré sont frottés contre le bois rugueux quand il se soulève pour respirer. Ensuite une autre agonie débute… Une douleur écrasante, profonde et terrible dans sa poitrine alors que le péricarde se remplit lentement de sérum et commence à  comprimer le cœur.

On se rappelle à  nouveau le Psaume 22, au verset 14 cette fois-ci,

 » Je suis comme de l’eau qui s’écoule, et tous mes os se séparent ; mon cœur est comme de la cire, il se fond dans mes entrailles.

C’est maintenant presque fini. La perte de fluide des tissus a atteint un niveau critique ; le cœur comprimé lutte pour pomper du sang lourd, épais qui monte lentement dans les tissus ; les poumons torturés font un effort frénétique pour inhaler des petites bouffées d’air. Les tissus déshydratés de manière marquante envoient leur flot de stimuli au cerveau. Jésus halète son cinquième cri :

 » J’ai soif «  .

Son état correspond à  celui décrit au verset 15 du Psaume 22

 » Ma force se dessèche comme l’argile, et ma langue s’attache à  mon palais ; tu me réduis à  la poussière de la mort. »

On porte alors aux lèvres de Jésus une éponge plongée dans du posca, un vin amer bon marché servant de boisson principale aux soldats Romains. Il refuse apparemment de boire le liquide. Le corps de Jésus est maintenant rendu à  ses limites, et il peut sentir la froideur de la mort ramper dans ses tissus. Réalisant cela, il prononce sa sixième phrase, possiblement en murmurant

 » Tout est accompli « .

Sa mission expiatoire est complétée. Finalement, il peut permettre à  son corps de mourir. Avec un dernier sursaut d’énergie, il pousse encore ses pieds déchirés contre le clou, redresse ses jambes, prend une plus longue respiration, et prononce sa septième et dernière phrase :

 » Père, je remets mon esprit entre tes mains « .

Vous connaissez le reste. Pour ne pas profaner le sabbat, les Juifs demandent que les condamnés soient enlevés de leur croix. La crucifracture était la méthode habituelle de terminer une crucifixion ; on brisait les os des jambes. Ceci empêchait la victime de se soulever ; ainsi, la tension dans les muscles pectoraux ne pouvait être soulagée et la suffocation se produisait rapidement. Les jambes des deux voleurs furent brisées, mais quand les soldats parvinrent à  Jésus, ils ont vu que cela n’était pas nécessaire.

Probablement pour s’assurer que Jésus était vraiment mort, un légionnaire perce le côté de Jésus, dans le cinquième espace entre ses côtes, vers le haut, à  travers le péricarde et dans le cœur. Jean 19:34 rapporte que:

 » aussitôt il sortit du sang et de l’eau. « 

Cela causa une fuite d’eau provenant du sac entourant le cœur, donnant une preuve postmortem que notre Seigneur crucifié n’est pas mort de la manière habituelle par suffocation, mais que son cœur a manqué (cœur brisé) suite au choc et à  la compression du cœur par le fluide dans le péricarde.

Ainsi, nous avons un aperçu « ” incluant la preuve médicale « ” de cette manifestation du mal par les hommes envers l’Homme et envers Dieu.

Cela fut un spectacle terrible, plus que suffisant pour nous laisser découragés et déprimés.

Combien pouvons-nous être reconnaissants d’avoir la grande continuation de l’infinie miséricorde de Dieu envers les hommes – en même temps, le miracle de l’expiation et l’attente du matin triomphant de Pâque.

Parlant de Jésus, la Bible déclare dans Hé.5:7

« C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à  celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à  cause de sa piété, 8 a appris, bien qu’il fût Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes, 9 et qui, après avoir été élevé à  la perfection, est devenu pour tous ceux qui lui obéissent l’auteur d’un salut éternel »

Et nous pouvons lire aussi dans Ph.2:1-11

« Si donc il y a quelque consolation en Christ, s’il y a quelque soulagement dans la charité, s’il y a quelque union d’esprit, s’il y a quelque compassion et quelque miséricorde, 2 rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée. 3 Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes. 4 Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres. 5 Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, 6 lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à  arracher d’être égal avec Dieu, 7 mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; 8 et ayant paru comme un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à  la mort, même jusqu’à  la mort de la croix. 9 C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, 10 afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, 11 et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à  la gloire de Dieu le Père. »

Notre Seigneur Jésus, doux et humble de cœur (Mt.11:28), manifesta son obéissance parfaite à  son Dieu et Père, laissant un exemple que ses disciples ont suivi ; plusieurs furent aussi flagellés et mis à  mort : Hé.11:36

« d’autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison; 37 ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l’épée »

Ne soyons donc pas étonnés si nous subissons quelque souffrance, ce sera un test qui dévoilera la qualité de notre obéissance.