Dans mon songe (5/10/16), j’étais dans un hôtel assez luxueux, en tout cas de belle apparence, circulaire. J’y avais pris une chambre….
Comme dans tout bel hôtel, tout le monde pouvait entrer ou sortir à sa guise, sous réserve de payer le prix de la chambre (cher !)
C’était confortable mais je souhaitais prendre un bain et il n’y avait pas de baignoire dans ma chambre. J’en cherchais une à l’extérieur. Les chambres étaient disposées de part et d’autre d’une grande galerie, ornée de piliers sculptés. Je trouvais très vite » salle de bains » inscrit sur une porte, et j’entrais donc dans la pièce. Apparemment très propre et soignée. Mais la baignoire était recouverte en partie d’une bâche, et quand j’ai soulevé cette bâche, c’était horrible: ça grouillait de bêtes, de vers, de cafards…
Je sortis, déterminée à trouver un responsable de l’hôtel. J’ai repéré deux portes en face de moi sur lesquels étaient inscrits: » direction » et » administration « . Mais quand j’ai voulu y pénétrer pour signaler ces saletés cachées, j’ai vu à travers les vitres que les bureaux étaient vides, et la lumière éteinte… Je ne pouvais avertir aucun responsable pour qu’il fasse le nécessaire.
J’allais repartir dans ma chambre, quand j’ai vu les deux bureaux s’allumer, et deux hommes en sortir. J’ai suis allée vers eux pour les avertir, mais il m’ont dit n’avoir pas le temps de s’occuper de cela, car une manifestation festive, un genre de cocktail, se préparait. J’ai effectivement vu arriver aussitôt une foule de gens joyeux, accompagnés de tables chargées de mousseux et petits fours. Ils ont vite envahi la galerie.
J’avais très soif. J’ai donc demandé un verre d’eau. On m’a tendu un petit récipient en plastique, mais quand on a voulu y verser de l’eau (venant d’une bouteille en plastique), je me suis aperçue que le fond du récipient se détachait et que toute l’eau se perdait. Je me suis réveillée sur cette vision.
INTERPRÉTATION
J’ai reçu immédiatement l’interprétation. Le bâtiment, c’est l’Eglise dans le monde, toutes dénominations confondues. Elle est circulaire car un cercle symbolise la perfection, et c’est ce qu’elle veut paraître. Elle semble très belle, bien éclairée, magnifique même. Chacun peut y entrer ou en sortir à son gré. Du moment qu’il verse une bonne somme, il est le bienvenu, il peut y demeurer, y dormir, se promener…
La » baignoire » symbolisait le baptistère. Il fallait y entrer pour être purifiée par les eaux de baptème. Mais dans cette Megachurch si belle d’apparence, le baptistère recelait plein de saletés cachées; On en sortirait plus sale qu’on y est entré: trop de péchés cachés, trop de compromis: ça grouillait et c’était répugnant.
La foule entrait dans la galerie pour s’amuser et faire la fête. Comme dans Laodicée, elle semblait n’avoir besoin de rien, toutes les victuailles paraissaient bonnes et abondantes. Mais aucune carafe pour verser de l’eau pure, juste des bouteilles plastiques, et des bols en plastique pour recevoir cette eau. Ces petits bols en plastique transparent ressemblaient à du verre, mais ils n’étaient pas du vrai verre, et étaient si mal achevés que le fond ne pouvait tenir, même pour supporter seulement quelques gouttes d’eau . En fait, tout était factice…
L’eau pure, c’est l’eau de la Parole. Pas de vases d’honneur dans cette foule, juste du toc et de l’apparence. C’étaient des récipients qui ne pouvaient retenir l’eau de la Parole de Dieu. Même pas quelques gouttes ! Et la nourriture, c’était celle du monde: appétissante, mais non simple et saine.
Seigneur, ton Eglise est-elle vraiment dans cet état, camouflant ses saletés, dans l’incapacité de se purifier, sans bergers pour se préoccuper de son état réel, sans récipients purs et solides pour recevoir l’eau de la Parole – la vérité -, aimant une nourriture apparemment délicieuse mais, au final, nocive ? Une Église toujours prête à faire la fête pour s’étourdir ?
Jér 2 12 Cieux, soyez étonnés de cela; frémissez d’épouvante et d’horreur ! dit l’Eternel. 13 Car mon peuple a commis un double péché : Ils m’ont abandonné, moi qui suis une source d’eau vive, Pour se creuser des citernes, des citernes crevassées, Qui ne retiennent pas l’eau.
Heureusement, beaucoup le reçoivent, dans ces ténèbres qui couvrent le pays, il est des loupiotes, des petits lieux bien éclairés. Une amie a reçu ces jours-ci la vision d’une ligne allant du Nord au sud de la France, et tout au long, des petites lumières éparses ; Mais elle voyait tout l’Ouest de la France dans d’épaisses ténèbres.
Seigneur, embrase tout ce pays !
Lre aussi:
tres parlant,
j’ai cette série trés instructive à partager pour occuper le week end
https://youtu.be/psF5-QV0wBM
Eh , je suis dans le sud Ouest , et notre lampe ne brille peut être pas bien fort, mais elle brille 🙂
Dieu connaît les siens. Il y a des loupiotes bien cachées ! 🙂
Bonjour,Que pensez vous du ministère de Yvan Castanou
Je ne le connais pas suffisamment pour oser avancer une opinion … Je fais juste ce que Jésus m’a ordonné: on regarde les fruits !
à TIM :
1)
Bien prendre connaissance du 9ième commandement de la BIBLE
2) SOCRATE sans connaître la BIBLE ( La Thora ) , a fait une belle illustration du 9ième commandement : « Le Test des 3 Passoires. »
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Le Test des 3 Passoires.
Socrate avait dans la Grèce antique une haute réputation de sagesse. Quelqu’un vint un jour trouver
le grand philosophe et lui dit :
« ” Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?
« ” Un instant répondit Socrate ; avant que tu me racontes, j’aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.
« ” Les trois passoires ?
« ” Mais oui reprit Socrate, avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire.
C’est ce que j’appelle le test des trois passoires.
As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?
« ” Non, j’en ai seulement entendu parler.
« ” Très bien, tu ne sais donc pas si c’est la vérité.
Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté.
Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami est-ce quelque chose de bien ?
« ” Ah non ! au contraire.
« ” Donc continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certain si elles sont vraies.
Tu peux peut-être encore passer le test car il reste une passoire, celle de l’utilité.
Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?
« ” Non, pas vraiment.
« ” Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?
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