Hélène raconte :

Ce matin mon fils Émilien 10 ans  m’a raconté son rêve-songe au réveil

Dans ce songe, il partait moissonner un champ avec sa faux. C’était un champ de taille circulaire entouré de montagnes tout autour

Avant de partir il prenait des sacs. il y avait quatre sacs de tailles différentes dont un qui était percé, et qu’il n’a pas pris

L’un des sacs était gros et grand, l’autre était grand et mince, l’autre était plus petit et mince aussi. 

Il partait moissonner le champ. Il moissonnait la moitié du champ avec sa faux, mais l’autre moitié il ne pouvait pas car des animaux sauvages ( sangliers et cerfs qui selon lui ressemblaient a ses chèvres) qui arrivaient des montagnes et mangeaient l’autre partie du champ.  Il y avait aussi une sorte de boule, avec des piques. Il en sortait du feu qui brûlait cette autre moitié du champ qui devenait noir, car brûlé. 

Il met donc la moisson de la moitié du champ dans les trois sacs

Ce champ était sphérique et ressemblait aussi selon lui à la terre ( comme une planète )…

 


MAV. Ce rêve, reçu par un enfant de dix ans, interpelle car il rappelle bien sûr Luc 17 (« l’un sera pris, l’autre laissé), la parabole des dix vierges, ou celle de la moisson. Un avertissement de plus du Seigneur que tout l’Église ne sera pas enlevée, mais seulement ceux qui seront trouvés revêtus de la robe blanche, pure et sans taches.

 

Nous voyons à la dernière phrase qu’il s’agit du monde entier. « Votre champ, c’est le monde ». 

 

Je pense que c’est quatre sacs correspondent à la parabole du semeur et des quatre terrains. Comme un des sacs est percé, il se produit ceci: Mt 13:4 « Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin; les oiseaux vinrent et la mangèrent. « . La semence qui y était a été improductive, perdue.

 

Ce qui est dévoré par les bêtes sauvages, ou dévoré par le feu correspond à ce que Jésus a dit concernant ceux qui ne portent pas de fruit en Jean 15:  6 Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors comme le sarment et il sèche; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu et ils brûlent »

 

Et les trois autres sacs à la fin de la parabole :« 8 Une autre partie tomba dans la bonne terre; elle donna du fruit avec un rapport de 100, 60 ou 30 pour 1. »

Si Dieu nous avertit par des enfants de dix ans, n’est-ce pas parce que l’urgence des temps est là ? La moisson est mûre, elle va bientôt commencer !