Donné lors d’un culte en 2021.

Il y a une quinzaine de jours, au moment du réveil, quand j’étais prête de me lever, le Seigneur se révèle, et me donne 3 images.

• une image d’un Chef d’Entreprise, à côté de lui se trouve un jeune homme
• l’autre, c’est l’image d’un Roi et un jeune homme est à côté de lui

Là je demande au Seigneur ce que ça voulait dire ?

• et Il me montre un Pasteur (je savais en esprit que c’était un pasteur, comme je savais que c’était un chef d’entreprise, comme je savais que c’était un roi) et à côté, il y a un jeune homme.

Et c’est tout, je reste avec ces 3 images, en demandant au Seigneur ce que ça voulait dire, car ces images ne quittaient pas mon esprit, et je savais que l’Esprit voulait me montrer quelque chose.

Puis un dimanche matin, en commençant de louer le Seigneur au culte, je reçois l’explication, la révélation de ces 3 images.

Je revois nettement ces 3 images et le Seigneur m’explique :

• le Chef d’Entreprise qui va t’il mettre à la tête de son entreprise : son fils. C’est légitime
• Le Roi qui va t’il vouloir mettre à la tête de son royaume : son fils. C’est l’héritier, c’est logique
• Et Il me dit, aujourd’hui lorsque le pasteur veut arrêter de diriger son assemblée, qui désigne t’il pour lui succéder : son fils

Et là je sentais que ça ne plaisait pas à Dieu, ce n’est pas selon l’ordre de Dieu, ce n’est pas ce qu’Il veut pour son Église.

Et pour mieux m’expliquer, pour que je comprenne bien cette vision, Il me montre une autre image :

• un médecin de campagne, il fait suivre des études à son fils ou à sa fille, car il veut que se soit son enfant qui lui succède, pour pouvoir lui donner son cabinet. C’est légitime
• une famille riche ou aisée, les parents veulent que se soit l’héritier qui devienne le chef, c’est naturel et logique.

Mais pas dans l’Église.

Le Seigneur me dit : « Ce que j’aie contre l’Église aujourd’hui, c’est qu’elle fait fonctionner mes assemblées comme une entreprise, ils brassent de l’argent comme les entreprises, il y a des dirigeants qui font de la politique, comme les chefs d’entreprise, comme les familles aisées, comme les docteurs.

Ce qu’ils veulent c’est avoir un place comme le monde, car ils fonctionnent sur le modèle du monde.

Ils oublient que c’est Moi qui choisis qui doit diriger mon troupeau, et aujourd’hui ils m’ont retiré ce choix, c’est leur choix, ils choisissent à Ma place qui va diriger l’assemblée qu’ils quittent, et c’est souvent le fils. »

Mais Dieu me rappelle : « Ce n’est pas selon Mon ordre, c’est Moi, par Mon Esprit, qui choisis qui sera serviteur d’une assemblée et Je choisis parmi mes enfants celui qui sera capable, à qui Je vais donner la puissance, les dons… Je lui donne ce dont il a besoin pour s’occuper du troupeau. Ce n’est pas selon ce que le pasteur veut, mais selon ce que Je veux.

Mon Église vit comme une entreprise, et, NON, comme je le veux pas. Elle ne vit plus selon Mon onction, elle vit selon la puissance de l’entreprise ».

Le Seigneur me montrait des brassages d’argent dans les églises comme le font les entreprises, et ça ne Lui plaît pas, Il dit « c’est là qu’ils ont pris ma place »

En écoutant le saint Esprit, j’ai eu la pensée de Saül, quand il a perdu la royauté, il aurait aimé que ce soit son fils Jonathan qui le remplace, pas David, mais ce n’était pas la volonté de Dieu.

J’ai eu la pensée de Jacob, son 1er fils c’était Ruben, selon l’ordre des choses en Israël, c’est Ruben qui aurait dû être le patriarche, mais il a perdu sa place à cause du péché, bien que fils 1er né.

Pour Dieu ce n’est pas forcément le fils, l’héritier, à l’exemple des fils d’Isaac. C’est Jacob qui est devenu le père des 12 tribus, mais Isaac aurait choisit selon la chair, Esaü, comme cela se passe aujourd’hui dans les Églises. Ils ne font pas la volonté de Dieu.

FIN

Pour conclure : Abandonnons tout ce qui vient de la chair, laissons le Saint Esprit remplir nos esprits, nos bouches, nos pensées, que ce soit Lui qui prenne les décisions, laissons le Saint Esprit être le maître de nos vies.

Et chaque jour disons « NON, PAS MA VOLONTÉ, MAIS LA TIENNE SEIGNEUR »