– « Non, je n’ai pas eu d’enfant ».

Dans son regard un peu voilé par cette pathologie que je connais bien, j’entrevois un instant cette souffrance presque palpable. J’ai compris dans ces paroles hésitantes prononcées avec difficultés, le pourquoi de n’avoir pas pu être mère.

Elle, c’est Monique, une parmi tant d’autres dans cette unité protégée, protégée de quoi d’ailleurs ? D’une folie indéchiffrable où la douleur n’a plus de nom ? De l’angoisse qui  semble imprégnée les murs ornés de photos dont les visages figés sur l’objectif semblent ne pas comprendre ou plutôt ne comprennent plus.

Monique est Alzheimer comme tous ceux qui se trouvent dans cet endroit. Un endroit où je m’étais promis de ne plus mettre les pieds. Pourtant la détresse d’une famille connaissant mon métier m’a conduite ici pour y accompagner Dany deux fois par semaine. Dany qui hurle la nuit persuadée d’être enfermée dans sa propre maison.

Dany qui écrit des mots sur des bouts de papier, comme on jette une bouteille à la mer.

Le garde-champêtre est déjà intervenu puis les pompiers suite aux appels des voisins et les deux filles de Dany, déroutées, ont fait appel à moi en attendant de la placer dans cette unité définitivement.

Alors me voilà de nouveau dans ce lieu singulier loin des regards du monde et bien que je ressente un vague sentiment de mal être, je ne peux m’empêcher de m’émouvoir de ces drôles de personnes, plongées dans un monde à elles, que seul l’amour peut entrevoir et y plonger sans crainte.

Combien de temps vont-ils y vivre ces gens ? On pourrait se poser la question au regard des Lois qui ne cessent d’être pondues ces dernières années, dignes d’un quatrième Reich.

Il parait qu’ils sont devenus inutiles, que la mort est préférable pour eux et pour leur famille. Il parait, oui, il parait que la vie doit s’afficher aussi belle et éblouissante que dans ces magasines de mode, des images glacées où s’exposent ces beautés sur du papier inerte. Les autres n’ont plus le droit de vivre tout simplement, parce que trop malades, trop vieux, trop, trop, trop et pas assez comme il faut, ou plutôt comme ils le veulent, eux.

Des balbutiements de la vie à l’aube de celle de la fin.

Il y a des nuits où je ne trouve pas le sommeil ou si mal, alors je me lève, marche de long en large et je prie sans pouvoir arrêter mes larmes, des larmes de chagrin et de supplication. Je sais alors ce que ressent mon Sauveur et mon Seigneur Jésus à la vue de tant de vies gâchées, arrachées avec violence dans l’intimité du tabernacle sacré des femmes, ou bien en douceur pour nos aînés, sans avoir eu la possibilité de le connaître, LUI, le sauveur de l’humanité.

Je sers les poings avec fureur souvent, liant les esprits, ordonnant pour les uns d’apporter la délivrance, pour les autres la guérison, je sens alors une puissance en moi que j’expérimente chaque jour davantage.

La guerre fait rage, elle est davantage palpable et ne se cache plus. Paradoxalement, c’est un bon signe, ça signifie que nous approchons de la fin et que l’ennemi le sachant met les bouchées doubles !

Ces pathologies issues du vaxxin covid qui se révèlent au fil du temps

Elle arrache les herbes, le visage baissé, mais je sens que quelque chose ne va pas. Marie est la fille de l’aînée que j’accompagne deux fois par semaine, une nonagénaire atteinte de troubles cognitifs et qui pourtant me bat à chaque fois au tri domino. Marie vient d’apprendre que sa petite-fille a été diagnostiqué d’une pathologie inconnue pour moi, et qui se nomme « Angelman ».

« Le syndrome d’Angelman se caractérise par un déficit intellectuel et moteur sévère, une absence de langage, une jovialité et des accès de rire, des troubles de l’équilibre, un tremblement des membres, une épilepsie et des troubles du sommeil. »

Il est spécifié que c’est une maladie génétique rare liée à la perte de fonction d’un ou plusieurs gènes de la région 15q11-q12 d’origine maternelle.

Rare, vraiment ? De nos jours, la rareté me semble de plus en plus familière et se déploie dans le monde un peu partout, là où le mal s’est immiscé dans une seringue dont les substances ténébreuses brisent les corps et les cœurs.

Elle en larmes Marie, elle accuse mal le coup et ne comprend pas.

Moi, si.

Sa fille s’est fait « injectée » via une piqûre aussi venimeuse qu’une morsure de serpent alors qu’elle était enceinte.

Je me souviens alors de ces files d’attente à côté de l ‘Ehpad où je travaillais, et j’avais ressenti une immense tristesse en voyant parmi ces gens si dociles, des femmes enceintes. Deux ans plus tard, les conséquences sont là, tout comme les désastres irréparables que subissent désormais les familles.

Hélène se retrouve de nouveau à l’hôpital, un de ces reins lâche et l’infection s’est déployée sur son appareil urinaire.

« C’est le vaxxin, Muriel, je sais que c’est à cause de ça… » m’a-t-elle dit dans un souffle.

J’entends ces aveux souvent, trop souvent.

Si le corps médical allié à la propagande gouvernementale s’obstine dans l’omerta au regard des actualités, le silence s’est brisé dans les foyers et dans les rues. Les gens parlent et je les encourage par mon témoignage sans détour.

Néanmoins, le mal a remporté une victoire et, dans quelques semaines, l’O.M.S déguenillée va tenter la palme de la folie : prendre le plein pouvoir sur les nations.

La bête dotée de tentacules perverses et meurtrières dont l’une s’élève plus vigoureusement, celle de la santé mondiale.

« L’OMS fait pression sur ses États membres pour qu’ils lui accordent le plein pouvoir de décision pour déclarer l’urgence pandémique à tout moment et en tout lieu, pour suspendre les droits constitutionnels des personnes et pour imposer des obligations  de vaccination via un projet de traité sur la pandémie et des amendements au règlement sanitaire de l’OMS. »

Il y a fort longtemps, les enfants étaient sacrifiés sur l’autel d’une statue nommée Moloch, une statue chauffée à blanc sur laquelle on déposait les premiers-nés, dont les petits corps brûlaient lentement sous les clameurs et les chants de la foule, pour couvrir leurs hurlements. Aujourd’hui on les empoissonne, on les arrache du ventre des mères, on les démembre avec des instruments barbares, on les piquent à tout va de vaccins aux mille maux, censés les protéger.

Que de nombreux enfants assassinés tel que Léo Forstenlechner, âgé d’à peine 12 ans, décédé après une deuxième injection, de manière inattendue, et que dire de ceux qui ont perdu la vue, ne peuvent plus marcher ou sont secoués de tremblements ? L’enfer sur terre pour de nombreux parents démunis et ravagés par le chagrin.

Et satan se réjouit sur sa musique lugubre dont les sons retentissent à travers les couloirs des hôpitaux dépassés, dans les foyers brisés par la souffrance et l’incompréhension.

La pétition mondiale.

Olivier, un frère aîné dit avec sagesse que l’OMS, cette organisation illégitime, devrait être démantelée et non renforcée, elle qui est l’investigatrice d’une expérimentation criminelle des vaxxins et ceux qui les ont commandités, ces criminels aux allures de médecins de camps de concentration, devraient purger des peines de prison à vie.

 

« …dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. » Ephésiens 2.2

Ils devraient oui, mais nous savons que ce monde ne condamne pas les « suiveurs » du Prince de l’air, satan, mais les récompensent. La justice se fera oui, mais elle sera divine et dans un lieu où rien ne restera dans l’ombre.

 

« Jusque sur les pans de ton habit se trouve le sang de pauvres innocents », Jérémie 2.34

Il y a vingt ans, quand le mariage gay, malgré une opposition forte de la population française, a été voté, je me suis dit : « si cette loi passe les autres passeront aussi : la boite de pandore s’est ouverte et ne se refermera pas ». Un collègue ne m’avait pas cru, et pourtant quelque année plus tard il m’avait dit  » tu avais raison Muriel » 

Non l’ami, je n’ai pas eu raison, c’est Dieu qui a raison, parce qu’il nous avait prévenus.

Cette pétition, elle est signée et y aura même une lettre rédigée avec une soeur mais je n’y crois pas. Parce que je sais que les lois qu’ils fomentent dans des lieux sinistres telles des loges franc-maçonniques seront appliquées, de gré ou de force.

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ephésiens 6.12

De plus, autour de moi, peu s’en soucient, submergés par leurs occupations ou le travail, dépassés par les actualités qui distillent la peur et l’inquiétude qui se sont infiltrés dans leur cœur : ils sont paralysés et ne pensent plus, ou mal, si mal.

Ce monde, telle une toile d’araignée, image de l’internet, où se déversent les poubelles de l’humanité, appartient à l’adversaire, ses pièges sont en place et enserrent de ses fils maléfiques la planète entière. Toutes les structures sont dirigés par les esclaves de cet impie encore dans l’ombre et nos efforts humains aussi nobles soient-ils n’y changeront rien. Le bon sens, la réflexion s’avèrent bien illusoire bien souvent. Une des intervenantes que j’ai croisé pour un malade m’a même dit sans détour que l’euthanasie est préférable.

– « Ils ont droit et puis moi je suis pour, JE VEUX décider de ma mort »

Mais sais-tu que ta vie est précieuse et que c’est Dieu qui l’a donne et la reprend ? Non elle ne sait pas et ne veux pas savoir. Et combien pensent de la même manière dans mon métier ? Nombreux, trop nombreux. De voir ces corps décharnés et déformés par la souffrance les terrorise et mourir est préférable.

Alors l’OMS avec ses publicités et sa propagande hitlérienne proclamée « fraternelle » pour notre prochain a rallié bien des gens dans ses filets. Le dictateur allemand mort il y a plus de quatre vingt ans doit lui aussi danser dans sa tombe !

Et que dire des « droits sexuels et reproductifs (DSR) » ? (Source Olivier Jean-Yves).

Cela inclut tous les plans radicaux concernant les bloqueurs de puberté, les hormones, les mutilations et l’avortement à la demande. Un self service de l’horreur ! Ont-ils oublié ces médecins d’opérette, dénués d’humanité et de conscience, le serment d’Hippocrate à défaut des Ecritures Bibliques ?

Tu ne tueras point ! 

Parler ouvertement de Dieu et du Fils Jésus-Christ est devenu vital.

« Vous n’avez pas voulu d’un Dieu d’Amour et de Justice, vous aurez un dieu de guerre ! »

Je pense personnellement que les temps sont ceux de la sanctification, de la préparation de la rencontre avec notre Seigneur Jésus-Christ qui est proche, très proche.

Ce monde est au bord de l’explosion et prêt à basculer dans les méandres de la folie et de la cruauté en un instant quand l’Anti-Christ se présentera sur la scène mondiale.

La vision de cette chrétienne Norvégienne vécue en 1968 me semble de plus en plus plausible. La guerre surviendra subitement juste après l’enlèvement. 

Tous les compteurs sont au rouge.

Levons les têtes sur le ciel et les regards sur la Bible.

Soyez bénis.