TÉMOIGNAGE DE BRADLEY | ECZÉMA CHRONIQUE SÉVÈRE + SEPTICÉMIE MORTELLE : IL A CHANGÉ SON ALIMENTATION, BRADLEY EST GUÉRI !
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Proposé par valeriesha.com
Invitation de la part de Orah de Soucat David:
REJOIGNEZ-NOUS SHABBAT POUR UN ENSEIGNEMENT INÉDIT SUR ‘HANOUCCA!
Je mets ici son intervention. Même si chaque année, nous recevons l’instruction, nous pouvons encore la lire.
De plus, il y a d’autres articles sur ce sujet sur le blog.
Signification et célébration de la Fête de Hanoucca
La Victoire sur les Ténèbres!
Hanoucca, חנכה signifie « dédicace ». Le mot signifie également « éduquer » et « initier ».
Bien que cette fête ne soit pas incluse dans les commandements bibliques, sa signification est très importante et représente le combat spiritual entre la Lumière de la Thora et les ténèbres d’un monde sans D.ieu.
L’histoire de Hanoucca commémore la victoire de la famille des Hasmonéens sur les Grecs qui aboutit à l’indépendance d’Israël et la restauration du culte divin par la purification du Temple.
Le 25 du mois de Kislev, Yéhouda Maccabi, le chef de la révolte juive purifia le Beth Hamikdach (Temple) et entrepris de rallumer la Menora qui devait brûler jour et nuit sans interruption. Pour cela il fallait de l’huile pure scellée du sceau du Cohen Gadol (Grand Sacrificateur). Or Antiochus Epiphane, le général grec avait profané toutes les fioles d’huile. En fouillant le Temple, les Juifs retrouvèrent une petite fiole encore scellée mais dont la quantité d’huile ne suffisait que pour un jour. Il fallait huit jours pour préparer de l’huile sainte. Par la foi, les Hasmonéens décidèrent d’allumer la Menora et l’huile dura miraculeusement huit jours. La fête de Hanoucca fût alors instituée pour célébrer ce miracle et la victoire de la Thora sur les ténèbres de la pensée et de la culture grecques.
En effet, le Judaïsme assimile l’empire grec à l’un des quatre exils que le peuple juif a subis, les trois autres étant ceux de Babylone, de Perse et de Rome. Ces quatre exils sont liés aux premiers mots de Béréchit (Genèse) :
Genèse 1: 2 Et la terre était désolation תהו et vide ובהו, et il y avait des ténèbres וחשך sur la face de l’abîme תהום.Et l’Esprit de Dieu planait sur la face des eaux.
La Grèce est liée avec les ténèbres car les Grecs ont essayé de détruire l’âme et la raison d’être des Juifs en essayant de les « convertir » par l’hellénisation de différentes façons: en interdisant la lecture et l’enseignement de la Thora la pratique de la circoncision, le respect du Shabbat et des nouvelles lunes et en forçant les jeunes vierges juives à partager la couche des officiers grecs la nuit précédent leur mariage, souillant par là la sainteté de l’alliance du mariage et de la famille.
Sous le règne d’Antiochus IV, surnommé Epiphane (« le splendide » ou « manifestation divine”), les Grecs souillèrent le Temple en y introduisant la statue de Zeus, en offrant des porcs sur l’autel des sacrifices et en profanant les fioles d’huile d’olive destinées à l’allumage de la Menora.
La Menora qui brillait jour et nuit dans le Temple, était le symbole de la Parole de D.ieu. Et l’intention d’Antiochus était claire : Empêcher la lumière divine de briller et d’apporter Sa lumière et la Vérité.
L’empire grec corrompu était à l’époque la super puissance politique et le but était l’hellénisation du monde par la culture, la langue et les traditions grecques. Beaucoup de ces coutumes étaient profondément païennes et impures et la sainteté n’y avait aucune place.
Il est intéressant de noter que le don de l’esthétique, de la beauté avait été donné aux descendants de Yapheth par la bouche de leur père Noah:
Genèse 9 :27 Que Dieu élargisse Japheth, et qu’il demeure dans les tentes de Sem, et que Canaan soit son esclave !
Yapheth, en hébreu signifie « beauté ».
Un des descendants de Yapheth était Yavane (Genèse 10 :2), qui veut dire Grèce en hébreu. D’après le Talmud, ce verset signifie que le don de la beauté artistique donné à Yaphet devait demeurer dans l’enceinte de la tente de Shem qui symbolise les valeurs spirituelles et l’étude la Thora. La beauté n’a de valeur que si elle est mise au service de D.ieu afin de Le glorifier.
Athènes était la capitale du modernisme et tout était consacré à la réalisation humaine, à la beauté du corps, au plaisir des yeux et de la chair, et finalement à la corruption.
Jérusalem, à l’opposé était le centre spirituel du monde et représentait la sagesse divine, et le Temple attestait de la présence divine, la Shekhina sur terre.
Ce qui intéressait les Grecs, ce n’était pas la destruction physique des Juifs, comme ce fût le cas pour Haman ou Hitler, mais plutôt la corruption de la pensée biblique.
Les Juifs n’avaient pas le choix : résister ou mourir, et avec eux le témoignage de l’existence de D.ieu. Ceux d’entre eux qui entraient dans le compromis perdaient leur identité.
Notre monde occidental a beaucoup hérité de la pensée grecque et Shaül (Paul) nous avertissait :
Romains 12 :2 Et ne vous conformez pas à ce siècle ; mais soyez transformés par le renouvellement de votre entendement, pour que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, bonne et agréable et parfaite.
Dans l’Alliance Renouvelée, il est fait mention de cette fête :
Jean 10 :22-23 Or la fête de la Dédicace se célébrait à Jérusalem, et c’était en hiver. Et Yéchoua se promenait dans le temple, au portique de Shlomo.
Il n’est pas surprenant que Yéchoua était présent pour la Fête des lumières, autre nom pour ‘Hanoucca. La Menora nous parle de cette merveilleuse lumière qu’Il a apportée au monde et dans nos vies :
Jean 8 :12 Yéchoua donc leur parla encore, disant, Moi, je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.
Le message de Hanoucca est très important pour les croyants aujourd’hui. De la même façon que l’olivier s’hybride mal et que son huile se mélange difficilement, nous devons conserver la pureté de notre source d’inspiration afin que la Menora de la Parole de D.ieu soit toujours entretenue par l’ huile pure, sanctifiée de Son Esprit. N’oublions jamais que de la même façon que Yits’haq n’a jamais quitté la Terre Promise, ayant été consacré comme sacrifice parfait par D.ieu, nous ne pouvons recevoir la révélation complète de Yéchoua sans comprendre le rôle d’Israël dans le plan de rédemption divin. Tout est écrit dans Sa Thora qui parle de Lui:
Jean 5:47 Car si vous croyiez Moshé, vous me croiriez aussi ; car lui a écrit de moi. Mais si vous ne croyez pas ses écrits, comment croirez–vous mes paroles ?
Célébration de la fête :
La fête de Hanoucca débute le 25 du mois de Kislev
On allume le soir de la fête et pendant huit jours consécutifs une ‘Hanoukkia constituée de huit bougies plus une appelée le Shamash qui sert à allumer les huit premières. Le premier soir, on allume une première bougie et on récite les trois bénédictions suivantes :
1. « Béni sois-Tu, Seigneur D.ieu, Roi de l’univers, Qui nous a sanctifiés par Ses commandements, et nous a commandé d’allumer les lumières de Hanoucca. »
2. « Béni sois-Tu, Seigneur D.ieu, Roi de l’univers, Qui a accompli des miracles pour nos ancêtres, en ce jour-là, à cette époque. »
3. « Béni sois-Tu, Seigneur D.ieu, Roi de l’univers, qui nous a fait encore subsister, et nous a permis d’arriver jusqu’à ce moment. »
Le premier soir, une bougie est allumée, le second soir, une deuxième et ce jusqu’au huitième soir où toutes les bougies seront allumées ensemble. On allume de la droite vers la gauche en se servant du Shamash (serviteur).
Tous les membres de la famille allumeront la ‘Hanoukkia, car nous tous avons besoin de Sa lumière dans nos vies.
De très jolis cantiques sont chantés pour la fête de Hanoucca, le plus célèbre étant Maoz Tsour Yéchouati (le Rocher de mon salut).
Coutumes de la fête :
Il est d’usage de jouer de la toupie, Sevivon. Quatre lettres sont gravées sur les quatre côtés de la toupie qui signifient :
Ness Gadol Haya Po (Un grand miracle s’est produit ici)
נס גדול היה פה
On mange des beignets de pomme de terre (lévivot) et des beignets sucrés remplis de confiture (soufganiot).
Nous vous souhaitons une lumineuse fête de Hanoucca et que la Lumière de Son Esprit brille dans vos cœurs et vous conduise sur le chemin de la sainteté !
‘Hanoucca Samea’h Bonne Fête de ‘Hanoucca!
Contactez-nous pour recevoir le lien de Shabbat 28/12 pour le cours sur ‘Hanoucca
Oui, c’est une fête qui nous parle à tous et qui est pour moi un peu un aboutissement.
Mais je voudrais commencer par Yavan. La forme sous laquelle est désignée la Grèce dans la Bible montre à quel point les informations recelées par la Bible sont anciennes et fiables. La lettre qui a la valeur numérique « 6 » en grec ancien est le digamma. Or, c’est une lettre dont on ne se sert plus dans le grec classique.
Que s’est-il passé?
L’indo-européen dont provient le grec possédait différentes sonantes dont l’une était le son « W » qui est justement celui que retranscrivait le digamma à l’origine. Mais ce son s’est graduellement perdu dans le grec classique. On ne voit des digammas que dans des inscriptions archaïques dans les dialectes d’îles qui avaient gardé le son plus longtemps qu’en Grèce continentale.
Si l’on prend la racine « ergo- » qui veut dire « travail » et qui a donné « ergonomie », en restituant le digamma qui a disparu « wergo-« , la parenté avec le « Werk » de l’allemand et le « work » de l’anglais saute aux yeux, n’est-ce pas? L’eau, avant d’être « hudor », d’où « hydrologie », avait été « Wudor », parente du « water » anglais comme du « voda » russe. Par conséquent, la région bien connue « Ionie », qui donne son nom à la Mer ionienne, avait été, avant le premier millénaire avant Jésus-Christ, « IWonia » (car les voyelles en hiatus du grec sont l’indice immanquable de la perte d’une consonne ou d’une sonante). Et cela montre à quel point le mot « Yavan » dans la Bible et en hébreu remonte à une très haute antiquité.
Quand j’étais enfant, j’avais 6 ans, alors que je regardais un poster de voitures de course que mon père avait accroché au mur de ma chambre, j’entendis en moi « jamais 7 sans 8 ». Cela s’était imprimé en moi. Je ne l’ai jamais oublié. A l’époque, je n’avais pas compris d’où cela venait et ce que cela voulait dire au juste. C’est bien plus tard que je compris que c’était un des premiers messages de Dieu. J’étais un peu comme le petit Samuel à l’époque ! Et quand Dieu commença à me parler très distinctement, très évidemment, Il me montra comment, la plupart du temps, « 7 » est le chiffre qui signe Jésus, Fils de Dieu. Déjà par Son nom en hébreu qui se compose de quatre lettres (quatre = daleth, la porte « Je suis la Porte »)
ישוﬠ
Il me fit sentir aussi combien la menorah à sept branches dans le Lieu saint, préfigurait la lumière de Jésus qui éclaire vers la demeure du Père dans le Lieu très saint. Et si chacune des sept églises (7!) des chapitres 2 et 3 de l’Apocalypse est représentée par un chandelier d’or (1:20 – 2:1), c’est parce que chacune porte le Nom de Jésus car la menorah est le Nom de Jésus. 7, c’est aussi l’épée, zayn, comme l’épée de la Parole qui sort de Sa bouche (1:16).
Mais Jésus est en même temps, inséparablement, le Fils de l’Homme, dit aussi le Fils de David. Or, David était le huitième fils de Jessé/Issa. La lettre khet représentait à l’origine une clôture. 8, c’est donc la protection, peut-être aussi la séparation, la séparation du salut dont les huit rescapés du déluge sont le signe. Et c’est là que le chandelier de hanukkah avec ses huit lampes est aussi prophétique et comme l’autre face de la menorah à sept lampes.
Maintenant que mes cheveux sont aussi blancs que ceux de l’Ancien des jours, je sais que ce « jamais 7 sans 8 » était Sa manière de me révéler Jésus dès mon plus jeune âge. L’antichrist et les religions de l’antichrist se reconnaissent à cela: elles nient farouchement que Jésus est à la fois le 7 et le 8. « Il n’engendre pas et il n’est pas engendré » profère l’islam. Les Jéhovistes, tenez-vous bien, vont jusqu’à expliquer Jean 21:28 ainsi: Thomas regarda d’abord Jésus et Lui dit « mon Seigneur », puis, Lui tournant le dos, il se tourna vers le ciel et ajouta « et mon Dieu ». L’antichrist dans toute l’insolence de ses absurdes mensonges ! Alors, quand je voyais les chandeliers de hanukkah aux fenêtres de maisons juives à Strasbourg, je mesurais combien Jésus est si proche d’eux sans qu’ils s’en rendent compte. Et qui est le serviteur, shamash, sinon Jésus (‘aved en Esaïe 52:13, le mot qu’emploient tant de prénoms musulmans: ‘abd, serviteur d’allah = ‘abdu llah)?
En relisant tout cela, je me demande maintenant si la perte du digamma n’est pas aussi un signe spirituel. En effet, 6, en hébreu, c’est la lettre vav, qui représente un crochet. D’où le rapprochement avec les clous qui accrochèrent Jésus au bois de la croix, alors que le vav est justement la troisième lettre de Son nom.
Perdre le digamma, c’est peut-être prophétiquement perdre le salut de la croix. 6 est aussi lié à l’homme, créé le sixième jour comme nous savons.
Perdre le digamma, c’est peut-être aussi perdre l’humanité et descendre dans la sous-bestialité, précisément ce que nous vivons maintenant avec le wokisme et le transhumanisme qui n’est qu’un affreux déshumanisme. Les Grecs de l’antiquité sont restés célèbres pour la souillure de leurs mœurs, pour leur pratique généralisée de la bougrerie. Cela aussi est revenu au goût du jour (ou plutôt au dégoût du jour).