Source: Dreuz.Info – MAV: J’ose dire: les masques tombent. CE GOUVERNEMENT VEUT TUER UN MAXIMUM DE GENS !

 

Après le retrait d’autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament à l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, Renaud Muselier a envoyé un courrier salé au ministre de la Santé.

 

Renaud Muselier ne décolère pas. Le président des Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur a appris avec stupéfaction que l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU – Marseille) ne pouvait plus utiliser l’hydroxychloroquine au sein des services. Comme le détaille Le Figaro qui s’est procuré son contenu, Renaud Muselier a envoyé un courrier « au vitriol » au ministre de la Santé pour lui faire part de son mécontentement. « Cette décision est révoltante à plus d’un titre. A partir de lundi, les équipes de cet institut exceptionnel ne pourront plus soigner les patients selon le protocole appliqué depuis mars 2020. Est-ce à dire que vous choisissez de priver des médecins de faire leur devoir, de soigner leurs patients ? », s’insurge le président LR de la région PACA.

Dans sa lettre, Renaud Muselier rappelle que les chercheurs et les médecins qui travaillent à l’IHU sous la houlette d’un chercheur reconnu, en l’occurrence Didier Raoult, « un des plus grands microbiologistes du monde », et que tous « ont prêté serment ». Le président LR de la région enjoint également le ministre de la Santé d’intervenir auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour leur rappeler que son souci premier est de « rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments… ».

Un des plus grands sites de dépistage

Renaud Muselier rappelle encore le bilan de l’institut depuis le début de la pandémie de coronavirus, avec notamment près de 9 000 patients suivis et plus de 5 800 traités avec le protocole hydroxychloroquine/azithromycine, tout en précisant que « Marseille était un des plus grands sites de dépistage d’Europe, pour la première vague ». Il accuse enfin l’ANSM d’interférer dans les décisions prises par Olivier Véran : « Allez-vous laisser cette agence décider des soins prodigués dès lundi par des praticiens hospitaliers, des professeurs de médecine dépendant de la faculté de médecine de Marseille, nommés par le ministère, et ceci en totale contradiction avec les principes fondamentaux de la médecine ? »

Vendredi 23 octobre, l’Agence du médicament avait refusé une utilisation « plus étendue » de la molécule de l’hydroxychloroquine « dans la prise en charge de la Covid-19 » car elle ne « permet pas de présager d’un bénéfice pour le traitement ou la prévention de la maladie ».