… Le professeur marseillais est resté sur ses positions, notamment quant à la gravité de la maladie dépeinte dans les médias et par les politiques. La Covid-19 n’est « pas pire que la grippe » a-t-il déclaré. 

Extraits de l’article 

« Nous sommes très loin du 1% de morts dans les hôpitaux », ce qui est extrêmement bas selon le médecin.

Interrogé sur une éventuelle reprise de l’épidémie, le directeur de l’IHU Méditerranée estime que ça ne prend « pour l’instant pas cette forme-là. L’avenir d’une maladie nouvelle est imprévisible. Les chiffres sont très difficiles à interpréter. Ce qui est sûr, c’est que plus vous testez, plus vous trouvez de cas » a-t-il continué. «ceux qu’on trouve maintenant et ceux que l’on trouvait en février ou en mars, ce n’est plus la même maladie».

« Ce n’est plus la même maladie qu’en février. La forme est très bénigne aujourd’hui ». « Il y a des maladies virales qui circulent qu’on comprend mal et qui font partie de l’histoire de notre interaction avec notre environnement, c’est comme ça », a-t-il estimé.

« En 2017, la grippe a tué plus que le coronavirus cette année »…

 

« Le masque protège les gens dans le domaine du soin. Pour le reste, rien n’est clair, rien n’a été démontré sur le plan de la transmission virale« , « le masque joue un rôle de signal de la circulation d’une maladie ».

« J’ai peur de la peur. La peur fait des comportements extrêmement dangereux » a rajouté l’épidémiologiste, inquiet que l’exécutif et la population se focalisent sur les masques, créant des tensions. « Je suis inquiet que des gens veulent faire la loi, des dictateurs qui veulent imposer le masque. J’aurais préféré qu’on en reste aux recommandations » a-t-il conclu.

« On surréagit à la peur sans que se soit justifié dans 90% des casIci honnêtement, il n’y a pas plus de morts cette années que ce qu’il y a eu en 2018 et 2019 et moins qu’en 2017. Il faut se calmer. Je redoute que dans une société aussi fragile et aussi nerveuse toutes les mesures qui augmentent cette tension qui n’est pas justifiée par les nombres. »

« Plus on s’affole moins on soigne bien les gens. C’est ça se qui s’est passé. La désorganisation liée à l’affolement. » « On n’organise pas de luttes avec les gens qui ont peur. Il faut enlever ceux qui ont peur et mettre du courage devant… c’est comme ça qu’on gagne, pas avec les gens qui ont peur. »

 

 

Le professeur estime que l’interdiction de la chloroquine, prise par deux milliards de personnes avant l’épidémie, sans aucun risque est un scandale. Il a également rappelé que le doliprane est beaucoup plus dangereux alors qu’il est en vente libre.

 

« Comment on a pu croire des publications qui affirmaient que l’hydroxychloroquine tuait 10% des gens ? Il n’y a aucun effet secondaire. Le doliprane ça tue 100 fois plus que l’hydroxychloroquine. »

 

 

« Si la maladie reste ce qu’elle est maintenant, je ne sais pas qui va vouloir se vacciner pour un truc qui ne tue pas »

« Je suis un scientifique et la science, ce n’est pas une question d’idéologie. C’est juste de la connaissance »

 

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