… « Donc une croix, c’est quelque chose qu’on prend délibérément. C’est l’obéissance à Christ. C’est faire ce que le Seigneur ordonne, et en accepter ensuite les conséquences; si les conséquences constituent une croix, alors prenez votre croix. » …
Eh bien, en fin de compte, accepter Christ, c’est accepter ses amis comme vos amis, et quand j’en viens à cette partie, je suis heureux, parce que les amis de Jésus-Christ sont les gens les plus aimables du monde entier.
Je n’ai pas honte des amis de mon Sauveur. Oui, je sais qu’il y a quelques chrétiens qui sont un tout petit peu barjos ? oui, je sais ! Je sais qu’il y en a chez qui ça ne tourne pas tout à fait rond – quelques-uns- et je sais qu’ils font des choses étranges; je sais qu’il y en a qui portent des badges, vous savez, aussi gros qu’une chope de bière, qui disent » Jésus seulement » et ils vont dans la rue et ils font des choses étranges. Mais mes amis, que le Seigneur les bénisse, ils sont bien intentionnés ! Et parfois, ils gagnent des gens pour le Seigneur quand de dignes personnes comme nous n’y arrivons pas.
Avez-vous entendu parlé de cet homme: c’était un grand prédicateur et il avait un de ses amis, un avocat, qu’il essayait souvent de faire venir à l’église, mais celui-ci ne voulait pas venir. Cependant un jour, il est venu.
Dans cette même église, il y avait un homme qui n’était pas forcément très intelligent mais qui avait vraiment un grand cœur.
Lorsqu’il vit cet avocat entrer, le prédicateur fut extrêmement inquiet, parce que cette personne, qui avait un grand cœur mais était un peu simple, avait l’habitude de faire le tour de l’église et de demander aux gens s’ils étaient sauvés. Alors il se mit à prier silencieusement que le Seigneur l’aide à prier un grand sermon et qu’il garde cette fameuse personne éloignée de cet avocat, parce qu’il savait que l’avocat était une personne cultivée, respectable, qui s’en irait certainement bien vite si qui que soit l’approchait. Enfin, quand il donna l’invitation pour recevoir le salut après le sermon, de façon prévisible, à sa grande horreur et désolation, ce simple garçon s’est approché de l’avocat et lui a pris la manche et l’avocat est parti. Et bien, a-t-il dit, je savais que ça allait arriver.
Vers minuit ce même soir, le téléphone sonna et l’avocat était à l’autre bout du fil et il dit, » Révérend, venez, je veux vous voir. » » Oh, je voulais m’excuser, « dit-il, » je me sens si mal à l’aise par rapport à ça. »
Le prédicateur demanda,
– » Par rapport à quoi? «
l’avocat expliqua,
– » À cause de ce pauvre garçon qui est venu vous voir et vous embêter pendant le service, vous savez. «
Il insista,
– » Venez, s’il vous plaît, je veux vous voir. «
Donc le prédicateur y alla. L’avocat déclara,
– » Je suis en détresse; mon âme est prête à périr ! Je dois être sauvé; dites-moi comment être sauvé! «
Il n’a pas fallu longtemps au prédicateur pour amener l’avocat à Jésus-Christ. Quand il eut reçu la lumière de la nouvelle naissance et qu’il fut pardonné et régénéré, le prédicateur s’aventura à lui demander,
– » Qu’est-ce qui, exactement, dans mon sermon, vous a amené au Seigneur? «
L’avocat dit,
– » Révérend, rien dans votre sermon. » Il dit, » Vous vous rappelez ce garçon étrange qui faisait le tour et s’en est pris à moi?’ «
– » Oui, je voulais m’excuser. «
– « Ne vous excusez pas » dit-il, » C’est comme ça que j’ai été sauvé ! Vous savez ce qu’il m’a dit ? Il m’a dit, ‘Voulez-vous allez au ciel?’ J’ai dit, ‘Non!’ Il a dit, ‘Eh bien, allez en enfer alors!’ et il est parti ! «
Il poursuivit: « J’étais en colère, et je suis sorti de l’église mais tandis que je descendais la rue, j’entendais le ciel ou l’enfer, le ciel ou l’enfer, le ciel ou l’enfer « . Et il ajouta » Si ce n’est pas le ciel, c’est l’enfer ! C’est pour cela que je vous ai appelé! «
C’est pourquoi je vous dis mes frères, j’aime le peuple de Dieu et j’accepte ses amis comme mes amis ! Cela ne m’importe pas de quelle couleur ils sont; s’ils sont saints et Ses amis, ce sont mes amis et je n’ai pas honte d’eux ! Je n’ai pas honte de mes amis d’où qu’ils viennent. Je prêche dans des universités et des séminaires et parmi les grands noms et j’ai prêché à des évêques, mais j’aime les gens de Dieu simples et entiers; des gens sans trop d’éducation et peut-être n’ont-ils pas toute la culture et ils pensent que Beethoven était celui qui jouait avant-droit au PSG, et tout ces trucs mais ils sont les brebis de Dieu, ils sont miens et ils sont aussi les enfants de Dieu, ils sont mes frères ! J’accepte Ses amis comme mes amis.
Ensuite, croire en Jésus de manière salutaire, c’est accepter ses ennemis comme mes ennemis. Ceci est tout autre chose. Les ennemis du Seigneur Jésus n’auront jamais des excuses de ma part, mes frères ! J’ai prié:
– » Oh, seigneur, ne permets à personne de m’aimer qui ne t’aime pas ! Ne permets jamais que je me fasse des amis à tes dépens ! Ne permets pas que les églises qui ne t’inviteraient pas, m’invitent. Ne permets pas que ceux qui ne viendraient pas à toi, viennent à moi. Je veux que tes ennemis soient mes ennemis et que tes amis soient mes amis! «
J’aime les amis et je n’ai pas peur des ennemis.
Qu’est-ce que Godridge a écrit ?
« As-tu un ennemi devant qui j’aurais peur de plaider Ta cause ? As-tu un agneau dans tout Ton troupeau que je ne daignerais pas nourrir? »
Et la réponse, c’est Non ! Il n’y a pas d’ennemi devant qui je ne plaiderais pas la cause de Christ ! Il n’y a pas d’agneau que je ne nourrirais pas quelle que soit sa pauvreté ! Donc, j’accepte les ennemis de Christ comme mes ennemis, et j’accepte Ses voies comme mes voies; je prends Ses voies. Je ne viens pas vers Lui pour prendre un badge ou un ticket qui me dit que je suis sauvé, puis ensuite continuer sur mon chemin. Je viens vers Lui et ensuite je marche selon Sa voie !
» Suis-moi, » a-t-Il dit. Cela signifie prendre Sa voie; la voie de l’obéissance, la voie de la prière, la voie du service, la voie de la consécration, la voie de l’amour, la voie de la miséricorde, la voie de la sainteté ? telle est Sa voie.
Et ensuite, j’accepte Son rejet comme mon rejet; c’est cela d’accepter Christ: s’ils Le rejettent, alors moi, je vais les rejeter. J’ai déjà couvert ce point, je pense, quand j’ai parlé des ennemis, donc je vais passer à la suite: j’accepte Sa croix comme ma croix, ou du moins, je prends une croix comme ma croix. Jésus Christ dit,
‘ » Chargez-vous de votre croix. «
Qu’est-ce que la croix de Christ ?
Eh bien quelqu’un a un mal de dents et il dit, » Je vais porter ma croix. » Non, mon frère ! C’est seulement un mal de dents; il se peut que le diable ait mal aux dents, s’il en a ? je ne sais pas si le diable a des dents, il a une queue, je suppose ? Mais je ne sais pas s’il a des dents. Mais ces choses qui vous arrivent; votre bébé meure ou votre vache tombe malade ou votre culture de maïs ne marche pas, elle ne lève pas, ou la sécheresse frappe votre champ. Vous dites, » C’est ma croix. »
Non!
Une croix, c’est quelque chose qu’on prend volontairement, et ces choses-là, vous ne les avez pas choisies volontairement ! Elles font partie des choses qui arrivent pareillement aux justes et aux injustes. Si la température monte à 104 degrés* comme ici cette semaine, ce n’est pas une croix ! Tous les pécheurs sur l’autoroute s’essuyaient le front de même que vous, donc ce n’est pas une croix ! Vous ne serez pas récompensés pour avoir essuyé la sueur de votre front par une température de 104 degrés ! Ce n’est pas une croix, c’est simplement quelque chose qui est arrivé.
- * Degrés fahrenheit ! = 40° Cesius
Donc une croix, c’est quelque chose qu’on prend délibérément. C’est l’obéissance à Christ. C’est faire ce que le Seigneur ordonne, et en accepter ensuite les conséquences; si les conséquences constituent une croix, alors prenez votre croix.
Jésus Christ n’a pas choisi la croix, c’est-à-dire qu’Il n’a pas choisi la croix en ce sens qu’Il ait voulu mourir sur une croix. Mais il voulait vous sauver, et Il voulait obéir à Dieu et la croix c’était la seule solution, donc Il est allé à la croix parce qu’Il était obéissant à Son Père et qu’Il vous aimait. Et donc la croix, c’est l’obéissance envers Dieu et l’amour pour les hommes et tout ce qu’il peut en résulter de difficile, de dur, ou de pénible ? même la mort, c’est cela la croix !
Donc je prends la croix comme Lui a pris Sa croix.
Et ensuite, j’accepte Sa vie comme ma vie. Oh, Dieu merci pour cela ! On ne reste pas sur la croix pour toujours. Il a pris six heures pour mourir, mais maintenant Il vit ! pour combien de temps ? — pour toujours ! Il est revenu des morts, et Il a consterné le diable, confus les pharisiens et effrayé l’empire romain. Il était mort, mais Il vit à nouveau !
Et le chrétien qui est véritablement un chrétien mourra avec Lui mais reviendra aussi des morts; c’est-à-dire qu’il faut mourir maintenant dans cette vie, mourir à vos ambitions, mourir à votre orgueil, et mourir à toutes ces choses dont le monde se glorifie; il faut mourir à tout cela ! Le monde se glorifie, et vous, vous mourez.
Frère Brown a dit l’autre soir qu’aucun homme n’est en droit de réclamer quoi que ce soit tant qu’il n’est pas mort à cette chose, et il a parfaitement raison ? je suis d’accord avec lui à cent pour cent.
D’autre part, cela signifie accepter Son avenir comme votre avenir. Oh merveille de merveilles ! Il est revenu de la mort et Il est monté à la main droite du Père ; un de ces jours Il sera couronné avec toutes les couronnes au monde : la couronne que Dieu Lui mettra sur la tête et ensuite la couronne que Son propre peuple mettra sur Sa tête. Ils viendront du nord et du sud, de l’occident et de l’orient et ils jetteront leurs couronnes à Ses pieds. Il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois et ils s’écrieront :
« À Christ, prends pour Toi la puissance et le règne ! «
Et vous et moi nous aurons part à cela, si nous suivons Christ. Nous pouvons nous permettre d’endurer quelques dérangements aujourd’hui parce que toute la gloire est dans le futur ! __ Permettez-moi de vous dire que l’homme qui essaie de retirer les désagréments de votre vie et d’adoucir et d’embellir la croix et de la rendre socialement acceptable ? Cet homme est votre ennemi ! Peu importe s’il est prêtre ou docteur en théologie ? c’est votre ennemi ! Cet enseignant, quel qu’il soit, qui vous dit que le christianisme c’est une partie de plaisir et qu’on s’amuse bien, celui-ci vous ment dans la figure, et vous ne devriez pas accepter cela !
Le christianisme possède sa gloire, sa joie ineffable et pleine de gloire. Mais il possède également sa croix et Jésus-Christ a porté la croix en vue de la joie qui allait suivre.__
Mais nous, enfants charnels, petits agneaux, pauvres saints pitoyables, chrétiens au format de poche, nous n’avons pas envie de porter la croix ni subir aucun désagrément. Nous ne voulons pas renoncer à nos loisirs.
Je ne sais pas si c’est comme cela parmi vous, mais s’il existe une personne qui a l’habitude de quitter l’église de Dieu le week-end pour profiter de loisirs avec sa famille, je dis qu’il n’est pas chrétien du tout ! C’est un semblant de chrétien, un hypocrite, et peu importe s’il fait partie du comité et qu’il est directeur du bureau des anciens ou qu’il est diacre, il ne sert pas Dieu et il ne porte pas sa croix pour autant !
Les vacances, c’est une chose, et je suppose que tout le monde devrait avoir des vacances. Parfois je me demande de quoi ils prennent des vacances – de toute façon, ils ne font rien de leurs journées, et ensuite, ils prennent des vacances. Mais il y a sûrement besoin de vacances pour la santé; certains aiment aller jouer au golf, ou faire d’autres activités sportives; faites-le, il n’y rien de mal à cela. Mais dès lors que le golf devient ton seigneur et ton maître, et que tu en parles tout le temps au lieu de parler du Seigneur ou des missions étrangères, c’est cuit mon frère ! Tu es un mordu du golf !
Et si ton bateau avec son petit moteur derrière t’éloigne de la maison de Dieu le dimanche, c’est un petit moteur qui te conduit vers la perte et le chagrin au jour de Christ ! Non, non.
Il t’appelle à prendre Son chemin difficile afin qu’Il puisse poser délicatement Sa couronne sur ton front au jour de Son triomphe. C’est cela que signifie recevoir Christ, accepter Christ, croire en Christ, cela implique tout cela et rien de moins ! Et tout effort que ferait quelqu’un pour vous caresser le dos et vous faire rentrer, cela ne sert à rien!
Le frère Robertson a dit qu’une fois, il avait vu un nid de poule, et qu’il avait vu les poussins casser la coquille avec leur bec, et qu’est-ce que c’était difficile ! Ils luttaient, ils tombaient et se renversaient, et il a dit qu’il avait pitié d’eux du fond de son cœur. Il a dit, » La prochaine fois que je vois éclore des œufs, je vais les aider à sortir. » Donc il a dit que la prochaine fois qu’il a vu des œufs éclore, il a poussé de côté la poule, et il a fait sortir les poussins, et il a dit qu’ils sont tous morts !
Il en est ainsi d’un grand nombre de nos chrétiens: nous les avons faits sortir de la coquille ! De peur de ne pas les avoir du tout, nous avons pris les devants pour les faire sortir de la coquille, et le résultat, c’est qu’ils meurent sans arrêt, et nous disons qu’ils ont rétrogradé !
En fait, ils n’ont pas rétrogradé, parce qu’ils n’avaient jamais été régénérés du tout!
L’accepter, c’est L’accepter de manière révolutionnaire. C’est L’accepter complètement ! Le prendre tout entier, me donner tout entier. C’est L’accepter exclusivement sans avoir d’autre espoir que Lui ; Lui seul est mon espoir. C’est accepter Ses amis comme mes amis, Ses ennemis comme mes ennemis, Ses voies comme mes voies, Son rejet comme mon rejet, la croix, c’est ma croix, Sa vie, c’est ma vie, et Son futur glorieux, c’est mon futur glorieux: c’est cela que signifie être chrétien!
Et mes amis, ça en vaut la peine, et si nous devions tous croire en Christ ce soir et mourir demain, nous passerions l’éternité à remercier Dieu avec tendre affection qu’Il a permis que cela arrive ! Oh oui ! Tu ne peux pas te permettre d’être perdu. Tu ne peux pas te permettre de supposer que tu es sauvé, alors que quelqu’un t’a simplement fait sortir de ta coquille en essayant de faire de toi un chrétien, et que tu n’a jamais connu ce que c’est d’être né de nouveau.
Il serait moralement insensé de ne pas résoudre cette question, de savoir si j’ai ou non une relation salvatrice avec Jésus Christ. Je ne demande pas si tu as signé une carte, je ne demande pas si tu as été baptisé; on peut faire ces deux choses et pourtant être perdu. On peut faire ces deux choses en étant sauvé, mais ces choses ne sauvent pas. Mais il serait moralement insensé de négliger cette question ! veux-tu la résoudre maintenant ? On ne peux pas considérer que c’est gagné d’avance. N’oubliez pas : vous ne misez pas sur votre âme, vous vous garantissez d’être perdu. Ne pas entrer dans une relation salvatrice avec Jésus Christ, c’est commettre un suicide moral ! Les jeunes gens particulièrement, dans ce temps terrible de putréfaction et de corruption; dans cet effroyable temps de superficialité, où nos jeunes sont égarés par des gens qui devraient connaître la vérité, et ils sont bruyants et têtus, et se dirigent vers le royaume en riant, et comptent arriver enfin au Ciel; pour s’apercevoir un jour que leurs jeux les ont menés en enfer!
Et vous, mes chers jeunes gens, je vous aime tellement que je serais prêt à m’allonger et me laisser piétiner par vous jusqu’au matin, si je pouvais seulement vous sauver de cette fausse doctrine qui enseigne qu’accepter Christ est un jeu.
Accepter Christ, c’est un acte révolutionnaire qui change la personne tout entière !
Mais vous dites,
» Ce que vous dites n’est vrai que pour les gens plus agés. «
C’est vrai pour tout le monde!
J’ai connu un garçon; sa mère était juive et son père non-juif, je les ai mariés. Ensuite ce garçon est né; il a grandi jusqu’à dix-huit ans environ. Il était en danger de devenir un jeune délinquant. Un soir, j’ai fait un appel à l’autel et il est venu. Il s’appelait David. Et tous ceux qui étaient là savaient quel genre de vie il vivait. Et quand il est entré dans cette pièce, je me suis dit, » Voilà que David s’avance, il n’en sortira probablement rien. »
Donc Dieu sait que ma foi n’a pas aidé !
Bientôt, David est revenu en courant. Il est sorti comme un cheval de course qui sort de l’écurie, et il m’a cherché, il avait le visage tout illuminé; il avait été converti. « Et bien, » j’ai pensé, » très bien, mais c’est un garçon émotionnel. Voyons ce qu’il devient. » Et bien vous savez, il n’a pas fallu attendre longtemps avant qu’il soit devenu l’un des dirigeants de l’église ! Peu de temps après, il est venu me voir avec le visage rayonnant et m’a dit, » Je vais à l’université biblique! » Et donc il est allé à l’université biblique, et quand il est arrivé là-bas, il a remué son université, et depuis, il continue à aller fort ! Ce garçon s’appelle David Schafer.
Mes chers amis, lui aussi n’était qu’un jeune ! ce n’était qu’un jeune. N’attendez pas d’avoir des cheveux gris sur les tempes. Ce message d’acceptation; d’acceptation radicale, révolutionnaire, exclusive et finale de Christ avec tout ce que vous avez, cela s’adresse à tout-le-monde ! Cela s’adresse autant à la personne la plus jeune qui m’entend ce soir qu’à la personne la plus âgée. Prions un instant.
Notre cher Seigneur Jésus, nous sommes avec Toi dans cette affaire. Nous sommes avec Toi dans cette affaire. Nous nous attachons maintenant à Toi après mûre réflexion. Ta Parole a été donnée, en tant qu’invitation, et nous avons expliqué ce qu’elle signifie. Maintenant, Seigneur, s’ils Te suivent, très bien. Sinon, je ne sais pas ce que je peux faire. Oh Christ, ce soir, nous Te demandons que Tu aides chacun à reconsidérer et repenser et décider si le Ciel est plus désirable que l’Enfer et si le désagrément de porter Sa croix et les persécutions et les difficultés qui viennent lorsqu’on suit l’Agneau, si ces choses en valent la peine à la lumière de l’éternité. Nous Te demandons, Ô Seigneur ! Nous Te prions de nous sauver de la superficialité, sauve-nous, nous Te prions, de ce pseudo-christianisme qui court. Sauve-nous, nous Te prions, de l’eau alcaline qui tue. Sauve-nous, nous Te prions Ô Dieu, de toutes ces doctrines diluées qui nous laissent là où nous étions, si ce n’est que nous pensons être dans la bonne voie alors que nous ne le sommes pas.
Aie pitié de nous Oh Dieu ! Aie pitié de nous ! Bénis ces chers amis, et avant qu’ils n’aillent à leur lieu de repos ce soir, qu’ils soient bien sûrs que toutes ces conditions soient bien remplies et qu’ils peuvent chanter, « J’appartiens à mon Seigneur, et Lui m’appartient ! C’est fait, la grande transaction est faite ! J’appartiens à mon Seigneur, et Lui m’appartient ! » Souligne et mets en valeur chaque mot sachant que c’est vrai.
Accorde-nous cela, nous Te demandons Oh Père, par Jésus Christ notre Seigneur, Amen.
Transcrit, traduit et mis en ligne par www.eglisedemaison.com
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