Cette révélation a été confirmée dans une étude, revue par les pairs, écrite avec le mathématicien Jean-Claude Perez, puis sur le plateau de FranceSoir, ainsi que par de nombreux experts internationaux jusqu’à devenir une des hypothèses les plus probables et non plus une thèse complotiste comme nombre de médias mainstream l’ont représentée.
Aujourd’hui, le professeur Montagnier lance un appel à la lumière de ses analyses et nombreuses conversations avec des experts de par le monde entier.
« Ceci est un appel aux dirigeants qui font la promotion dans leur pays et au niveau international d’une vaccination massive pour la prévention de la diffusion du coronavirus Covid-19.
Sur la base de données encore expérimentales, ils ont permis et encouragé des campagnes d’inoculation massive de nouveaux types de vaccins.
Ces vaccins portent une partie de l’ARN du virus codant pour sa protéine de surface permettant sa fixation sur des cellules-cibles. Les fabricants de ces vaccins ont naïvement cru et fait croire que les organismes injectés allaient monter une forte réponse en anticorps neutralisant cette protéine de surface et ainsi empêcher la transmission du virus.
Or les faits contredisent cet espoir : les vaccins Pfizer , Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés .
Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain.
L’explication de cet échec est simple : la haute capacité de mutation du virus liée à sa haute transmissibilité permettent la sélection de variants résistant aux vaccins.
C’est une course où le virus aura toujours une longueur d’avance.
Il faut l’abandonner, et refuser la vaccination obligatoire, notamment des personnels médicaux déjà bien informés des effets secondaires des vaccins actuels.
Je propose aux autorités des solutions salvatrices :
1. Une vaccination par un vaccin générant une forte immunité cellulaire de type T tel le BCG (les pays pratiquant cette vaccination ont une faible incidence de Covid19),
2. Le traitement précoce de l’infection par ivermectine et antibiotique bactérien car il existe un cofacteur bactérien amplifiant les effets du virus ».
Le professeur Montagnier a donc pesé chacun de ses mots en lançant cet appel qui est reçu favorablement par la communauté des soignants, dont certains sont dévastés par la décision du Conseil constitutionnel de rendre la vaccination obligatoire.
Un médecin réagit : « merci au professeur Montagnier, nous espérons que de nombreux scientifiques comme lui viendront se joindre à cet appel afin que le gouvernement puisse enfin ouvrir le débat ».
Aujourd’hui, de nombreuses manifestations contre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire du personnel médical vont se tenir dans plus de 180 villes de France.
source : https://www.francesoir.fr
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