La boîte de Pandore a été ouverte. Vingt et une organisations de santé sonnent l’alarme au sujet de la nouvelle loi « fin de vie ».

La dernière version de la loi est inquiétante. Plus de 1800 amendements ont été introduits, suscitant de vives inquiétudes chez les professionnels de santé.

La création d’un « délit d’entrave » pourrait dévaster notre système de santé. Elle menace les soins aux patients et contredit les efforts de prévention du suicide.

Le Dr Raphaël Gourevitch, éminent psychiatre, partage cette inquiétude. Il met en garde contre les implications dangereuses de la loi. Selon lui, elle encourage la résignation et décourage les médecins, infirmiers et familles à proposer des soins.

Il s’agit d’un problème majeur et d’une contradiction flagrante dans nos lois.

Le Dr Gourevitch qualifie cela de « changement anthropologique majeur ». La loi autorise la mort intentionnelle dans la pratique médicale.

Les lois actuelles interdisent de causer la mort de façon intentionnelle. Ce changement est alarmant et ouvre la porte à de nouveaux risques.

Prévenir le suicide signifie réduire l’accès aux moyens létaux. Cette loi fait l’inverse, les fournissant dans les pharmacies. Les nouvelles normes pourraient pousser les personnes vulnérables au suicide.

Défendons des soins médicaux adéquats et protégeons les vies vulnérables. Le vote de la loi devrait avoir lieu le 14  juin.Nous avons besoin de votre voix maintenant !

Merci de signer la pétition demandant à Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, de s’opposer à cette dangereuse loi sur la fin de vie.

Vous pouvez également partager cette pétition via WhatsApp ou Facebook.

Merci pour votre soutien,

Anne et toute l’équipe de CitizenGO

P.S. Merci de partager cette pétition avec un maximum de personnes. Ensemble, nous pouvons faire la différence !

Ici, mon mail original


 

 

Sauvons les plus vulnérables ! Signez notre pétition pour encourager la ministre Catherine Vautrin à mettre fin à la loi légalisant l’euthanasie et le suicide assisté en France.Disons non à la légalisation de l’acte de tuer les malades, les personnes âgées, les handicapés et les personnes vulnérables.

Défendons la vie. Agissons dès maintenant !

 

SIGNEZ LA PÉTITION

Bonjour Michelle,

En tant que mère d’un enfant atteint de Spina Bifida, je suis très préoccupée par le projet de loi sur l’euthanasie.

Du 27  au 9 juin, notre gouvernement débattra d’un projet de loi qui concerne l’aide active à mourir, y compris l’euthanasie et le suicide assisté. Vous avez peut-être remarqué que les dates choisies coïncident avec le débat sur les élections européennes, histoire de mélanger un peu plus les cartes.

C’est un chemin sombre que d’autres ont déjà emprunté avant nous, menant à des conséquences inexprimables. Les pays qui ont adopté cette politique désastreuse ont vu l’inimaginable devenir la norme.

Les plus vulnérables parmi nous – les malades, les personnes âgées, les handicapés, ceux qui souffrent de troubles mentaux et même les enfants – en sont les victimes. Des enfants sont euthanasiés aux Pays-Bas et en Belgique en ce moment même !

Le fait qu’Emmanuel Macron nomme cela « aide à mourir » englobe à la fois l’euthanasie et le suicide assisté tout en présentant le projet de loi sous l’angle de la « solidarité ».

À l’approche des élections européennes, Emmanuel Macron souhaitait éviter toute controverse et jouait avec les mots. « Aide à mourir (tuer quelqu’un d’autre) est un geste de solidarité ! »

Vraiment ?

De plus, cela ne concernerait que ceux condamnés à moyen terme. Mais qu’entend-on par moyen terme lorsque la maladie évolue différemment pour chaque personne ?

Passons à l’action dès maintenant ! Signez notre pétition demandant à Catherine Vautrin, Ministre de la Santé, de bloquer l’adoption de cette loi.

Je suis d’accord avec de nombreux soignants, notamment en soins palliatifs, pour dire que nous devrions d’abord nous concentrer sur le développement de ces soins, qui ne sont pas encore largement disponibles en France, afin que les patients ne demandent pas à mourir parce qu’ils ne trouvent pas de soins appropriés pour leurs derniers jours.

Le gouvernement nous a promis une « stratégie décennale » pour les soins palliatifs, et la dernière déclaration de la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, semble le confirmer. Mais n’oublions pas que cela se fera en parallèle du projet « aide à mourir » et ne le remplacera pas. Pourquoi soudainement, maintenant, après des années d’attente pour les patients ?

Le gouvernement nous assure également que ce projet de loi controversé ne concerne pas les moins de 18 ans… pour le moment.

Prenons l’exemple de la Belgique, où le nombre de procédures d’euthanasie a augmenté régulièrement : 3 423 en 2023, soit 15 % de plus qu’en 2022. Ces chiffres augmentent à un rythme vertigineux dans tous les pays ayant voté pour l’euthanasie et le suicide assisté.

En Suisse, le suicide assisté n’est illégal que s’il est considéré comme motivé par un « intérêt personnel ».

Aux Pays-Bas, les enfants de moins de douze ans peuvent être sédatés avec le consentement des parents, et les nouveau-nés handicapés peuvent être euthanasiés dans le cadre d’une politique eugénique connue sous le nom de Protocole de Groningue. En Belgique, tout mineur peut être euthanasié, sur la base d’une mesure subjective de souffrance insoutenable.

Mais comment mesurer la souffrance ?

C’est une pente glissante, et nous sommes au sommet. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et laisser cela arriver en France.

Nous savons que le gouvernement favorisera l’euthanasie et le suicide assisté à moins que nous ne fassions entendre nos voix. Le silence est un consentement, et nous ne pouvons pas consentir à cela !

Passons à l’action dès maintenant ! Signez notre pétition demandant à Catherine Vautrin, Ministre de la Santé, de bloquer l’adoption de cette loi.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé, environ 1 million de personnes se suicident chaque année. Si l’euthanasie et le suicide assisté étaient légalisés, le nombre de décès dus à ces pratiques pourrait doubler ou tripler. De plus, cela faciliterait l’élimination des personnes atteintes de maladies incurables ou chroniques sans chercher de remède ou de traitement.

Nous ne sommes pas seuls dans cette lutte.

Selon une étude de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) publiée mercredi dans le quotidien chrétien La Croix, 80 % des professionnels « refuseraient de prescrire, fournir, préparer et/ou administrer un produit létal (plus de 60 % des non-membres) ».

Les professionnels de la santé, les chrétiens et d’autres groupes s’opposent à cette loi. Leur pression fait peur au gouvernement. Vous avez le pouvoir de les faire écouter.

Mais que se passera-t-il si nous n’agissons pas ? Assisterons-nous à une augmentation des victimes d’euthanasie comme aux Pays-Bas, où les patients atteints de troubles mentaux qui ne souffrent pas de maladie physique sont le groupe dont la demande d’euthanasie augmente le plus rapidement ?

Assisterons-nous à l’élargissement des critères d’éligibilité pour inclure les enfants, les patients psychiatriques et les patients atteints de démence, comme cela a été le cas ailleurs ?

 

Nous ne pouvons pas laisser cela arriver.

 

Nous devons laisser derrière nous un monde dans lequel chaque vie est précieuse, où tuer n’est PAS universellement accepté.

Passons à l’action dès maintenant ! Signez notre pétition demandant à Catherine Vautrin, Ministre de la Santé, de bloquer l’adoption de cette loi.

Merci de vous tenir du côté de la vie,

Anne et toute l’équipe de CitizenGO

PS : Une fois que vous avez signé, partagez la pétition avec le plus de personnes possible. Nous devons diffuser l’information et rassembler autant de signatures que possible !