Les Nations unies ont réuni discrètement les membres de leur Commission de la population et du développement (CPD) le vendredi 29 mai. Cette session était initialement prévue du 30 mars au 3 avril, mais a été reportée en raison de l’épidémie de COVID-19.
Ils demandent maintenant à leurs membres de participer d’urgence à une réunion par visioconférence où ils négocieront de la manière dont ils utiliseront le fonds de l’aide internationale pour leur réponse à la pandémie COVID-19. Malheureusement, pour obtenir l’aide internationale l’avortement est une condition pour recevoir l’aide.
Notre action doit être rapide, car elle doit réussir avant le 15 juin.
S’il est approuvé sous sa forme actuelle, l’aide internationale destinée à aider à la lutte contre la pandémie de COVID-19 sera conditionnée à ces critères suivants (notamment) :
- Exiger des pays qu’ils mettent en œuvre une stratégie visant à accroître l’accès à l’avortement.
- Les préservatifs et le contrôle des naissances.
- L’éducation sexuelle des enfants
Nous avons besoin de votre aide pour envoyer un message fort au niveau international. Il n’existe pas de droit international à l’avortement
Le document est intitulé « Projet de déclaration sur la population, la sécurité alimentaire, la nutrition et le développement durable dans le contexte de la maladie du coronavirus 2019 (COVID-19) ». « Le paragraphe 15 est celui qui nous intéresse).
Il est nécessaire d’aider les pays les plus pauvres, sans ce genre de contreparties… Il pourrait être plus intéressant d’inclure des critères liés à la corruption, mais non, c’est l’avortement qui est choisi !
Il est écrit dans ce document : “Nous, représentants des gouvernements, à l’occasion de la cinquante-troisième session de la Commission de la population et du développement, au moment d’une crise sans précédent causée par la pandémie de la maladie du COVID-19… S’engagent à assurer, d’ici 2030, l’accès universel aux services de santé sexuelle, y compris en matière de planification familiale, d’information et d’éducation, et l’intégration des droits liés à la reproduction dans les stratégies et programmes nationaux, et à garantir l’accès universel à la santé sexuelle et aux droits en matière de sexualité et reproduction, comme convenu conformément au” Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Pékin et aux documents finaux de leurs conférences d’examen.
Ils se cachent derrière une noble cause pour étendre les droits à l’avortement.
Dernières nouvelles : vous nous aidez à faire la différence pour défendre les droits des enfants à naître dans le monde. La Commission des Nations unies sur la population et le développement (CPD) n’est pas parvenue à un consensus sur les paragraphes controversés sur l’avortement. Nouvelle date limite fixée au 22 juin 2020. Comme vous vous en souvenez peut-être, nous vous avons demandé d’agir rapidement, car les Nations unies ont convoqué les membres de la Commission de la population et du développement (CPD) le vendredi 29 mai 2020 pour assister à une réunion discrète où ils négocieront la manière d’utiliser le financement de l’aide internationale dans le cadre de la lutte contre la pandémie du COVID-19. Malheureusement, utiliser la pandémie du COVID-19 pour inciter les pays pauvres à développer l’avortement dans leurs pays, en échange d’une aide financière est, pour eux, une priorité Nous avons appris que la commission CPD de l’ONU a du mal à trouver un accord, et les négociations se poursuivent finalement jusqu’au 22 juin. Nous n’avons plus que quelques jours pour gagner cette action importante. Il est urgent que vous signiez notre pétition adressée aux présidents des bureaux de la DPC des Nations Unies pour leur demander de cesser d’utiliser la crise COVID-19 pour promouvoir l’avortement. Comme nous manquons encore de temps, nous livrerons votre signature directement par mail aux principaux décideurs de cette commission. Nous devons agir rapidement. S’il est approuvé sous sa forme actuelle, l’aide internationale destinée à lutter contre la pandémie de COVID-19 sera corrélée à la pratique de l’avortement et exigera des pays qu’ils mettent en œuvre une stratégie visant à accroître l’accès des femmes à l’avortement. Bien cordialement, Alexandre et toute l’équipe de CitizenGO Ici, mon mail original Bonjour Michelle, Votre réponse est urgente. Nous comptons sur vous pour nous aider à vaincre le programme des organisations pro-avortement sur l’une des scènes internationales les plus importantes. Les Nations unies ont réuni discrètement les membres de leur Commission de la population et du développement (CPD) le vendredi 29 mai. Cette session était initialement prévue du 30 mars au 3 avril, mais a été reportée en raison de l’épidémie de COVID-19. Ils demandent maintenant à leurs membres de participer d’urgence à une réunion par visioconférence où ils négocieront de la manière dont ils utiliseront le fonds de l’aide internationale pour leur réponse à la pandémie COVID-19. Malheureusement, pour obtenir l’aide internationale l’avortement est une condition pour recevoir l’aide. Notre action doit être rapide, car elle doit réussir avant le 15 juin. S’il est approuvé sous sa forme actuelle, l’aide internationale destinée à aider à la lutte contre la pandémie de COVID-19 sera conditionnée à ces critères suivants (notamment) :
Nous avons besoin de votre aide pour envoyer un message fort au niveau international. Il n’existe pas de droit international à l’avortement. Ajoutez votre nom : Pas d’avortement aux Nations Unies CPD Le document est intitulé « Projet de déclaration sur la population, la sécurité alimentaire, la nutrition et le développement durable dans le contexte de la maladie du coronavirus 2019 (COVID-19) ». « Le paragraphe 15 est celui qui nous intéresse). Il est nécessaire d’aider les pays les plus pauvres, sans ce genre de contreparties… Il pourrait être plus intéressant d’inclure des critères liés à la corruption, mais non, c’est l’avortement qui est choisi ! Il est écrit dans ce document : “Nous, représentants des gouvernements, à l’occasion de la cinquante-troisième session de la Commission de la population et du développement, au moment d’une crise sans précédent causée par la pandémie de la maladie du COVID-19… S’engagent à assurer, d’ici 2030, l’accès universel aux services de santé sexuelle, y compris en matière de planification familiale, d’information et d’éducation, et l’intégration des droits liés à la reproduction dans les stratégies et programmes nationaux, et à garantir l’accès universel à la santé sexuelle et aux droits en matière de sexualité et reproduction, comme convenu conformément au” Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Pékin et aux documents finaux de leurs conférences d’examen. Ils se cachent derrière une noble cause pour étendre les droits à l’avortement. Merci pour votre engagement, Alexandre et toute l’équipe de CitizenGO — Pour plus d’informations: The UN Is Using COVID-19 to Push Abortion. The US Is Rightly Pushing Back. UN CPD 53 Zero Draft |
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