Hier, je lisais avec stupéfaction que, en Grande-Bretagne, sur Telford, après des faits analogues à Rotherham, un gang de criminels d’origine pakistanaise musulmane avait, pendant des années, enlevé, séquestré, battu, torturé, violé, exploité sexuellement, parfois assassiné des adolescentes britanniques (oui, « de souche ») entre 10 et 15 ans… plusieurs centaines ! … sans que les justes plaintes des parents n’aient abouti à de quelconques débuts d’interventions de la part des autorités publiques. Quand la police ou les services sociaux intervenaient, c’était pour intimider les victimes pour qu’elles se taisent. Les dossiers et les pièces à conviction se perdaient dans les commissariats. Pas de chance !

https://twitter.com/i/status/1754444756858380502

Comment les complices objectifs des criminels, des policiers et des assistants sociaux en forfaiture, ont-ils pensé « justifier » la trahison des missions pour lesquelles ils sont payés par les contribuables ?

Eh bien, ils redoutaient d’avoir l’air « racistes » s’ils prenaient la défense de mineures blanches britanniques de souche contre des criminels d’origine non européenne …

Des pères et mères de famille, sans doute, dormaient ainsi d’un sommeil apaisé que ne menaçait pas la connaissance de la séquestration d’adolescentes sans défense livrées à des brutes perverses du fait de leur criminelle inaction mais qu’aurait pu troubler le fait – horribile dictu – qu’on eût pu trouver matière à les taxer de racisme.

Quand j’étais jeune, je me demandais bien pourquoi Apocalypse 21:8 cite en premier les lâches parmi ceux qui n’auront pas de part au Royaume des Cieux. Les lâches, cela ne fait rien, pensais-je alors. Mais maintenant j’ai vu et j’ai compris à quel point le silence complaisant des lâches fait le lit des pires crimes.

Britanniques, Français, Suédois, Allemands ! Regardez combien vous êtes devenus lâches dans votre majorité. Vous ne défendez même pas votre propre vie et votre intégrité personnelle. Alors, comment défendriez-vous les autres ? Mais ce sont les assoiffés de Justice qui sont bienheureux pas les terrassés de couardise.

Je cite de mémoire l’excellente analyse d’Ariane Bilheran qui diagnostique que nous vivons dans des sociétés du spectacle, c’est à dire des sociétés perverses, narcissiques, où le paraître prend la place de l’être. J’en mettrai en exergue un élément implicite mais cardinal en termes spirituels: se composer un paraître qui ne correspond point à son être, c’est s’installer dans une posture de mensonge. Le mensonge est l’une des principales caractéristiques de ces sociétés perverses et cela rend manifeste l’esprit qui les inspire (Jean 8:44).

Il me revient ainsi quelques souvenirs. Mme Angela Merkel arrivant au Parlement européen à Strasbourg pendant la coronescroquerie: dès l’ouverture de la portière de sa limousine, elle se masque le visage pour se rendre à pied jusqu’au portail d’entrée des hôtes officiels. Mais, sitôt entrée dans le bâtiment, croyant sans doute celui-ci exempt de caméras de journalistes, elle se hâte de retirer sa muselière. Elle devait y croire bien fort à la coronescroquerie pour mettre un masque à l’air libre et pour le retirer dès son entrée dans un bâtiment occupé par plusieurs centaines de députés et de membres du personnel !

https://odysee.com/@QBert:4/COP26-Mask-on-mask-off:a

Enjoy !

Je repense aussi au sommet des sept pays les plus industrialisés en Cornouaille (Cornwall) pendant le coronacircus. Les Chefs d’État prennent la pause photographique à bonne distance les uns des autres, au grand air.

https://www.youtube.com/watch?v=enqd-I-U0JQ

Sitôt l’intermède photographique terminé, notez à quel point leur cordiale entente triomphe rapidement des distances de sécurité. Combien je regrette de ne pas retrouver le plan où Mc Rignol se love chaleureusement contre Biden, telle une promise suspendue au bras de son prince charmant.

L’Histoire dira s’ils auront été ou non de bons Chefs d’État. Nous sommes déjà nombreux à avoir des opinions arrêtées sur le sujet. En revanche, incontestablement, ils ont fait montre de talent d’acteurs hors pair.

Je conclus en insistant sur la différence entre la conversion et la perversion. Dans les deux cas, on trouve en racine le verbe latin « vertere », « tourner », une racine que l’on retrouve aussi en sanskrit, dans les langues slaves et même dans des langues germaniques où elle a pris le sens de « devenir » et aussi de « tordre » (langues scandinaves, anglais « se tordre »). Aussi bien convertir que pervertir impliquent effectivement de tourner significativement… mais pas de la même façon.

Dans le cas de la conversion, le sujet examine la route qu’il suit à la lumière d’une référence morale qui lui est extérieure et c’est celle-ci qui le conduit à décider de se détourner de sa voie, de se retourner et de changer de cap.

Dans le cas de la perversion, le sujet examine la référence morale qui rend manifeste que sa voie est mauvaise. Il va alors mettre toute son industrie à tordre, par des mensonges, par des manipulations, par des normes d’iniquité quand il est son pouvoir d’en produire, la référence morale pour que rien ne puisse questionner ses abus. La perversion consiste à retourner, à inverser les notions objectives de bien et de mal car, oui, elles sont objectives. Le bien se caractérise par la vérité, la justice, la bienveillance et le respect d’autrui. C’est la vie et la lumière.

Le mal, c’est le mensonge, l’abus, la malveillance, la transgression. C’est la mort et les ténèbres.

Combien Ariane Bilheran a raison. Nous sommes dans des sociétés perverses et de plus en plus perverses où, pan après pan, dans le sillage de mai 1968, les grandes normes morales du judéo-christianisme dont vivaient nos aïeux sont transgressées avec la bénédiction de lois de péché, c’est à dire de lois qui sont porteuses de la mort de l’homme. Je pense à la répudiation mutuelle qui dynamite les familles, à la pornographie qui ravale autrui à un objet de jouissance jetable après usage, comme les mouchoirs en papier ; à l’avortement qui ne sera jamais autre chose que de l’infanticide ; à toutes les déviances contre la vie qui montrent la mort à l’œuvre au travers d’elles. Qui ignore comment l’OMS s’emploie en ce moment à faire reconnaître la pédocriminalité comme une « orientation sexuelle comme les autres »?

« Car, lorsque vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres à l’égard de la justice. Quels fruits portiez-vous alors? Des fruits dont vous rougissez aujourd’hui. Car la fin de ces choses, c’est la mort » (Romains 6:20-21).

Le temps est court. Non, Dieu ne bénira pas les nations perverses aussi longtemps qu’elles ne se convertiront pas. Il les jugera et ce jugement est en cours. Il déferle du couteau islamiste à la paupérisation en passant par les philtres mortels de la pharmafia. Dieu permet ces coups comme un dernier appel à la conversion :

« Voici, j’envoie une multitude de pêcheurs, dit l’Eternel, et ils les pêcheront; Et après cela j’enverrai une multitude de chasseurs, et ils les chasseront De toutes les montagnes et de toutes les collines, Et des fentes des rochers. Car mes yeux sont attentifs à toutes leurs voies, Elles ne sont point cachées devant ma face, Et leur iniquité ne se dérobe point à mes regards. Je leur donnerai d’abord le double salaire de leur iniquité et de leur péché, Parce qu’ils ont profané mon pays, Parce qu’ils ont rempli mon héritage Des cadavres de leurs idoles et de leurs abominations » (Jérémie 16:16-18).

N’est ce pas clair ? Après les évangélistes pêcheurs d’hommes, nos rues, nos places se remplissent de possédés égorgeurs d’hommes.

« Les méchants se tournent vers le séjour des morts, Toutes les nations qui oublient Dieu » (Psaume 9:17).