Le Seigneur nous garde dans Son abri secret, et Il nous revêt de Sa puissance, par Smith Wigglesworth.
Je crois qu’il y a quelque chose qui peut nous transporter dans le Royaume de Dieu, hors de ce domaine naturel, et nous faire pénétrer dans le domaine divin, revêtus de la puissance divine et transformés par la puissance de Dieu, par un Autre qui est plus grand que nous ! (suite…)
POURQUOI AIMER DIEU ? par Oswald Chambers
1-C’est un commandement
2-Parce qu’Il nous a aimés le premier
3-A cause de ce qu’Il a fait pour nous
4-À cause de qui Il est ….
5-C’est le christianisme à son meilleur, la perfection spirituelle totale
6-C’est la réponse à la satisfaction totale et à l’épanouissement de l’homme
7-C’est le choix de Dieu pour Son propre plaisir et Sa satisfaction personnelle
8-C’est le moyen qui permet à Dieu d’être à l’aise avec nous et nous avec Lui
9-C’est le bien de l’homme pour le préserver de la duplicité et de l’idolâtrie qui le détruiraient
10-C’est notre façon d’acquérir les qualités de Dieu, puisque nous avons tendance à devenir comme l’objet de notre affection
11-Ça nous préserve de l’esprit de haine
12-C’est une des solutions de Dieu à l’esclavage de la peur
13-Cela devient un ministère envers les autres qui en ont désespérément besoin
La ruse du diable est de nous amener à ne pas pouvoir réaliser que c’est péché d’être incapable d’aimer, et de nous amener à servir Christ uniquement par principe plutôt qu’avec affection. Ceci nous empêche de parvenir au vrai problème derrière une vie chrétienne vide.
John Wesley :
– L’orthodoxie ou l’opinion juste est au mieux une toute petite partie de la religion. Bien que les sentiments justes ne puissent subsister sans des opinions justes, les opinions justes peuvent cependant subsister sans des sentiments justes. On peut avoir de Dieu une opinion juste, sans éprouver pour lui de l’amour ni de sentiments justes. Satan en est la preuve.
Le Révérend Thomas Willlamson :
– Aimer Jésus-Christ suprêmement est le sommet de la marche Chrétienne. L’amour est la qualité de l’homme la plus convoitée, la chose la plus extraordinaire au monde, l’expérience la plus céleste dans l’église et la disposition continuelle de l’Épouse de Christ. L’amour a plus d’importance pour Dieu que tous les dons spirituels combinés, que tous les miracles pouvant être accomplis par la foi et que tous les mystères pouvant être éclairés par la connaissance.
Le Travail, bien que relié à la religion, est charnel s’il n’est pas motivé par notre amour pour Dieu.
Ceci s’applique à toute la structure de l’expérience Chrétienne. Sans amour, l’adoration est de l’idolâtrie. Sans amour, l’éloquence n’est que du bruit. Sans amour, la Prière est un monologue. Sans amour, le jeûne n’est qu’un régime. Sans amour, le sacrifice de soi est de l’ascétisme (ce qui est conforme à une discipline de vie). Sans amour, la justice n’est qu’une bonne conduite morale. Sans amour, le martyre est un suicide. Sans amour, l’ambition est un processus. Sans amour, la connaissance n’est que de l’information. Sans amour, l’adoration est un culte à un héros.
En fait, tout ce qui ne sert pas à augmenter l’amour d’un croyant pour Dieu est illégitime en tant que pratique personnelle, ou intérêt spirituel.
Une femme peut admirer un homme pour son intégrité personnelle, mais lorsqu’elle songe au mariage, elle exige plus qu’une bonne conduite morale.
Elle veut être aimée, et l’amour n’est pas simplement un principe ou une loi morale ; c’est une manière de vivre.
Dans une église, Dieu devrait être aussi bienvenu qu’un père dans son foyer, Christ devrait être au milieu aussi radieux qu’un jeune marié et la congrégation devrait être aussi heureuse qu’une jeune mariée. Notre culte d’adoration devrait être comme une cérémonie de mariage, et le sermon devrait être comme un long festin de noces.
Le Dr. Tom Malone :
– Je crois qu’il n’y a rien de plus important de penser dans ce monde pour vous et moi qu’à notre amour pour Jésus.
A.W. Tozer :
– Avoir trouvé Dieu et le rechercher encore est le paradoxe de l’amour de l’âme que méprise, il est vrai, celui qui se satisfait d’une religion facile, mais que justifie l’heureuse expérience des enfants au coeur brûlant pour le Père. Saint Bernard a énoncé ce paradoxe divin dans un quatrain musical que toute âme adoratrice comprend à l’instant:
Nous te goûtons, ô Pain de Vie,
Et désirons toujours nous nourrir de toi;
Nous te buvons, ô Source bénie,
Et nos âmes assoiffées se veulent remplies de toi
Approchez-vous de ces saintes femmes et de ces saints hommes du passé, et vous sentirez bientôt la chaleur de leur amour pour Dieu. Ils pleuraient sur lui, ils priaient, ils luttaient et le cherchaient jour et nuit, dans les bons comme dans les mauvais jours, et quand ils l’avaient trouvé, la découverte n’en était que plus douce au bout d’une si longue recherche.
Je veux, de propos délibéré, encourager les chrétiens à désirer Dieu ardemment. C’est justement l’absence de ce désir qui nous a amenés au pauvre état spirituel dans lequel nous nous trouvons actuellement.
Nos vies religieuses raides et empruntées sont le résultat de notre manque de ce saint désir. Le contentement de soi est un ennemi mortel de toute croissance spirituelle. Nous devons désirer ardemment Christ, autrement il ne pourra se révéler à son peuple. Il attend que nous le désirions. Comme c’est dommage qu’avec beaucoup d’entre nous il ait à attendre longtemps, si longtemps, et en vain !
R.A. Torrey :
– Le réveil ! C’est lorsque Dieu visite Son peuple et l’amène à haïr le péché, à aimer Dieu, et à être zélé pour servir le Seigneur.
Billy Graham :
– Le réveil est une sensation émotionnelle dans laquelle les affections et l’amour pour les choses du monde, le plaisir et le confort se transforment en amour et en consécration pour Jésus-Christ.
Le Dr. George Sweeting :
– Le réveil, c’est d’aimer Jésus-Christ d’une manière nouvelle et significative. C’est le renouvellement du premier amour !
Roy Hession :
– Le réveil est donc l’expérience d’une âme qui est tellement remplie de l’amour de Jésus que sa joie déborde sur les autres.
T.S. Rendall :
– Le réveil est le renouvellement de notre premier amour pour Christ. Il est encouragé par un sentiment qui devient de plus en plus profond grâce au ministère de l’Esprit dans toute sa plénitude envers le corps de Christ.
Le Dr. E. Stanley Jones :
– Dans toute l’histoire du Christianisme, chaque fois qu’on a mis l’accent sur Jésus, il y a eu une explosion nouvelle de vitalité et d’énergie.
Festo Kivengere :
– Le réveil signifie un réajustement du regard vers notre Seigneur glorieux
Vous êtes-vous jamais laissé emporter au delà des bornes pour l’amour de Jésus ?
Laissez-la faire; pourquoi la tracasser ? Ce qu’elle vient de faire pour moi, c’est une belle chose.
Marc 14, 6
L’amour humain lui-même, s’il n’emporte pas celui qui aime au delà des bornes de la vie ordinaire, ce n’est pas de l’amour.
L’amour qui est toujours discret, toujours raisonnable, toujours calculateur, ce n’est pas de l’amour. C’est peut-être une tendre affection, un sentiment généreux, ce n’est pas de l’amour.
Est-ce qu’il n’est jamais arrivé d’être emporté par amour pour Dieu à faire quelque chose non pas par devoir, non pas même parce que c’était utile, mais tout simplement pour Lui témoigner mon amour ? Me suis-je jamais rendu compte que je puis malgré tout apporter à Dieu de petites choses qui Le réjouiront ? Ou bien est-ce que je perds mon temps à rêvasser sur la grandeur de la Rédemption, pendant qu’il y a un tas de choses que je pourrais faire ? Non pas des choses merveilleuses et colossales, mais de petites choses humaines, toutes simples et ordinaires, qui prouveront à Dieu que je Lui appartiens. Ai-je jamais donné à Jésus, mon Seigneur, la douce joie que lui procura ce jour-là Marie de Béthanie ?
Il y a des moments où Dieu semble attendre que nous lui donnions une petite preuve, quelle qu’elle soit, de notre amour. S’abandonner à Dieu vaut mieux que rechercher notre sainteté personnelle. Absorbés par la préoccupation de notre pureté, nous évitons scrupuleusement tout ce qui pourrait offenser Dieu. L’amour parfait chasse toutes ces craintes.
C’est entendu: nous sommes des serviteurs inutiles, mais Dieu saura se servir de nous, si nous savons nous abandonner à Lui.
– Oswald Chambers
© Ligue pour la Lecture de la Bible
Le Coronavirus prophétisé dans la Bible : La vraie cause de l’épidémie & son vaccin (Paracha Bo)
Transmis par Micheline.
En mon nom, ils guériront les malades – Bertrand Bouchard et Jérémy Sourdril
Transmis par Micheline
Sabah Aslan : Seuls les demeurés mentaux occultent la vérité de l’islam
« Qui peut imaginer que « la meilleure nation traîne » des gens enchaînés comme des esclaves, les force à embrasser l’islam et coupe la tête de celui qui le rejette ? Comment une religion se répand-elle normalement ? Est-ce par la prédication, la bonne parole, la persuasion, ou par la contrainte, l’épée, les invasions, la coupe des têtes, le rapt des femmes, la recherche du butin, l’occupation de la terre, l’oppression des peuples, comme c’est le cas de notre islam et de son héritier Daech et consorts qui incarnent à merveille cette croyance et dévoile son vrai visage à tous les êtres humains au XXIe siècle ? »
Lire l’article
Shabbat ou pas shabbat ? par Michelle d’Astier de la Vigerie.
La violence même qui s’est déchaînée lorsque j’ai commencé, à l’époque, à mettre des articles sur ce sujet m’avait fortement interpellée.
Était-il d’une quelconque importance que l’on mette à part le dimanche, plutôt que le samedi, du moment que l’on mettait un jour à part pour le Seigneur ? (suite…)
Deux paroles reçues par une soeur, 31 janvier 2020 – Ô mon peuple … Suivi de visions de Michelle d’Astier sur la France et la Belgique
« Ô mon Peuple repens-toi ! »
« Alors que l’iniquité s’accroit de plus en plus, J’appelle mon Peuple à sortir de plus en plus « d’Egypte ». (suite…)
Shabbat Shalom 31 janvier 2020
Proposé par Valérie Shä –
La malédiction du «NON» palestinien, par Eber Haddad
Quelle partie du mot « NON », tous ceux qui ont été inconditionnellement du côté de l’état factice de Palestine, n’ont-ils pas compris ? Les Européens en tête…
Depuis 1947, les Arabes ont systématiquement dit « NON » à toute tentative de paix, en 1956 après la « guerre de Suez », en 2000 à Camp David avec Ehud Barak, très conciliant premier ministre israélien, et un Bill Clinton très accommodant à l’endroit de Yasser Arafat, en 2001 à Taba, en 2008 avec Olmert, pourtant prêt à tout leur concéder, à John Kerry qui était franchement de leur côté, à toutes les différentes démarches que ce soit à Madrid ou à Dayton dans l’Ohio, et surtout trois fois « NON » en 1967, quand les ennemis d’Israël contre qui ils venaient de perdre la « guerre des six jours », soudain transformés en « peuple palestinien », ont carrément déclaré, suite à un sommet de la Ligue arabe dans la capitale soudanaise, « NON à la paix avec Israël, NON à la reconnaissance d’Israël et NON à la négociation avec Israël », les « fameux trois NON de Khartoum ».
On ne peut être plus clair !