Je ne suis pas tout-à-fait d’accord avec Pierrot en ce qui concerne Jézabel. Je pense en effet que cet esprit peut aussi prendre ses quartiers dans un homme. Cela m’a été montré il y a des années, alors que je préparais précisément un enseignement à son sujet: à la fin d’un culte, on nous a amené, à Florence et à moi, une femme, littéralement anéantie par cette puissance, qui habitait son mari.
Il ne faut pas oublier que dans la symbolique des livres des Rois, Achab est l’humain qui a une position de pouvoir (ce peut être un chef de famille, ou une mère qui veut régner sur ses enfants), caractérisé par sa passivité, alors que Jézabel est l’esprit mauvais qui vient faire un avec cet humain.
Un truc pour le détecter: en hébreu, Jézabel a une valeur numérique de 50, correspondant à celle de « kol », qui signifie « tout ». Si une personne veut « tout » faire pour une autre –évidemment pour le bien de celle-ci– et l’étouffe en la privant de ses responsabilités et donc de sa dignité, alors la piste de Jézabel doit être examinée (dans le cas que je viens de citer, le mari empêchait même sa femme de faire les courses toute seule ou la vaisselle…).
Bien d’accord ! L’esprit de Jézabel peut, encore plus, surtout dans certaines communautés, habiter en premier les hommes. Jezabel signifie « sans cohabitation ». Elle ne partage le pouvoir avec personne. En Apocalypse elle atteint les serviteurs de Dieu !
Bien mieux, j’ai souvent confronté les deux esprits dans la même personne (homme ou femme). Très présents notamment dans les gens sortis de l’islam où l’homme écrase la femme et la traite comme si elle n’était rien. Mais étrangement, je l’ai vu au Moyen Orient notamment, dans leur palais ou leur maison, les femmes peuvent être de vraies Jézabel et l’homme y devient un Achab. Il faut dire que des deux côtés on s’adonne à de la sorcellerie parfois très puissante (maraboutage !)
Je ne suis pas tout-à-fait d’accord avec Pierrot en ce qui concerne Jézabel. Je pense en effet que cet esprit peut aussi prendre ses quartiers dans un homme. Cela m’a été montré il y a des années, alors que je préparais précisément un enseignement à son sujet: à la fin d’un culte, on nous a amené, à Florence et à moi, une femme, littéralement anéantie par cette puissance, qui habitait son mari.
Il ne faut pas oublier que dans la symbolique des livres des Rois, Achab est l’humain qui a une position de pouvoir (ce peut être un chef de famille, ou une mère qui veut régner sur ses enfants), caractérisé par sa passivité, alors que Jézabel est l’esprit mauvais qui vient faire un avec cet humain.
Un truc pour le détecter: en hébreu, Jézabel a une valeur numérique de 50, correspondant à celle de « kol », qui signifie « tout ». Si une personne veut « tout » faire pour une autre –évidemment pour le bien de celle-ci– et l’étouffe en la privant de ses responsabilités et donc de sa dignité, alors la piste de Jézabel doit être examinée (dans le cas que je viens de citer, le mari empêchait même sa femme de faire les courses toute seule ou la vaisselle…).
Bien d’accord ! L’esprit de Jézabel peut, encore plus, surtout dans certaines communautés, habiter en premier les hommes. Jezabel signifie « sans cohabitation ». Elle ne partage le pouvoir avec personne. En Apocalypse elle atteint les serviteurs de Dieu !
Bien mieux, j’ai souvent confronté les deux esprits dans la même personne (homme ou femme). Très présents notamment dans les gens sortis de l’islam où l’homme écrase la femme et la traite comme si elle n’était rien. Mais étrangement, je l’ai vu au Moyen Orient notamment, dans leur palais ou leur maison, les femmes peuvent être de vraies Jézabel et l’homme y devient un Achab. Il faut dire que des deux côtés on s’adonne à de la sorcellerie parfois très puissante (maraboutage !)