En complément, je vous propose d’écouter seulement 5 minutes, Vincent Peillon, ministre français.
Les ecoles sont des temples, les instituteurs sont des prêtres laïques. Le but de l’école est de faire des Christs républicains…
Bref, le cours d’histoire qu’il nous manquait, par le ministre de l’éducation nationale :
Bonjour,
Je ne savais pas où mettre cet article,je pense qu’il a sa place ici.
16 mars 2016
Une fille de 11 ans droguée pour stopper sa puberté
Ignominie trouvée dans Sud-Ouest :
« Depuis le mois d’octobre, l’enfant de 11 ans reçoit des injections pour bloquer la poussée des seins et l’apparition des règles. Il est le premier enfant dans ce cas au Pays basque espagnol. […] Elle est un garçon. Malgré ses deux chromosomes X, l’enfant n’en démord pas depuis son plus jeune âge. À tel point qu’Ane, 11 ans, se fait désormais appeler Leo, dans sa famille et à l’école. Dans la communauté autonome d’Euskadi, il est le premier mineur transgenre [« transsexuel » étant le terme psychiatrique désignant une personne atteinte d’un trouble mental, la dysphorie de genre] à recevoir un traitement pour stopper le développement de sa puberté.
Les injections de Decapeptyl tous les 28 jours ont démarré au mois d’octobre dernier. Elles doivent freiner l’apparition des caractères sexuels secondaires. En l’occurrence, dans le cas de Leo, la poussée des seins et l’apparition des règles. Le traitement peut paraître lourd. À juste dose, les spécialistes assurent qu’il est réversible. L’enfant peut en effet décider de l’arrêter à tout moment.
« Le but de ces injections est de lui donner du temps », commente la maman, Monika Zamora. « Du temps pour être convaincu de son choix : devenir un garçon. Mais aussi pour comprendre quelles seront les prochaines étapes s’il souhaite changer de sexe. » Celles-ci vont de la transition dite légale (changement d’état civil) à la transition médicale (injections de testostérone, voire une éventuelle phalloplastie). Si Leo souhaite amorcer cette phase médicale, le préadolescent pourra le faire à partir de 16 ans, âge de la « majorité sanitaire » en Espagne. […] »
Posté le 16 mars 2016 à 21h40 par Michel Janva | Catégorie(s): Culture de mort : Idéologie du genr
La vérité sur le programme australien « Safe school » : https://www.infochretienne.com/australie-georges-dawson-tire-sonnette-dalarme-programme-safe-school/
La Guerre de Satan contre nos enfants-Hollywood et le Faux système d’adoration : http://www.dailymotion.com/video/x15ywfu_le-retour-de-christ_webcam
En complément, je vous propose d’écouter seulement 5 minutes, Vincent Peillon, ministre français.
Les ecoles sont des temples, les instituteurs sont des prêtres laïques. Le but de l’école est de faire des Christs républicains…
Bref, le cours d’histoire qu’il nous manquait, par le ministre de l’éducation nationale :
https://www.youtube.com/watch?v=_UGX-u5AK04
Bonjour,
Je ne savais pas où mettre cet article,je pense qu’il a sa place ici.
16 mars 2016
Une fille de 11 ans droguée pour stopper sa puberté
Ignominie trouvée dans Sud-Ouest :
« Depuis le mois d’octobre, l’enfant de 11 ans reçoit des injections pour bloquer la poussée des seins et l’apparition des règles. Il est le premier enfant dans ce cas au Pays basque espagnol. […] Elle est un garçon. Malgré ses deux chromosomes X, l’enfant n’en démord pas depuis son plus jeune âge. À tel point qu’Ane, 11 ans, se fait désormais appeler Leo, dans sa famille et à l’école. Dans la communauté autonome d’Euskadi, il est le premier mineur transgenre [« transsexuel » étant le terme psychiatrique désignant une personne atteinte d’un trouble mental, la dysphorie de genre] à recevoir un traitement pour stopper le développement de sa puberté.
Les injections de Decapeptyl tous les 28 jours ont démarré au mois d’octobre dernier. Elles doivent freiner l’apparition des caractères sexuels secondaires. En l’occurrence, dans le cas de Leo, la poussée des seins et l’apparition des règles. Le traitement peut paraître lourd. À juste dose, les spécialistes assurent qu’il est réversible. L’enfant peut en effet décider de l’arrêter à tout moment.
« Le but de ces injections est de lui donner du temps », commente la maman, Monika Zamora. « Du temps pour être convaincu de son choix : devenir un garçon. Mais aussi pour comprendre quelles seront les prochaines étapes s’il souhaite changer de sexe. » Celles-ci vont de la transition dite légale (changement d’état civil) à la transition médicale (injections de testostérone, voire une éventuelle phalloplastie). Si Leo souhaite amorcer cette phase médicale, le préadolescent pourra le faire à partir de 16 ans, âge de la « majorité sanitaire » en Espagne. […] »
Posté le 16 mars 2016 à 21h40 par Michel Janva | Catégorie(s): Culture de mort : Idéologie du genr