C’était à prévoir. Un coup de tonnerre a foudroyé le mont Olympe, ce dernier vacille, les dieux de Bruxelles s’inquiètent !
En particulier le » dieu » Schulz, président du Parlement européen, qui s’interroge sur l’avenir des relations entre l’Europe et les USA, suite au cataclysme Donald Trump.
» Ce sera difficile de travailler avec lui » a déclaré Herr Schulz, la mine triste, le teint blême, lors d’une interview à Europe 1.
Et de faire la leçon à ce Président nouvellement élu, et si politiquement incorrect, selon les critères de l’oligarchie de Bruxelles.
» Ce sera beaucoup plus dur qu’avec les précédentes administrations américaines. Trump a réussi à devenir le porte-parole de l’angoisse et de la peur de millions d’Américains [faux]. Ces préoccupations doivent maintenant être apaisées par des politiques et des propositions crédibles. Trump aura la tâche ardue de réunir une nation divisée. [vrai, mais pas divisée par lui] »
Selon Schulz, la majeure partie des questions de politique étrangère demeurent sans réponse, de la Syrie à l’Irak, de l’Ukraine à la Libye. Avec Hillary Clinton, les réponses étaient déjà connues et elles plaisaient à l’UE, notamment l’éventualité d’un conflit avec la bête noire de l’UE, la Russie de Poutine, source de tous les dangers.
Les attaques terroristes islamistes qui endeuillent l’Occident, des broutilles de » sauvageons » ! L’islamisation en cours de nos pays, leur invasion par des millions de migrants musulmans, le jeu pervers de l’islamiste Erdogan qui s’amuse avec l’UE comme un chat avec une souris, ses velléités de rétablir l’ancien Empire ottoman, des détails sans importance ! Le Mal suprême, c’est la Russie !
» Le rôle de Trump dans la diplomatie requiert un juste équilibre de responsabilité, de modération et de leadership » explique-t-il.
» La politique globale exige un engagement constant des USA, afin de rendre ce monde meilleur pour nos enfants. Et dans ce sens, les relations UE-USA constituent l’élément-clé de la stabilité globale. L’UE s’est engagée à maintenir cette relation. Mais, admet-il sans doute à contrecœur, c’est le résultat d’un vote démocratique. Il est sans équivoque et doit être respecté. «
» Si seulement nous avions le pouvoir de faire annuler cette élection qui s’oppose à notre vision de la démocratie, ce serait si rassurant pour nous ! » doit-il penser en son for intérieur.
Schulz et sa clique d’eurocrates doit se pincer le nez devant ce souffle d’air frais en provenance des USA.
La beauté de voir respectée la liberté des Américains, qui ont choisi librement « ” contre tout, contre tous, contre le système des sondages et des prévisions des puissants » chamanes » du monde des médias « ” leur 45e Président est une douce brise parfumée qui balaye l’odeur putride de cette oligarchie, qui depuis quelques années est en train de détruire l’Occident. Cette oligarchie le tient en otage par ses choix pervers, ses alliances dangereuses, sa gestion anti-démocratique de la Société, détruisant lentement son héritage judéo-chrétien, sa culture gréco-latine.
Le mythe » démocratique » d’un monde meilleur sans Dieu, sans Patrie, sans Identité, sans Famille a été fissuré et les technocrates de Bruxelles tremblent.
Merci au peuple américain, merci au Président Donald Trump !
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