L’Islam œuvre à faire dérailler et détruire le progrès humain
Des trois religions monothéistes, seul l’islam encourage et récompense la violence terroriste. Les deux autres produisent des femmes et des hommes qui font avancer le train du progrès humain.Est-ce à dire que le terrorisme lui est consubstantiel à la différence des deux autre religions ? Tout porte à croire que le ver est dans le fruit. La vérité est dans les faits nourris par les textes eux-mêmes. Quand on est soi-disant une religion d’amour, de paix et de tolérance, on ne répand pas la mort sur son chemin qu’on irrigue du sang humain. On ne cultive pas la discrimination, et on n’inocule pas la haine dans le cœur de ses croyants. On n’appelle pas au meurtre même des siens qui lui tournent le dos au nom de leur liberté de conscience. On ne promet pas le paradis aux terroristes. On ne sanctifie pas leurs crimes. Une religion de paix ne fait pas de l’épée la clé de la porte du paradis, ni ne fait croire aux terroristes que mourir pour la cause de Dieu leur permettrait d’être vivants et prospères dans l’au-delà. Cette religion se distingue des deux autres par son extrême violence et son intolérance. Autant les deux premières ont fait leur mue, autant celle-ci ne saurait jamais le faire car elle ne peut pas modifier son ADN. Elle est prisonnière du dogme du verbe sacré qui interdit toute possibilité de remise en cause et d’adaptation de son enseignement à la réalité du monde contemporain. Rien ne doit changer, la même musique pour l’éternité, et gare à ceux qui veulent changer ne serait-ce qu’une simple note. |
Cet article est loin du compte.
A partir des 114 sourates classées selon leur longueur et pas dans un quelconque ordre chronologique ou autrement logique, on arrive à reconstituer que l’islam commence par l’apparition d’un prétendu ange Djibril à Muhammad qui lui dit: » Je suis venu t’annoncer les vraies Ecritures saintes car les Juifs et les Chrétiens les ont falsifiées ».
Evidemment, pour qui connaît la Bible, l’analogie avec Galates 1:8 saute aux yeux: « Si quelqu’un – même nous, même un ange du ciel – vous annonçait un Evangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit maudit ». Muhammad, qui voyait Djibril apparaître dans du feu, s’en sentait ensuite si mal et malade qu’il lui venait des envies de se suicider. Mais c’est sa femme confusément « chrétienne » Khadidja et un moine d’une des nombreuses sectes pseudo-chrétiennes qui pullulaient alors qui le convainquirent que Djibril n’était pas un djinn, comme Muhammad en était persuadé, mais un ange envoyé de Dieu.
Et voici ce qui fut « révélé » à Muhammad, entre autre:
1) C’est Ismail que Dieu demanda à Ibrahim de sacrifier. Il n’est pas question d’Isaac. Or, la ligature d’Isaac scelle l’élection d’Israël. Donc, l’islam nie l’élection d’Israël. De plus, Isaac préfigure Jésus: « Abraham prit le bois pour l’holocauste, le chargea sur son fils Isaac, et porta dans sa main le feu et le couteau. Et ils marchèrent tous deux ensemble » (Genèse 22:6).
2) Dieu n’engendre pas et n’est pas engendré. Cela contredit le psaume 2 de David qui dit exactement le contraire mais, surtout, correspond exactement à la définition du mensonge de l’antichrist selon Jean: « Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ? Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père; quiconque confesse le Fils a aussi le Père » (1 Jean 2:22-23).
3) C’est Juda Iscariot qui est mort sur la croix car Dieu a dupé les hommes en donnant sur la croix à son visage l’apparence de celui de Jésus. Outre le caractère abracadabrant du postulat, la présentation blasphématoire de Dieu comme un manipulateur et un menteur, cela revient à nier le sacrifice propitiatoire du Seigneur. « Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine. Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l’égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu’il a ressuscité Christ, tandis qu’il ne l’aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point. Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n’est pas ressuscité. Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus. Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes » (1 Corinthiens 15:14-19).
C’est à Bossuet que l’on doit la définition la plus percutante de vérité et de concision de ce qu’est l’islam: « L’islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers ».