Avant-propos

Comme mentionné en partie I, ce message est un tout qui est difficilement dissociable, il est donc nécessaire et important de lire et d’appréhender les six parties de ce message dans l’ordre et plus encore de lire impérativement l’introduction et l’avertissement figurant en partie I.

PARTIE III

Entrons maintenant dans le cœur de notre sujet

Le lit conjugal exempt de souillure

Hébreux 13.4 : Que le mariage soit honoré de tous, et le lit conjugal exempt de souillure, car Dieu jugera les impudiques  et les adultères.

 

De quoi parle-t-on ? Nous parlons du lit conjugal, nous nous trouvons ici dans le seul et unique cadre possible pour des relations sexuelles approuvées, celui d’un couple marié, donc pas question ici des autres déviations et péchés sexuels pour partie cités auparavant. Et voilà que la Parole de D.ieu nous montre que même dans cet endroit, le péché est possible en nous parlant de souillure dans le lit conjugal.

Pour tout ce qui est en relation avec les adultères, cela est bien sûr évident, ce n’est donc pas cette notion que je compte mettre en exergue, la notion que je vais mettre ici en avant est la notion d’impudicité.

Entrons vraiment dans le cœur ce notre sujet, là je vous demande toute votre attention, ici le Percevoir reprend toute sa place car nous allons entrer dans des choses cachées tout en évoquant des péchés en terme très « cru », mais nous ne pouvons pas en parler sans nommer ces choses d’où l’importance de l’introduction et de l’avertissement donné en partie I.

Dans une société baignée dans la débauche sous toutes ses formes, relevons que deux pratiques sont particulièrement mises en évidence par le « monde pornographique », sont recherchées, sont un peu le summum de ce qui est recherché dans la débauche. D’ailleurs, les prostituées axent principalement leur « promotion » là-dessus, il s’agit de la fellation et de la sodomie.

Relevons que ces deux pratiques peuvent avoir lieu discrètement dans le lit conjugal, y compris avec des personnes se disant « chrétiennes ». Qu’en est-il de ces deux pratiques d’impudicité ?

Fellation

Je ne vais pas traiter ici de la notion de dualité, mais il faut la relever pour une bonne compréhension de ce sujet car tout est dual dans notre monde, notre être, notre corps, à quelques rares exceptions très parlantes d’ailleurs.

L’organe masculin n’est pas en soi de nature duale, par contre il est l’extrémité qui a pour fonction d’aller s’unir avec son vis-à-vis féminin pour devenir UN, il est le lien qui permet aux deux de devenir un. En allant dans la bouche, il refuse volontairement son vis-à-vis féminin, il s’agit d’une pure rébellion qui empêche la dualité de se rétablir et par conséquent le UN, le EHAD. L’organe masculin a également une fonction de vie, la semence produite permet d’aller déposer la vie lorsqu’il s’unit à son vis-à-vis.

La bouche également n’est pas de nature duale, dans ma compréhension c’est l’unique membre de notre corps vraiment non dual, et pour cause, la bouche est la parole. La Parole est porteuse de Vie, elle est Création, tout vient de la Parole, un des plus grands mystères qui nous sera dévoilé en son temps, mais ce n’est pas notre sujet ici, néanmoins, il faut comprendre cela pour notre sujet. Relevons encore qu’étonnamment la création de l’homme au 6ème jour n’est pas réalisée par la Parole, mais par le surprenant « Faisons », tiens ? Serait-ce l’image ultime de l’union des contraires qui donne la vie ? Je ne résiste pas à répondre à cette question, oui, bien évidemment que oui, c’est bien l’image de l’union des dimensions masculine et féminine.

Comprenez, je vous en prie comprenez cette folie qui se produit dans cet acte irrémédiablement contre nature, contre la vie. Oui, cet acte est l’inverse de la vie, il symbolise la mort, il est la mort, il tue la vie deux fois et même trois fois en vérité, il est ce que nous pourrions appeler une inversion absolue.

– Premièrement, l’organe déverse sa semence où il ne devrait pas, cette semence de vie meurt hors de son réceptacle.

– Deuxièmement, la bouche qui devrait recevoir la nourriture, qui permet au corps et à l’âme d’être vie, reçoit alors la semence morte qui prend la place de la nourriture de vie.

– Troisièmement, la bouche dans une telle situation ne peut plus s’exprimer, elle devient alors impuissante, elle ne peut prononcer la parole de vie. Bien sûr, cela se produit aussi en mangeant, bien qu’en mangeant la vie s’exprime par la nourriture, alors qu’en pratiquant cet acte impur, la mort prend trois fois le dessus sur la vie, il ne reste donc que la mort.

J’ajoute que la bouche est vraiment l’endroit à protéger où nous ne souhaitons aucune saleté, aucune impureté, d’ailleurs elle sent tout, elle est très sensible, elle est filtre et alarme par rapport à ce qui est donné au corps.

Pour cet acte odieux, on pourrait aller jusqu’à parler « d’avaler la vie », en vérité de « bouffer la vie » et je vous dis que plus j’avance sur mon chemin, plus je déteste ce mot qui représente tellement de choses malsaines et d’excès, « bouffer », non je ne « bouffe » pas, je mange. Il y aurait mille choses à dire en relation avec la nourriture et le lien pas si loufoque avec notre sujet, mais je ne veux pas me disperser. Je citerais simplement : la nourriture qui nourrit le corps et l’âme, la cacheroute biblique, la gastronomie, celle qui pousse au paroxysme la notion de plaisir en relation avec la nourriture, d’ailleurs, cet acte dont nous parlons, n’est-il pas en relation avec le paroxysme de l’épicurisme ? Alors, souhaitons-nous avaler la vie, bouffer la vie, la vie qui devient mort ?

Deux dernières choses en relation avec cet acte contre nature

 La bouche

La bouche, la bouche est aussi faite pour embrasser, donner un baiser pour unir l’homme et la femme au sens des deux dimensions qui redeviennent une, à nouveau notre si précieux UN/EHAD, alors oui la bouche doit être sanctifiée, oui la bouche est sainte, d’ailleurs les Ecritures nous révèlent quelques surprises à ce propos.

Nombres 12:8, voici ce que D.ieu lui-même déclare à propos de Moïse : je lui parle bouche à bouche, je me révèle à lui sans énigmes et il voit une représentation de l’Eternel.

Que dire de l’étrange et mystérieuse mise en action par Elysée,

2 Rois 4.32-34, Lorsque Élisée arriva dans la maison, voici, l’enfant était mort, couché sur son lit. Élisée entra et ferma la porte sur eux deux, et il pria l’Éternel. Il monta, et se coucha sur l’enfant ; il mit sa bouche sur sa bouche, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains, et il s’étendit sur lui. Et la chair de l’enfant se réchauffa.

Relevons qu’un bouche à bouche en matière de secours peut redonner la vie par le souffle.

Et pour l’Epouse qui doit se révéler bientôt que nous disent les Ecritures ?

Cantique des cantiques 1.2 : Qu’il m’embrasse des baisers de sa bouche ! Oui, ton amour est meilleur que le vin.

Oui, bien des mystères avec la bouche, bien des mystères, alors soyons très prudent avec notre bouche, ne la livrons pas à l’impureté.

La face, faces à faces

Une autre pratique contre nature qui provient directement de celle dont nous venons de parler, comme si la première perversion n’était pas suffisante dans le vice, voici une variante également fortement mise en avant par le monde pornographique : la fellation qui se termine par l’émission de semence en plein visage, le visage, la face.

Ici on ne « bouffe » pas la vie pour la mener à la mort, non on la méprise pour la jeter, c’est encore pire, cela veut dire : « la Vie, je te la jette dans la figure » et comme si cela ne suffisait pas, « je t’humilie, je te salis, je te souille », mais encore « je déteste la vie, j’te la balance à la figure en pleine face et je souille ton visage ».

Le visage, la face ?

Exode 33.11 L’Eternel parlait avec Moïse faces à faces, comme un homme parle à son ami.

Il s’agit bien de mots au pluriel dans les textes, faces à faces, mais cela sort de notre sujet, par contre, mettre en lumière une énième distorsion perverse de l’ennemi de nos âmes pour dissimuler et tenter d’anéantir une vérité sainte et profonde cela fait partie de notre sujet.

Mille choses et plus seraient à dire sur ces deux derniers points, la bouche et les faces, ce n’est pas le but ici, par contre, je suis convaincu que cela nous est indispensable pour comprendre ce qu’il se passe véritablement dans le cadre de ces actes d’inversion absolue, c’est-à-dire dans la partie non visible par nos yeux de chair.

Voici, j’en termine avec ce premier point avant de passer au suivant, tout cela sans même parler de l’humiliation et de la domination qui caractérisent cet acte.

Sodomie

A nouveau cette notion d’inversion absolue où la vie est menée à la mort. Il est en effet possible de reprendre mot pour mot ce qui vient d’être dit pour le précédent objet : Comprenez, je vous en prie comprenez cette folie qui se produit dans cet acte irrémédiablement contre nature, contre la vie. Oui, cet acte est l’inverse de la vie, il symbolise la mort, il est la mort.

Par contre, avec l’acte de sodomie, cette inversion est encore pire que la première, nous atteignons ici le comble de l’anti vie et de l’ignominie.

Ici, on ne « bouffe » pas la vie, on la jette aux ordures et même bien pire, ignoblement pire, comprenez cette folie innommable, cette abomination qui en vient à jeter la vie dans les excréments, quelle folie.

L’organe masculin, le lien qui permet de transmettre la vie, choisit de s’unir où il est sûr et certain qu’il n’y ait pas de vie, il méprise, il repousse, toute notion de vie, il insulte, il se rebelle dans une arrogance folle pour venir dans un interdit absolu, pour venir dans ce passage prévu pour le rejet des impuretés de notre corps. L’anus n’est pas dual, sa seule fonction est le rejet des saletés, des impuretés, alors en choisissant de venir s’unir à cet endroit, le comble de l’infamie est atteint, c’est-à-dire jeter la semence de vie dans les excréments, comment peut-on faire cela ? Le lien avec la bouche est d’ailleurs frappant.

C’est la transcendance de l’anti union, de l’anti dimension masculine et féminine, de l’anti tout, mais surtout de l’anti EHAD, le but suprême de la vie sur cette terre dans notre dimension. Ces choses ne sont pas « juste » des vices, ce sont des armes de destruction massive contre le Plan de l’Eternel.

Frères et sœurs, imaginez un instant la désolation qui prend alors place dans les âmes de ceux qui pratiquent ces choses, ce n’est que désolation et mort.

Voici, là aussi sans même parler de l’humiliation et de la domination qui caractérisent cet acte.

Fin de la partie III

_______________________________________________________________________

 PARTIE IV.

Allons encore plus loin

Encore un sujet en soi que je ne peux qu’effleurer, mais son importance par rapport à ce message est telle qu’il n’est pas possible de l’éviter. Le livre de Lévitique (chapitre 15 à 20 en particulier) nous parle des émissions de l’homme et de la femme et de tout ce qui est lié à ces choses. Nous ferions bien de réexaminer ces textes fort peu appréciés sous un angle différent avec une lumière de dévoilement. Relevons les points clés.

Lévitique 15.19 : La femme qui aura un flux, un flux de sang en sa chair, restera sept jours dans son impureté. Quiconque la touchera sera impur jusqu’au soir.

Lévitique 20.18 : Si un homme couche avec une femme qui a son indisposition, et découvre sa nudité, s’il découvre son flux, et qu’elle découvre le flux de son sang, ils seront tous deux retranchés du milieu de leur peuple.

L’essentiel touche à la pureté et à l’impureté, c’est-à-dire à la Vie et à la mort, on ne peut mélanger la Vie et la mort, c’est une abomination. Hormis la peine de mort, l’expression « retranchés » est la plus grave, cela veut dire retranchés du monde à venir, à ne pas confondre avec « hors du camp » qui est une phase de purification limitée dans le temps et l’espace.

Je vous en prie, comprenez ce propos, propos sujet à mille distorsions et mille divisions.

Lorsque la femme est enceinte et pendant la période qui suit l’accouchement elle est pure, dit autrement, pendant tout le processus où elle donne la vie, elle est pure, cette pensée est sublime et magnifique, aucune impureté ne se trouve dans la transmission de la vie. A l’inverse, une femme qui ne transmet pas la vie ne bénéficie pas de ces plages temps dans la pureté. Où cela nous mène-t-il pour notre temps ? Cela nous mène à l’Epouse qui précisément doit être en mesure de donner la vie, sans quoi elle ne peut être l’Epouse.

Relevons que le retour des règles et par conséquent des périodes d’impureté est encore différé pendant le temps de l’allaitement, et pour cause, l’allaitement est également transmission de vie, c’est magnifique, la Parole de D.ieu est parfaite et nous dit tout sur tout.

Comprenons bien, cette impureté des règles n’est pas une faute, c’est un principe de vie, ce qui est bien différent, c’est l’histoire de la vie et de la mort, raison pour laquelle ces choses sont très sérieuses, celui qui méprise ces principes à priori bassement physiques et matériels, méprise en vérité la vie, la vie et la mort d’ailleurs.

Nous sommes ici-bas pour donner la vie, pour enfanter, c’est bien cela que nous avons vu au préalable en parlant de Romains 8 et Ephésiens 4, encore davantage au chapitre 5 d’Ephésiens où il est question de l’Epouse, tous ces principes sont des images pour nous faire comprendre la Vie et notre mission ici-bas, enfanter au sens profond, au sens des soupirs de la terre et des Fils qui se révèlent.

Alors aujourd’hui, pourquoi dans notre monde (surtout occidental) noyé dans la débauche et la confusion, noyé dans les fumées sombres du satan, les hommes et les femmes ne veulent-ils plus enfanter ? Pourquoi ? Notre ennemi le sait, nous ferions bien de la savoir également nous qui nous prévalons de devenir l’Epouse.

Oui, le sang perdu dans le flux menstruel est la vie éteinte, c’est-à-dire la mort, la vie éteinte sort alors du corps, corps dont la mission n’est pas la mort, mais la vie. Ce n’est pas pour rien que l’interdiction de manger du sang est si grave et si gravement punie, ceci bien avant la transmission de la Torah par Moshe (Moïse).

Genèse : 9:4 Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang.  9:5 Sachez-le aussi, je redemanderai le sang de vos âmes, je le redemanderai à tout animal; et je redemanderai l’âme de l’homme à l’homme, à l’homme qui est son frère.

Lévitique 7:26 Vous ne mangerez point de sang, ni d’oiseau, ni de bétail, dans tous les lieux où vous habiterez. 7:27 Celui qui mangera du sang d’une espèce quelconque, celui-là sera retranché de son peuple.

A nouveau les Ecritures mettent en exergue la gravité et le sérieux de ces choses avec le « retranché ». Je vais m’arrêter ici pour ces notions en relation avec le sang en disant :

Tout cela pour aboutir à l’œuvre ultime, celle de la Croix, celle du prix du sang le plus précieux et infini de tous les sangs, le sang des sangs.

Une dernière chose, comprenons-nous, je ne dis pas qu’une femme doit avoir 25 enfants pour être pure*, je rappelle un principe biblique fondamental. Je ne cherche pas à accuser qui que ce soit, non je ne cherche pas à accuser, mais à expliquer et si possible à dévoiler et plus encore à libérer.

* Note MAV: j’ai expliqué dans mon livre Pilule, IVG… Electrochocce qu’était le « planning familial » divin, où c’était Dieu qui choisissait quand une femme pourrait être enceinte. J’y dévoile comment le « contrôle des naissance » de Dieu avait pour aboutissement des enfants « pur », et nettement plus sains et intelligents, et aboutissait certainement jamais à des grossesses répétitives pour la femme, mais des grossesses porteuses d’une grande bénédiction.

Allons toujours plus loin, plus loin avec le « Tikkoun Haclali »

Le Tikkoun Haclali est une notion juive intégralement en lien avec ce message, le but est de donner en très succinct les points-clé pour faire découvrir quelque peu cette notion très profonde et insoupçonnée. Je ne vais pas l’expliquer, ni parler de son auteur, ni même introduire cette notion, à chacun de percevoir ce qu’il doit percevoir et de chercher ce qu’il doit chercher.

Le Tikkoun Haclali est l’œuvre ultime de Rabbi Nahman de Breslev, il s’agit de la lecture ordonnée de 10 Psaumes choisis accompagnée de la prière très particulière du rabbi qui conduit véritablement très loin. Voici les points clés du Tikkoun Haclali :

  • Les 10 psaumes sont les numéros : 16,32,41,42,59,77,90,105,137,150,
  • Ils se lisent dans l’ordre précis et sont en principe accompagnés de la prière du Rabbi,
  • Les 10 psaumes représentent les 10 sortes de mélodies (je ne cite pas ici les 10 noms en hébreu), n’oublions pas que les psaumes sont des chants,
  • Le Tikkoun Haclali signifie la réparation générale, réparation au sens de Tikkoun, mais ce Tikkoun est très particulier, il est considéré comme un remède définitif,
  • En particulier en lien avec la réparation des fautes sexuelles,
  • Plus particulièrement encore en relation avec l’émission de semence en vain,
  • La semence porteuse de vie lorsqu’elle n’est pas émise dans les conditions prévues, c’est-à-dire uniquement dans le cadre d’une relation intime entre un homme et une femme mariés, est détournée de sa destination,
  • La semence émise en vain est saisie par les forces démoniaques qui s’en trouvent renforcées, ce n’est même pas un vol puisque la semence est jetée,
  • Le Tikkoun Haclali permet d’aller reprendre les forces de vie qui ont été saisies par le monde démoniaque, ces forces de vie sont donc retirées au mal qui se trouve alors affaibli,
  • Les étincelles de vie peuvent ainsi être récupérées,
  • Que de forces perdues par les hommes qui n’ont ainsi plus la vitalité pour entrer dans les projets de vie prévus pour eux, affaiblis, ils ne peuvent alors accéder à la « Malkhout»,
  • Ces forces perdues affaiblissent les hommes et en parallèle renforcent les entités du mal qui se nourrissent avec les semences perdues, entités qui proviennent même, qui sont engendrées par les semences émises en vain,
  • Le Tikkoun Haclali nous parle également du rétablissement de l’Alliance.

Voici un extrait significatif de la prière du rabbi :

Maître du monde, accorde-moi le mérite, dans ton immense miséricorde et dans ta grande pitié, de les extirper toutes des klipots (écorces), des forces du mal et de tous les endroits où elles sont tombées. En effet elles se sont dispersées, éparpillées, et ont été jetées là-bas. N’écarte pas de Toi celui qui s’est éloigné. Soumets, brise, tue, extirpe, anéantis et annule toutes les klipots et tous les esprits maléfiques et les démons qui ont été formés, créés et mis au monde à partir des gouttes que j’ai émises en vain. Retire-leur la vie et dérobe-leur la vitalité de sainteté et toutes les étincelles saintes qu’elles ont englouties.

Maître de l’univers, Dieu vivant et éternel, vie de toute vie, abondant de miséricorde, jugeant toujours l’univers avec indulgence, désirant la bonté et répandant le bien, mon père, mon père, mon libérateur et mon sauveur, je suis, j’ai réalisé ô mon Dieu, que je me suis rendu coupable et pécheur.

Et maintenant que dire de la « contraception » ?

Après avoir été grandement étonné et surpris par la découverte de cette notion de Tikkoun Haclali, après tout ce qui vient d’être dit ici, examinons maintenant sous un angle différent ce qui est nommé « contraception ». Ces « méthodes » qui ne visent qu’à la jouissance suprême au mépris de toute responsabilité, au mépris de la vie, car finalement toutes ces méthodes n’ont d’autres but que d’empêcher la vie tout en volant au passage la jouissance qui lui est associée et réservée. Excepté la contraception naturelle qui alors n’est plus de la contraception, c’est la gestion sage et naturelle de l’équilibre de la vie, la seule qui devrait exister.

Pour en arriver au terme du processus au sacrifice de la vie, aux meurtres, c’est-à-dire aux avortements. Le paroxysme de l’anti-vie, en allant profaner et semer la mort à l’intérieur de la femme en allant mettre la mort et le sang au sein même du cocon protecteur de la vie. Ce n’est plus de la folie, c’est de la rage, comment un être humain peut-il avoir une idée monstrueuse pareille ? Aucun mot ne peut décrire cela.

Au regard de ce que nous venons de voir, même le préservatif nous pose un sérieux problème, un sérieux problème avec l’émission de semence en vain, car ainsi la semence termine son chemin à la poubelle et non dans son réceptacle.

Encore une chose et pas la moindre

Pas la moindre, oui, mais également un terrain miné, je vous demande toute votre attention et surtout toute la compréhension qu’il convient, car pour ne pas alourdir ni m’éloigner du sujet je ne peux ici mettre toutes les nuances qui permettraient d’éviter des incompréhensions sur ce qui suit. Je demande cela en particulier aux femmes, car les hommes ne se braquent pas trop quand on aborde leurs fautes sexuelles, hélas, bien souvent, pour ne pas dire plus, ils ne savent que trop quelle est leur réalité. Devant leurs épouses, ils ne reconnaîtront strictement rien du tout, c’est certain, mais entre hommes le discours n’est pas le même et c’est peu dire. Voici ce point si important :

  • Ne pas se refuser l’un à l’autre
  • Attention à la responsabilité qui y est associée

Sœurs, ne le prenez pas mal, soyons dans le juste équilibre, nous marchons ici sur une crête avec un précipice de chaque côté, restons fermement au centre du sentier, je vous prie d’écouter et je dis : vous n’imaginez pas, non vous n’imaginez pas la force de l’effet dévastateur de ce type de refus.

Bien sûr il faudrait parler de l’homme non sanctifié, ou pas complètement, de la nature des intentions et encore mille choses, cependant, il n’en demeure pas moins que l’effet est dévastateur. Bien sûr une femme me rétorquera que mille et une raisons peuvent justifier ce refus, que cela peut se produire dans l’autre sens aussi, je sais, ce d’autant que je fais partie de ceux qui sont convaincus que la faute première dans le couple vient toujours de l’homme, mais ce n’est pas le sujet ici, ici je vous dis ce que 99% des hommes ne vous diront jamais. Lors d’un refus, l’homme entend : fais ce que tu veux; pire, il se donne une justification; et pire encore, cette justification prend racine dans la colère, même dans une certaine rage et un esprit de vengeance : cela est reçu par l’homme comme une permission de commettre l’interdit.

C’est probablement une cause importante par rapport au visionnement de pornographie, ensuite ce visionnement devient vice pour lui-même et s’auto alimente sans autre source, le schéma infernal est en place, bien difficile de l’arrêter ensuite, bien difficile.

Je grossis volontairement le trait comme je le fais souvent pour insister sur un point important c’est vrai, il n’en demeure pas moins que je dis : Sœurs, faites très attention avec cela. Je ne dis pas que ce type de réaction de l’homme est normale, je le dis car c’est important.

Pour l’aspect inverse, c’est-à-dire ce qu’un homme produit de destructeur chez la femme par sa mauvaise attitude, il appartiendrait à une femme de le dire.

Et pourtant ce n’est pas si compliqué

La Parole de D.ieu est simple et efficace, c’est le cœur de l’homme qui est tortueux. En quelques versets, en quelques mots, tout ce dont je traite dans ce message est réglé, est mis en ordre, point final, il « suffit » d’appliquer ce que le Seigneur nous dit et c’est tout. Oui, c’est même facile et je dis : quiconque met en pratique ces quelques versets qui suivent et tout rentre dans l’ordre, AMEN

1 Corinthiens »  7:2 Toutefois, pour éviter l’impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari.  7:3 Que le mari rende à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. 7:4 La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. 7:5 Ne vous privez point l’un de l’autre, si ce n’est d’un commun accord pour un temps, afin de vaquer à la prière; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence.

Philippiens 4.8 Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l‘objet de vos pensées.

Ephésiens 5:33 Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.

La difficulté c’est qu’il faut être deux pour réussir cela et dans 99% des cas, l’homme et la femme pensent que c’est la faute de l’autre. Le Couple, l’union des contraires est la clé de toutes choses. Ici, relevons simplement qu’avec une application pratique, n’importe quel couple en Yeshoua règle ces questions immédiatement. Pour le couple ce n’est pas mille choses à dire, un milliard ne suffirait pas, mais il va bien falloir s’y atteler tellement c’est vital par rapport à l’Epoux et l’Epouse.

Fin de la partie IV, à suivre.

_______________________________________________________________________