Note MAV: Je n’ai pris que la fin de l’article, mais l’article tout entier, sur Dreuz.info mérite d’être lu… et d’y réfléchir, car nous sommes pleinement concernés. Via l’Histoire nous avons appris que la Gauche, qui veut se parer de toutes les vertus: tolérance, solidarité*, humanisme, etc… mais qui nie l’existence de Dieu en pensant que l’homme est un dieu (caractéristique que Macron se fasse appeler  »  Jupiter  « ), n’a apporté partout qu’injustices ou destructions, parce qu’elle est bâtie sur du mensonge. Sa philosophie est que  »  l’homme est bon par nature  « , alors que la Bible nous démontre que  »   l’homme est mauvais et rebelle par nature   »  et que sans un Sauveur qui fait de ceux qui croient en Lui de nouvelles créatures, elle est sous la coupe du  »  prince de ce monde  « , le père du mensonge, Satan. Elle apporte partout une illusion qui finit toujours en catastophe (observons tous les pays qui ont été ou qui sont communistes: c’est toujours, au final, une tyrannie sanguinaire qui s’installe au pouvoir). Je suis toujours attristée de voir tant de chrétiens se laisser prendre au piège des discours humanistes de la Gauche, alors que Jésus a dit:  »  Il n’y a de bon que Dieu   »   !

  • *  Toujours aux forcing et au dépens, non de leurs propres poches, mais des soi-disant  »  riches   » (de fait, essentiellement les entrepreneurs, les artisans, les petits  agriculteurs, les commerçants et les professions libérales, en gros, tous ceux qui travaillent 50 à  70 h/semaine !), et ce,  via des impôts et contraintes asphyxiantes qui finissent par éradiquer ces professions, comme nous le voyons en France. La gauche hait tout ce qu’elle ne peut niveler par le bas ! Nous ne combattons pas contre des hommes, mais contre un esprit satanique très puissant, un tyran, comme l’est Satan. Ils s’appelle tour à  tour  »  communisme  « ,  »   socialisme  « ,  »   sociale-démocratie  « , etc., toujours des termes qui gonflent les adeptes de vanité face au leurre d’êre remplis de l’amour d’autrui. Jésus ne va pas venir régner avec des discours humanistes, mais avec un VERGE DE FER ! C’est écrit !

… Comme je le notais récemment dans un autre article, la gauche n’a plus de repères, plus de pays ou de régime qu’elle peut placer en exergue. Elle n’a plus de références intellectuelles dignes de ce nom. Aux États-Unis…, elle ne parvient toujours pas à  se remettre de la défaite d’Hillary Clinton et de la victoire de Donald Trump. Elle se montre … abrutie et excitée  et a osé traiter Donald Trump de nazi et d’antisémite parce qu’il a, lui Donald Trump, dénoncé le Ku Klux Klan en le plaçant sur un pied d’égalité avec les très fascistes « antifas », qui sèment la violence et le saccage partout où ils passent, et soutiennent le seul antisémitisme qui tue des Juifs aujourd’hui sur terre, l’antisémitisme islamique.

Elle a commencé, mais un peu tard à  s’apercevoir que les «  antifas » avaient des ressemblances avec les SA du temps de la montée du nazisme et les a désavoué, avec beaucoup de réticence.

La gauche américaine est dans une telle dérive qu’elle perdra sans doute les élections de 2018 et de 2020. Cela l’excitera sans doute davantage. Elle s’en prendra à  quelques statues. Ses éléments les plus abrutis et les plus excités envisageront peut être de faire sauter à  la dynamite le Mont Rushmore considérant que garder gravé dans la pierre le visage de quatre « fascistes » (George Washington, Thomas Jefferson, Abraham Lincoln, Theodore Roosevelt) est insupportable: des sites de gauche américains ont explicitement énoncé le projet.

La gauche en Europe devrait avoir moins de raison de s’exciter. Elle a réussi à  installer une hégémonie qui fait que tous les débats se passent sur le terrain qu’elle a établi et sous son ombre portée, mais son terrain étant stérile, sans idées qui ne datent du dix-neuvième siècle et qui ne sentent la naphtaline, il lui reste à  jeter des crachats et des invectives en espérant susciter des réflexes conditionnés. Dès lors qu’elle tient presque tous les médias, presque toutes les radios et chaînes de télévision, et presque toutes les maisons d’édition, crachats et invectives ont un impact.

L’idée de « racisme islamophobe » est si bien installée sur l’horizon que toute critique claire et nette de l’islam est aujourd’hui en Europe qualifiée de raciste, de même que toute mise en cause des politiques d’immigration ou que tout rappel du suicide démographique à  l’œuvre présentement sur le continent européen (l’économiste Charles Gave, pour qui j’ai une vive estime, a récemment publié sur le sujet un article dans Causeur, l’un des rares magazines encore dignes de ce nom, et a été, pour cela, traîné dans la boue dans le journal de gauche Libération).

Tout dirigeant politique qui parlerait en Europe comme un conservateur américain se verrait immédiatement décrit comme une réincarnation de Satan, si bien que ce qu’on appelle conservatisme en Europe serait défini comme relevant du centre gauche aux États-Unis. Des exceptions à  la règle existent en Europe centrale, Pologne, Hongrie, mais ce sont, précisément, des exceptions à  la règle.

La gauche, où qu’elle sévisse, ne pense plus. Elle tourne à  vide et cherche à  faire le vide dans les têtes. Elle n’a plus de but: seuls quelques-uns de ses membres imaginent encore que le socialisme peut se trouver construit quelque part, et changer le monde.

Il lui reste à  détruire. Elle s’y emploie.

L’Europe est proche de l’agonie. Les États-Unis ont une espérance de vie plus longue, Israël aussi, et qu’Israël soit un pays très résistant à  la gauche, que les Français israéliens apportent leur soutien à  un homme aussi courageux et droit que Meyer Habib, et que Meyer Habib soit juif et fier de l’être ne peut que susciter des crises de nerfs chez certains Juifs de gauche, surtout s’ils vivent à  New York, la Mecque des Juifs de gauche, avec Tel-Aviv.

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© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.