Bientôt en ligne, ces révélations sur « l’éveil du mal ». Quelques extraits…

Premier contact

Il était près de 23h00 quand elle a frappé à ma porte. Juste deux coups légers, si légers que j’ai cru que c’était Pandy mon chat espiègle revenu de sa chasse quotidienne. Mais ce n’était pas ma boule de poils, non, mais une jeune femme qui se tenait là sur la pas de la porte, le visage dissimulée par la capuche de son jogging, aussi sombre qu’un guerrier ninja !

– « Vous êtes Muriel ? Muriel Max ?»

Une affirmation plus qu’une question : elle savait visiblement qui j’étais.

Ce n’était pas la première fois qu’une inconnue venait toquer à ma porte sans crier gare, mais pas aussi tardivement. Quelque mois plus tôt, Mary* s’était présentée un début d’après-midi et m’avait demandé la même chose, mais avec hésitation.

« J’ai fait ma petite enquête, m’avait-elle dit, à la suite d’un article que vous avez écrit c’est comme ça que je vous ai trouvée.»

– Aie ! M’étais-je dit, il me faut peut-être être plus prudente !

Mary était plutôt nerveuse et se voulait excessivement discrète : elle se disait persécutée. Sa famille, opposée à sa foi chrétienne et à ses avertissements sur le nouvel ordre mondial, désirait l’enfermer pour ses « délires » et son comportement décrit comme complotiste. Ça frôlait la folie pour eux. Enfin c’est ce que j’ai cru comprendre. Mais là, ce soir de juin,  la femme qui se tenait devant moi, c’était autre chose, c’était indéfinissable. Quoiqu’il en soit, elle ne m’a pas laissé le temps de réagir : elle s’est engouffrée chez moi avec une agilité déconcertante et s’est installée naturellement sur une chaise sans mon invitation.

J’aurais pu m’en offusquer mais ce ne fut pas le cas. Je ressentais juste de la curiosité, mon esprit était en alerte, tout en elle suscitait en moi une attention particulière.

– « J’ai des choses à vous dire, c’est important et surtout urgent. »

Elle avait rabattu sa capuche et son visage dans la lumière diffuse de la pièce reflétait une sérénité presque palpable. Elle devait avoir une trentaine d’années et pourtant son regard reflétait une indéniable sagesse, regard qui me rappelait tout à coup celle de feu mon oncle, un centenaire qui possédait cette édifiante qualité.

J’allais lui demander : « quelles choses  ?», mais elle ne m’en a pas laissé le temps.

– « Tu n’auras qu’à écrire et tu jugeras, écrire c’est ton truc non ? »

Elle avait légèrement souri et son visage grave avait changé : on aurait presque cru entrevoir une enfant, mais une enfant que je discernais blessée profondément, ça j’en étais intimement persuadée.

Pourquoi moi ? lui demandais-je

– Disons que j’ai apprécié certains de tes articles, idem pour tes vidéos, mais c’est l’article sur « Sahale » qui m’as interpellée, et celui de « l’armée de l’ombre » qui m’a décidée. Je ne sais pas où tu as trouvé certaines de tes infos mais tu as frôlé quelque chose, là.

C’est moi qui ai souri cette fois-ci. Elle ne saurait pas le pourquoi de l’inspiration de cet article particulier mais je crois qu’elle s’en fichait, ce qu’elle était sur le point de me dire était sa seule préoccupation et le temps que j’allais passer avec elle me le confirmerait. Je lance:

– « Et pourquoi devrais-je vous croire ? Vous débarquez ici en pleine nuit comme si c’était la fin du monde… »

– Parce que j’étais de l’autre côté, celui du mal, celui que tu ne cesses de révéler, j’ai vu ce qu’ils préparent, j’y ai même participé, peut-être qu’il y a encore quelque chose à faire…mais peu importe ! Ecris, écris Muriel, écris et écoute-moi attentivement.

Ça pour écouter, je vais écouter et je ne vais faire que ça durant deux heures !

– « Appelle moi Dana, c’est un prénom qui me plaît bien. Un petit clin d’œil à la série x-files, tu connais ? Bien sûr que tu connais ! »

Oui, je connaissais, la fameuse Dana Scully et son partenaire Mulder, Fox Mulder, toujours en quête de la vérité. Tout à coup je prends conscience de la situation surréaliste dans laquelle je me trouve. Mais je n’ai pas le temps de penser plus avant, l’énigmatique jeune femme ne m’en laisse pas le temps, sa voix claire et calme monopolise toute mon attention à cet instant. Elle déclare:

– Je suis une enfant issue de cette lignée que votre Bible décrit comme « la postérité » du Prince de ce monde. C’est écrit, tu vois ?

Oui, je voyais c’était dans le livre de la Genèse : le verset 3.15.

« Je mettrais inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon »

Elle poursuit :

Enfin, je faisais partie, disons qu’un événement m’a forcée à prendre une décision et je ne fais plus partie de cette… comment dire…  famille, quoique cette définition me paraît plutôt ironique parce qu’il n’y a dans cette « lignée » rien qui ressemble à une famille telle que vous, les chrétiens, vous la concevez. Je dirais plutôt une sorte « d’armée », une horde serait plus juste. Nous sommes des millions tu sais, des millions à être élevés sous des dehors tout à fait normaux, mais à l’abri des regards et du monde, nous sommes formés dès l’enfance pour des tâches précises selon nos capacités, vers un seul but, un unique but et ce, depuis des générations très anciennes voire ancestrales.

Nous sommes parmi vous, telle une toile d’araignée. Nous avons conquis, décennies après décennies toutes les structures les plus solides et les plus essentielles des sociétés :  des hommes et femmes entraînés pour tenir ces places privilégiées le font pour saboter toute résistance et mener le « plan » à terme.  

Il faut savoir qu’il y a des milliers d’enfants, qui naissent chaque année, des enfants non déclarés qui servent à la « communauté » hors système pour diverses fonctions et ils deviennent des sortes d’esclaves à vie ou pas. Certains deviendront des « super soldats » dénués de tous sentiments, exercés à détruire ou à protéger leurs maîtres, d’autres à faire avancer l’idéologie future dans des secteurs divers importants, tels que la recherche, la science, la technologie, l’économie, et ce pour celui qui règne dans l’ombre et qui s’en vient. Mais tu le sais déjà.

Si j’ai eu le « privilège » de naître dans une famille où mon nom a été inscrit officiellement, ma petite sœur n’a pas eu cette chance. Parce que l’amour, Muriel, n’existe pas chez nous, enfin chez eux. C’est un sentiment considéré comme une faiblesse, une redoutable faiblesse qu’il faut annihiler à tout prix et crois-moi ils y parviennent !

Mais l’amour chez vous, au sein des nations a été sapé lui aussi ces dernières années à cause du canular le plus élaboré et dément de toute l’histoire de l’humanité : le fameux vaccin. »

Ça ce n’est pas un scoop pour moi, pensais-je. J’ai subi de plein fouet cette « guerre » dite bactériologique qui a mis à sac ma vie et m’a fait entrevoir ce que la peur peut engendrer au sein d’un peuple. La peur justement qui paralyse et empêche toute réflexion, jusqu’à accepter l’improbable. J’ai vu l’injustice, l’hostilité, la souffrance et la détresse, plus répandues encore ces deux dernières années : les conséquences de cette injection expérimentale ne cessent de s’accroître et se révèlent plus évidentes à présent.*

* MAV: rappelons que Muriel était aide-soignante, qu’elle a refusé de se faire vacciner, et s’est retrouvée jetée brutalement à la porte de son emploi, sans salaire, sans droit au chomage, et ce durant des mois et des mois, à partir du 15 septembre 2021 jusqu’au 15 Mai 2023, et ensuite, quand Muriel a cru pouvoir reprendre sa place, elle s’est heurtée

La voix de Dana accapara de nouveau mon attention.

« Des épidémies il y en a eu au fil de l’histoire, des épidémies réellement meurtrières telles que la peste dite de « Justinien », la peste noire au 13ème siècle, celle de l’Angleterre au 16ème siècle, le choléra au 18ème siècle, la grippe asiatique en 1956, la grippe Espagnole durant la première guerre mondiale puis le Sida dans les années 80, l’Ebola en Afrique, pour ne parler que des répertoriées, qui ont fait des millions de morts. Les souches de ces « virus » sont gardées, confinées dans des endroits sécurisés avec d’autres inconnues dont la plupart ont été trafiquées à partir des souches initiales. C’est une menace réelle et dissuasive. Le Covid est issu du H1N1, c’est une forme de grippe que l’organisme peut aisément vaincre pour la plupart sauf pour les plus vulnérables, les plus fragiles. Mais nous savons que le vaccin contre ce virus a été fabriqué : d’imminents médecins et scientifiques ont tenté, je dis bien : tenté de le dire, tel le Professeur Montagnier, brillant biologiste virologue, le docteur Peronne ou la généticienne Alexandra Henrion Caude pour ne citer que la France. Mais ils ont été nombreux et ce, dans le monde entier, à alerter. Toutefois leurs voix ont été étouffées par le brouhaha d’une persuasion médiatique et politique mondiale, redoutable, où la mort était brandie tel un épouvantail. Et nous savons aussi, Muriel, que dès les premiers symptômes, les gens auraient pu être soignés avec un remède des plus simples qui existe depuis de nombreuses années, validé d’ailleurs par l’OMS elle-même, et qui, brutalement a été interdit par la même organisation. Plutôt ironique, non ? »

Ça aussi, je le savais, dès que les mots « injection expérimentale » avaient été prononcés, d’emblée je m’étais méfiée : je n’étais pas un lapin ou un cochon d’inde de laboratoire, j’avais donc passé du temps, beaucoup de temps à recueillir des informations pour comprendre. Très vite j’avais discerné les incohérences. Le manque de données et d’avis réellement objectifs et éclairés des « professionnels » qui défilaient sur les chaînes officielles ne pouvaient m’échapper : la vérité est ailleurs, comme dirait Fox Mulder dans la série x-files. L’invitation à se faire vacciner par une injection avec une molécule ARN, ou plutôt, pour être précis, une enzyme à partir de l’ADN, s’était changée en ordre puis en une menace sous-jacente. La suspension de milliers de soignants et dans d’autres secteurs professionnels du pays n’avait fait que confirmer mon scepticisme.

Dana poursuit :

 

– Certains d’entre nous ont été un peu étonnés de la docilité de la population. Bien que les moyens de communications employés aient été phénoménaux, et la voix des vrais professionnels réduite au silence, la résistance s’est avérée minoritaire et bien peu influente.  

 

La voix de Dana s’était un peu voilée, j’ai senti comme de la déception. C’est vrai, c’est toujours étonnant, mais l’histoire se répète, Dana, ce n’est pas la première fois que le mensonge l’emporte sur la vérité. Elle a souri mais d’un sourire qui m’a semblé désabusé.

– Comme durant la deuxième guerre mondiale, bien sûr, les autorités ont employé les mêmes stratèges, et ça a fonctionné. Ceux d’en haut appréhendaient la réaction des « chrétiens » de tous bords, du moins ce qu’il en reste dans les pays européens. Oui, ils s’étaient dit que la résistance viendrait d’eux, mais là aussi, il n’en fut rien : il a suffi d’un seul verset de votre Livre* pour retourner des assemblées entières, tout comme le Vatican sous le pape Pie XII face au fascisme, à la complaisance, à l’incrédulité, voire à l’obéissance, l’a remporté.

* Roms 13: 2C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. (Mais il s’agit clairement, ensuite, des autorités instituées par Dieu et qui portent l’épée de la justice !!!)

Elle a raison Dana, hélas, mille fois hélas. J’avais moi aussi été étonnée de tant de soumission, de manque de discernement et de connaissance au regard des prophéties bibliques nous mettant en garde. Ça m’avait brisé le cœur, parce que je savais, je savais que nous étions rentrés dans une guerre des plus pernicieuses, une guerre redoutable où le mensonge pervertissait la vérité, une vérité privée brusquement de luminosité, de foi, de zèle et de courage.

Je me souvenais de ces grands couloirs hospitaliers où le psaume 91 me rassurait et m’aidait à surmonter la souffrance environnante.

« Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur. De la peste et des ses ravages. Il te couvrira de ses plumes. Et tu trouveras un refuse sous ses ailes : Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour. Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi. »

Tant de gens touchés, tant d’ordres et contre ordres qui isolaient, culpabilisaient et poussaient le personnel médical à faire ce qui était absurde et dénué de compassion ! « Mon peuple périt par manque de connaissance » a dit Osée, un prophète des temps anciens, j’avais ressenti ces paroles avec force : mon peuple du 21ème périssait aussi, même si ce siècle baigné de technologies stupéfiantes devait apporter sagesse et intelligence. La peur traversait l’histoire et s’était immiscée à chaque génération et ce, avec plus de férocité ces derniers temps.

Les gênes de la vérité.

La voix de Dana interrompit mes pensées, sa voix s’était faite plus grave.

« Tout était prémédité, ils ont des laboratoires où des expériences démentes, épouvantables sont effectuées et ce, pas seulement avec des particules microscopiques, non, mais avec toutes sortes de génomes, tout ce qui peut se croiser avec l’ADN humain, tout ce qui peut être fusionner d’une manière ou d’une autre ! Si tu savais, Muriel, les avancées spectaculaires de la biotechnologie qu’ils ont accomplies, et qui ont ouvert de nouvelles possibilités. Officiellement, ces expériences sont menées sous couvert de recherches pour guérir des maladies génétiques, mais, en réalité elles franchissent des limites éthiques et légales. La CRISPR-Cas9 édite des gênes spécifiques afin de renforcer le système immunitaire, améliorer la mémoire, et augmenter la force musculaire et pour cela des embryons humains sont modifiés génétiquement avant d’être implantés dans des mères porteuses. Pour la thérapie Génique, ils injectent des vecteurs viraux pour introduire des gênes améliorés dans le corps des adultes : Ces vecteurs sont conçus pour cibler des cellules spécifiques et introduire des modifications génétiques. Régénération des tissus endommagés ou amélioration des fonctions corporelles voilà ce qu’ils préconisent et mettent en lumière pour le public, enfin ceux qui s’y intéressent et ils sont très peu.»

Je dirais même, pensais-je, que la plupart s’en fiche sauf quand leur vie est menacée : là ils sont prêts à s’aventurer dans ce domaine complexe pour chercher une solution miracle voire à se porter volontaires pour tester n’importe quel remède. Je me souviens d’une femme ayant des idées tendance « marxiste » qui avait été fière d’avoir participer à ce vaccin expérimental parce qu’elle aidait la science d’une certaine manière. D’un côté elle dénonçait depuis des années via un journal les richesses faites sur le dos des travailleurs, et de l’autre, elle avait permis d’enrichir davantage une des plus puissantes organisations pharmaceutiques tout en ayant servi de cobaye, quelle ironie !

Dana interrompit une nouvelle fois l’envolée de mes pensées.

« Il faut que tu saches, Muriel, quoique tu dois t’en douter, plus de cinq milliards d’individus ont accepté des injections expérimentales dont les conséquences sont incertaines et potentiellement dangereuses voire mortelles pour les plus vulnérables. Néanmoins, cette expérience mondiale à un but et n’est que les prémisses d’un plan plus vaste. Une guerre a été déclarée envers l’humanité qu’ils considèrent trop nombreuse et dénuée d’intérêt pour leurs ambitions futures. Ces puissances sont elles-mêmes gouvernées par d’autres puissances maléfiques, venant d’une dimension surnaturelle, tu sais de quoi je parle n’est-ce pas ?»

Oui, je savais bien sûr, pensais-je: « On pourrait parler de cet « être » et de ses hordes qui dirigent le monde, du moins dans ses structures qui régissent les nations plutôt, Dana, mais pour l’instant parles-moi de ces « expériences » secrètes, tu peux développer ? »

Dana acquiesça.

– Il y a les volontaires qui atteints d’une maladie sans réel espoir de guérison, se proposent à des protocoles d’essais sur des remèdes éventuels, ça c’est la partie disons…noble de la science mais il y a les autres, ceux qui n’existent pas, invisibles aux yeux du monde et des fichiers officiels, ceux-là sont pour la partie obscure de la science, ce qui n’est pas dit dans les manuels autorisés. On appelle ça des « chimères », ils ont développé ou plutôt osé créer des chimères-Animales en introduisant des cellules humaines dans des embryons d’animaux pour cultiver des organes humains améliorés : Ces organes sont destinés à être transplantés dans des sujets humains pour prolonger la vie et améliorer les capacités physiques. S’il y a une personne qui pourrait t’en parler le mieux, c’est Timéo.

– Timéo ?

Oui. Timéo, qui comme moi, avons été des enfants choisis, éduqués, formés pour des secteurs définis. Timéo, lui, est ou plutôt était un brillant généticien mais inconnu du monde scientifique, il œuvrait dans l’ombre, dans un laboratoire haute technologie où nulle entrave pour freiner les expériences ordonnées par les « orbes », on les appelait comme ça. Mais laisse-moi te raconter l’histoire de Timéo, tu comprendras mieux.

« Timéo est né dans une famille franc-maçonnique versée dans le satanisme. Tout comme moi, il a été brisé dès l’enfance, et comment dirais-je… reprogrammé ? Oui, on peut dire les choses comme ça. Apprendre à surmonter la souffrance, à devenir des êtres vivants sans humanité, apprendre à se parer des mêmes émotions que les « normaux » sans les ressentir. Cette partie-là acquise, venait alors l’enseignement sur des savoirs ancestraux, inaccessibles aux gens du « dehors », hors des loges, hors des « clans » où siégeaient par des hommes et des femmes haut placés qui régissent les lois des nations et ce, davantage ces derniers temps. La plupart des peuples ignorent ou ne veulent pas savoir qui gouverne réellement ce monde, et dans quel monde ils vivent vraiment. Mais ça tu le sais déjà Muriel.

Oui, ça je le savais aussi à ma grande tristesse souvent. La Bible dit vrai : satan est bien le Prince de ce monde ou le Chef de ce monde. Une personnalité qui gouverne la dynamique de l’humanité dans toutes les structures des nations. Tout ce qui divertit ou accapare les gens trouve son essence dans cet être d’une séduction incomparable alliée aux mensonges des plus subtils. Mais ça, beaucoup ne veulent pas l’entendre, le nient où s’en amusent. Réfuter que le mal porte un nom, rejeter que ce mal puisse diriger et influencer nos pays, c’est ne pas reconnaître qu’il y a un problème, un problème universel. Alors ces chaînes qui gangrènent nos existences ne pourront être brisées.

 

« Ephésiens 2.1-2 »

S’il y a cette entrave, il y a aussi la solution. Ceux qui l’ont compris, sont en paix et sont libres. Ils ont délié leurs liens avec le seul qui pouvait le faire : Jésus-Christ.

« 1. Timothée 1.15 »

« Actes 4.12 »

  • A suivre…