Le nouvel ordre mondial, ou plutôt leur nouvel ordre mondial, recouvre bien des aspects de sorte qu’il est difficile d’en faire un inventaire exhaustif.

Mais, d’un point de vue spirituel, c’est relativement simple. Vous vous souvenez que, au printemps 1940, les parlementaires français remirent dans leur majorité les pleins pouvoirs à Pétain et, partant, à ses affidés comme Laval et d’autres de sinistre mémoire.

Eh bien, le nouvel ordre mondial consiste à remettre l’intégralité du gouvernement de l’humanité à satan et à ses démons.

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Il n’est donc pas surprenant que le nouvel ordre mondial ait les caractéristiques de satan, d’abord le mensonge et le meurtre (Jean 8:44) mais aussi l’orgueil, le sadisme, la démence, l’impureté sous toutes ses formes.

Quand le conseiller d’Adolf Schwab, Harari, prophétise que tous les cerveaux humains seront connectés à un réseau, il s’agit pour satan de tenter de rendre impossible la connexion à l’Esprit saint et donc la nouvelle naissance. Les propos de ce pauvre dément parlent d’eux-mêmes : les plus puissants vont devenir des « dieux ». Pauvre Harari. Tu aurais dû lire la Bible. Cette vaine illusion est aussi vieille que le premier récit de la Genèse !

Et nous qui savons que, en un claquement de doigts, Dieu fait crouler les tours de Babel les plus élaborées ! Harari, que tu es pathétique avec ton regard noir et ta chemise noire !

Et puis, il y a ces médias qui, pour prouver leur pluralisme et leur indépendance, veillent à ce que leurs présentateurs disent tous exactement la même chose et avec la même intonation.

Il y a aussi le chapitre terrible, multiséculaire, multimillénaire, des sacrifices d’enfants, inébranlable constance depuis moloch en passant par Gilles de Rais et Lavoisin.

Dans une vidéo similaire, mais en anglais, il y a le témoignage de Ronald Bernard, un banquier néerlandais parfait aux yeux de ses supérieurs, qui se réjouissait comme eux des vies qu’il pouvait briser en abusant de son pouvoir financier. Si satisfaits de lui, ils voulurent le faire « monter » à leur niveau en le conviant à des sacrifices d’enfants. On croirait entendre des fables du Moyen-Âge, n’est-ce pas ? Mais non, c’est l’Europe et l’Occident du XXIème siècle.

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De toute façon, l’enfant est devenu une marchandise comme une autre. On peut en commander en Ukraine avec une garantie de deux ans: remboursé si pas satisfait.

Et le meilleur est gardé pour la fin. Vous verrez, les chevaux non plus n’ont pas l’air à l’aise avec leur nouvel ordre mondial …