Monsieur le Président,
La vanité rend aveugle et sourd. Eussiez-vous un Q.I. XXXL, la vanité anéantirait les capacités de vos neurones. Mais bien sûr, vous n’êtes pas concerné. Quand on accepte le sobriquet de Jupiter, on se sent planer au-dessus du vulgum pecus, d’autant que Jupiter est le dieu romain le plus puissant du panthéon.
Mais Jupiter est aussi, à 95 %, formé de gaz. C’est dire qu’il n’a quasiment aucune consistance. Et c’est bien ce à quoi vous nous avez confrontés, en proclamant sans cesse, avec une autorité jupitérienne, tout et son contraire, ou en traitant un jour avec morgue, du bas de votre grandeur, le chef suprême des Armées de France, ou en abreuvant quasi chaque jour le peuple français, du haut de votre humilité tartufienne, de mesures indigestes et irrationnelles, jusqu’au paroxysme de l’insupportable.
Le navire France sous le contrôle de Jupiter, guidé tantôt à la voile, tantôt à la vapeur, devient un bateau qui tourne sur lui-même quand les vents sont contraires.
ENTENDEZ-VOUS, DANS NOS CAMPAGNES, LE BRUIT DES MULTIPLES MOUTONS ENRAGÉS ?
Oh oui, vous l’entendez, mais vous n’en avez cure ! Vous croyez encore et toujours pouvoir tout contrôler alors que tout vous échappe, et – on le voit- la panique commence à s’emparer de l’Elysée.
Si vous n’étiez pas Jupiter, cette usine à gaz, vous comprendriez qu’une étincelle suffit désormais pour embraser une France en colère. J’étais dans les premiers rangs des manifs de mai 68 alors que vous n’étiez même pas né, je sais comment ce pays peut sortir en un instant de son endormissement, qui n’est qu’apparent malgré les doses gargantuesques de soporifiques que ses médias lui font absorber chaque jour.
Si vous n’étiez pas jupitérien, vous auriez sans doute la décence, le bon sens et l’intelligence de descendre de votre trône, et de démissionner avant qu’il ne soit trop tard, pour laisser à ce pays une chance de respirer et de se redresser.
Je suis chrétienne, âgée, je devrais faire partie de la majorité silencieuse parce que censée être de date périmée. Mais voilà , je suis une Française en colère. En colère car vous saccagez mon pays, un pays que j’aime, tandis que vous en piétinez les racines et les valeurs, et que vous prenez le peuple français pour un troupeau de moutons bons à tondre, et qui ne sait que bêler bêtement, ou pleurnicher. Vous ne connaissez ni la France, ni les Français. Quand on les tond de trop près, jusqu’à leur arracher la peau, ils sont capables, en une minute, de se transformer en taureaux furieux qui chargent en renversant tout sur leur passage.
Monsieur le Président Macron, je le sens, je le sais, si vous persistez à vous accrocher à un trône qui ne vous appartient pas et dont vous vous êtes emparé à coup de coups fourrés, ce sont des milliers de Français qui pourraient périr dans la guerre la plus cruelle et la plus horrible qui soit : la guerre civile.
Vous avez bien piétiné l’armée : elle ne vous suivra pas, d’autant plus que vous lui avez ôté les moyens de défendre la France (vos prédécesseurs avaient déjà bien entamé cette tâche) et que vous l’avez insultée.
La police ? Elle ne vous suivra pas : elle est excédée des ordres et contre-ordres de la Gauche depuis des décennies, excédée d’être privée de moyens logistiques, excédée d’être enrayée dans ses capacités d’action par une réglementation si tordue que souvent c’est le policier qui est intervenu contre un délinquant dangereux que l’on sanctionne, tandis que le criminel est relaxé. Elle est excédée de servir de chair à canon à la racaille que vous chérissez tellement que vous en venez à la serrer dans vos bras avec des yeux enamourés quand même ses ressortissants vous font un » doigt d’honneur « .
La racaille des banlieues pour vous défendre ? Elle est passée maîtresse dans l’art de se servir de votre » humanisme » candide pour tout vous soutirer – vos prédécesseurs les ont déjà bien conditionnés.
L’immigration islamique que vous dorlotez au détriment des Français, parce qu’elle représente un électorat potentiel et une » population de remplacement » ? Elle vous considère, tout comme n’importe quel Français, comme un fétu de paille à balayer, pour pouvoir instaurer ses lois, ses coutumes barbares, sa religion moyenâgeuse, ses restrictions alimentaires, son sexisme, son racisme, sa polygamie, et tous les autres préceptes anti démocratiques de la charia et des hadiths.
Je pourrais continuer longtemps, mais je ne veux pas que cela ressemble à un réquisitoire. Je veux juste vous adresser une supplique :
Monsieur le Président Macron, par amour de la France, je vous en conjure, partez ! C’est une vieille Française qui vous parle, une vieille Française contrainte de conduire pour survivre puisqu’elle est en rase campagne et qu’il faut bien aller chercher son pain quotidiennement, une vieille Française dont le fuel dont elle se chauffe a augmenté de 40% en quelques mois, et qui subit une csg en courant ascensionnel perpétuel, tandis que sa retraite plane désespérément au-dessous du seuil de survie.
Pourtant, ce n’est pas pour moi que je suis en colère, je suis en colère pour ce que vous faites à la France, pour le seul profit d’une caste avide et méprisante, et pour la plus grande satisfaction de hordes d’envahisseurs dont une grande partie est composée de malfaisants et de terroristes.
J’ai mal à la France, SVP, PARTEZ !
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Voilà qui est bien parlé…mais qui écoutera?
N’est sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Criant de vérité. Mais il ne partira pas si facilement. Dieu l’a placé là pour ce qu’il a à faire.