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Lettre d'une sœur aux sœurs. Décryptage(2) La liberté, oui, mais jusqu’où selon Dieu ?

La liberté peut être grisante et conduire les gens sur un chemin dénué de sens. Chaque époque a défini la liberté de différentes manières mais cette liberté se doit d’avoir des racines solides et saines.

Un homme qui aime et connaît bien la terre sait que la mauvaise herbe n’a pas besoin d’être semée, ni plantée, ni entourée de soins et d’attention, elle pousse tout simplement, la plupart du temps n’importe comment, au milieu de la bonne semence.

Il lui faut donc l’arracher mais dans la parabole de notre Seigneur, la bonne et mauvaise semence peuvent croître ensemble jusqu’à la moisson. (Matthieu 13 : 28-30). Et nous savons la véritable signification des paroles de Jésus-Christ.

La liberté est aujourd’hui interprétée de bien des façons, elle ne distingue plus le bien du mal, elle s’est revêtue de laideur où tout est permis, polluant toutes les lois qu’elle touche..

« Brisez la famille, vous briserez une nation »

Je ne me souviens plus du nom de l’auteur de ces paroles que l’on pourraient qualifier de prophétiques, mais il s’avère que cette époque est celle d’aujourd’hui qui contemple la faillite de la famille, de notre pays et de l’Europe en général.

La paix, ce n’est pas l’absence de la vérité, c’est l’acceptation de la vérité.

Je le répète, le monde ne s’est pas arrêté aux portes des églises et des assemblées dites de Dieu, il a forcé les portes, tel un conquérant rusé et s’est installé doucement, sans beaucoup de résistances finalement : le mal s’y est fait une place de choix.

Effectivement comme l’avait prédit Jésus-Christ, c’est dans les dénominations chrétiennes dormantes que le diable a pu semer l’ivraie.

Sachez que l’ivraie ressemble au blé mais les grains sont noirs. Plus encore le mot même signifie en grec : zizanion qui a donné en français zizanie.

Eloquent non ?

Jésus-Christ nous prévenait donc que les messages évangéliques des derniers temps perdront de leur puissance, privés de l’Esprit Saint.

La séduction de l’adversaire s’est mise à danser dans la musique et les concerts chrétiens, dans les prêches dénués de force et de sagesse, et parlant de sujets loin de la réalité que nous vivons.

Mais sur le terrain beaucoup de mes frères et sœurs vivent des moments terribles de frustrations, d’angoisses, de confusion, parce que le chemin escarpé menant à notre Roi est semé de défis, d’épreuves et de choix devenus incompréhensibles. 

Des couples et des familles entières sont déchirés parce qu’ils ne savent plus comment vivre leur foi à l’intérieur même de leur foyer sous l’effet de la zizanie.

Notre société moderne a voulu que la femme travaille hors de sa maison. C’est devenu une nécessité lors de la première guerre mondiale quand les hommes étaient au front. Les femmes ont donc remplacé les hommes dans les usines et les champs, non par plaisir, mais par nécessité : ce sont elles qui ont fait tourner le pays.

La deuxième guerre a entraîné le même fardeau pour les femmes mais pas seulement : ce conflit mondial a laissé davantage de poids et de pertes à porter, il y eut beaucoup de veuves et d’orphelins, outre les terribles blessures laissés dans la chair et le cœur des hommes.

Mon père, lui-même revenu d’un camp de prisonniers où il a tenté deux fois de s’évader, a vu ces femmes s’épuiser à l’usine qu’il a réintégrée après la guerre. C’est là qu’il a rencontré ma mère et pris en charge son petit garçon qu’il a élevé comme son fils. 

Les dégâts ont été considérables au sein de la nation tout autant pour les foyers et c’est là, au cœur même des déchirures les plus terribles, que le Diable a semé dans ce chaos, une nouvelle graine noire de zizanie des plus surprenantes : le vote, même si ce n’est qu’une des portes qui ont été utilisées, mais les effets pervers, terme, sont réellement là.

Quand les lois sortent, c’est là que le diable prend autorité.

Ah ce vote libérateur de la femme porteur d’une liberté illusoire et surtout voulue par ceux qui servent leurs intérêts !

C’est dans la confusion d’une guerre où la victoire se faufilait à l’horizon que le Général de Gaulle le 21 Avril 1944 a autorisé le vote des femmes.

Peut-être était ce une forme de reconnaissance dans les efforts que nos anciennes avaient fournis pendant l’absence des pères, des maris, des frères, des fils…?

Ce qui est évident c’est la signification profonde et surtout spirituelle de cette loi.

Un vote divise un couple en deux personnes, or en y regardant de près avec un regard éclairé, Dieu a dit que l’homme et la femme ne faisait qu’une seule chair.

Le choix d’une idéologie politique a suscité sans doute et suscite encore de nos jours des discussions au sein d’un couple et même des divisions parfois lourdes de conséquences.

Voilà donc l’Etat de pouvoir s’immiscer davantage dans les familles, par une porte dérobée, subtile, au nom de la liberté de la femme.

Certes, cette possibilité de s’exprimer par le vote était légitime pour les femmes célibataires, mais pose souvent un problème sérieux pour les couples. Car c’est une porte de « zizanie ».

Cette porte n’allait jamais se refermer et même s’entrouvrir un peu plus au fil des années qui allaient suivre.

Ce fut sans doute en 1965 qu’une nouvelle loi allait marquer et pousser davantage le changement brutal et radical qui bouleverserait le fonctionnement définitif des foyers de la nation.

Ce « nouveau » commandement officiel fut l’autorisation des femmes à travailler sans demander l’accord du mari. L’état a marqué un point supplémentaire cette année-là, il s’est substitué au chefs de famille, volant la responsabilité de chaque homme en tant qu’époux et père.

Là encore ce n’était pas pour libérer la femme qu’ils ont autorisé cela, non, et c’est le plus grand banquier américain d’alors qui le dit, je cite ses paroles :

« C’est nous les Rockefeller qui avons financé l’émancipation de la femme. C’est la fondation de Rockefeller qui en parlait dans les journaux et la télévision et il y a deux raisons principales :

1°) Avant on ne pouvait pas taxer la moitié de la population

2°) Maintenant, on peut scolariser les enfants plus tôt, influencer leur façon de penser, ce qui brisera leur famille. Les gamins verront l’Etat, l’Ecole et les responsables comme leur famille et non plus leurs parents.

Une ruse des plus prodigieuses maniée avec la dextérité d’un magicien, c’est cette « ivraie » qui a semé une graine noire supplémentaire et elle allait croître avec abondance au fil du temps jusqu’à notre époque. (source Aaron Russo).

Un fait tout aussi marquant fut proclamé cette année là : celui de la déclaration du Pape Paul VI proclamant l’assomption du corps physique de Marie, devenant dès lors officiellement : « mère de l’Eglise Catholique ».

Quelle ironie n’est-ce pas ?

Les prémices de la confusion.

Cette liberté, qui semble avoir libéré la femme dans un premier temps, a déstabilisé l’homme. Il est vrai que la charge forcée demandée aux femmes durant les deux guerres mondiales qui se sont succédées dès le début du 20ème siècle a changé leur vision sur leur condition. Tout à coup les responsabilités domestiques sont devenues un carcan trop serré, trop étroit : elles ont voulu plus.

Citation de nouveau des instruments de l’adversaire :

« La première guerre mondiale a fait sortir la femme de sa maison, puis elle y est revenue, la deuxième l’a encore fait sortir de sa maison mais elle n’y est pas revenue »

Les femmes ont donc déserté les foyers petit à petit, confiant leurs petits à d’autres femmes appelées « nounous », puis à l’Etat qui a eu tout le loisir de mettre tout ce qu’ils voulaient dans l’esprit des enfants en les préparant à une vie d’esclavage et de consommation.

Le foyer est devenu un lieu de courant d’air où la chaleur et l’accueil se sont évanouis dans le vacarme d’appels incessants d’un nouveau monde fait d’ambitions, de carrières à mener, de rêves à accomplir à tous prix, de convoitises, … le tout sans Dieu.

Les femmes peuvent mettre une petite enveloppe dans une urne contre un « a voté », avoir son propre compte en banque, aller où elle veut sans entrave, parce qu’elle pense être libre, libre sans l’homme.

Cette liberté s’est revêtue de bien étranges couleurs à notre époque, les lois se sont succédées, des lois qui ont pris la place de la responsabilité de l’homme, en tant que chef de famille, époux et père,  et l’ont mis à genoux.

Nous revoilà devant l’arbre de la connaissance, le fruit semble si appétissant, avec ce séducteur convaincant . Mais l’homme, là encore, n’intervient pas.

Oui mais…(à suivre)

 


MAV: je sais que beaucoup vont grincer des dents et ne pas même supporter de lire cet article. Pourtant, il a de quoi faire méditer. Les femmes, après tout, ont le droit d’avoir leurs propres opinions, parfois elles sont plus sensées que leur mari ou mieux informées. Pourtant, c’est bien un sujet de « zizanie » dans les couples que le vote. J’aurais bien d’autres remarques à faire:  le travail domestique est femmes a été terriblement dévalorisé, tandis que celui des hommes exalté. Le fait de mettre au monde des enfants et de les  élever était, quand j’étais jeune,  reconnu comme une mission hautement noble, une tâche difficile demandant beaucoup de sacrifices, d’autant que les femmes avaient souvent des enfants alors qu’elles étaient encore jeunes : 20,- 25 ans, parfois 17, 18, et les familles nombreuses pullulaient. On ne songeait pas qu’on avait le droit de « s’éclater » avant de se « ranger »… Cela, c’est venu après, avec les lois sur la pilules puis sur l’avortement.

Mais mon propos n’est pas de rajouter des explications. Longtemps j’ai défendu le droit des femmes à exercer pleinement leur droit de vote au sein de la démocratie (= gouvernement du peuple).

Mais voici, mon regard change après avoir traversé les décennies qui ont suivi la seconde guerre mondial. Bien sûr que je suis d’accord sur le fait que tout est fait pour casser les familles, tout ! Il y aurait des centaines de choses à rajouter, et quantité de lois immorales et même sataniques qui se sont déversées dans nos pays, sans la moindre résistance, même pas de l’Eglise.

Je vais plus loin, maintenant. C’est la « démocratie » elle-même que l’on peut remettre en cause. On le voit, elle ne sert que de paravent à une dictature sournoise d’une élite qui se pense au-dessus des lois, qui d’ailleurs les fait, qui en sus – les langues se délient – font fi des élections, n’hésitant pas le cas échéant à truquer les résultats des élections. Ce n’est plus du tout le peuple qui est aux commandes. On dit même que le premier Pouvoir, maintenant, c’est celui des médias: des médias dont il est prouvé qu’ils sont quasiment tous corrompus, ou sous la coupe d’idéologies antisémites, antéchrist… Je pourrais en parler durant des heures, tant je vois d’abus de toute sorte, de mensonges éhontés, de manipulation.

 

Alors, c’est quoi, la solution !

Euh, j’en ai une, mais chut, c’est peut-être encore un peu prématuré, mais j’ai la conviction, bien étayée par la Bible et par les prophéties reçues: JÉSUS, Roi de France… Eh oui, je suis royaliste, mais un seul Roi peut guérir la France: Jésus !