OJY:
Je suppose que la plupart d’entre vous connaissez Dr Laurence Kayser, gynécologue à La Louvière en Belgique, une des figures de la lutte contre la coronescroquerie.
Je vous fais suivre son émouvante lettre baignée de sa lumineuse humanité.
Très brièvement, j’ajouterai que l’un de mes très mauvais souvenirs du coronacircus reste justement l’attitude de mes collègues médecins.
Je n’en comprends que mieux les termes du Dr Kayser ci-dessous.
Bien à tous !
Dr Kayser
La rumeur courait depuis des mois sur les réseaux sociaux et dans ma patientèle : je l’ai fait. J’ai quitté ce système mortifère qui nous broie lentement mais sûrement…
Ci-dessous, copie de la lettre que mes patientes devraient toutes recevoir, si le dieu des e-mails veut bien bosser, parce qu’il paraît que mon activité intensive est suspecte et dépasse les normes-hé oui, écrire à plusieurs milliers de personnes, ça fait chauffer les serveurs et bouillonner Google…
N’hésitez pas à la faire circuler ou à l’imprimer. Comme j’ose y avoir un avis qui sort du discours officiellement admis, ça pue la censure. Bonjour, ô trolls chéris. Ça va-t’y chez vous ? Grassement payés pour espionner les gens qui pensent, en 2024 ? Allez, on vous aime bien tout de même. Et après tout, faut bien bouffer. Vous n’en serez que plus gras quand votre tour viendra de vous faire dévorer. Un ogre finit toujours par manger ses enfants, vous savez. Moi, j’ai préféré pousser la sorcière au feu et filer dans les bois…
Alors, cette lettre, la voilà, en toute humanité :
Ce courrier contient des informations importantes concernant les activités futures de votre gynécologue. Je vous demande donc de le lire attentivement et jusqu’au bout.
Dr Laurence Kayser
Chère madame, chère patiente,
Une fois n’est pas coutume, les mots pour vous écrire ne viennent pas facilement. Cela fait assez longtemps que nous nous connaissons. J’ai donc choisi de vous parler en amie.
Il était une fois en 2020…
Cela aurait pu être le début d’un joli conte, ce fut celui d’un cauchemar dont nous ressentons encore les effets aujourd’hui, plus ou moins consciemment.
De la crise sanitaire, je suis sortie, comme nombre d’entre vous, traumatisée, non par la peur de mourir, car la mort ne m’effraie plus depuis longtemps, ni par l’attitude pourtant peu adéquate, des autorités gouvernementales et sanitaires, non. Mon traumatisme vint de l’attitude de mes collègues. Pour la première fois de l’histoire de l’humanité, des médecins ont refusé de soigner leurs patients. Au plus fort d’une épidémie qu’on nous prédisait gravissime, l’immense majorité des docteurs a fermé son cabinet de consultation et son cœur à la souffrance des autres pour obéir à des politiciens et des bureaucrates qui n’ont jamais soigné personne. On a laissé mourir des gens …
C’est en 1997 que j’ai prêté le serment d’Hippocrate, ce vœu sacré qui lie le médecin à son patient, lui interdisant, avant tout, de nuire. Comment mes collègues, oubliant toute prudence, ont-ils pu, sans réfléchir, adhérer, promouvoir et participer activement à une expérimentation humaine de masse aussi grave, à mes yeux, que celles qui eurent cours dans les camps de concentration quand des scientifiques nazis inoculèrent des produits et bactéries dangereuses à de malheureux prisonniers ou pratiquèrent sur eux des opérations douloureuses au nom des progrès de la science, j’ai mis du temps à le comprendre. Je vous livre ici le résultat de mes réflexions.
Nous sommes entrés depuis plusieurs décennies dans l’ère du numérique. L’intelligence artificielle fait aujourd’hui partie intégrante de nos vies. Rien d’étonnant alors à voir les jeunes médecins apprendre à l’université une médecine standardisée, protocolaire et ultra technique, basée sur les examens médicaux, des recettes toutes faites et l’uniformisation des traitements partout dans le monde. Jamais on ne leur parle de santé, mais ils connaissent la maladie sur le bout des doigts, fidèles prescripteurs de produits chimiques testés et approuvés par des autorités de santé subventionnées pour les agréer.
De praticiens de l’art de guérir, nous sommes passés à des technologues dociles biberonnés aux médicaments et à l’informatique de réseau. Il n’est d’ailleurs pas rare de voir les docteurs chercher des réponses sur Google. Mais qui a encore un médecin de famille qui sait écouter, ausculter ses patients et qui les connaît vraiment ?
Embarqués contre notre gré sur un Titanic médical, nous dérivons vers un iceberg technocratique ultra-connecté sans même comprendre le fond du problème. Pour moi, il est celui-ci : nous avons perdu notre humanité, le lien à l’autre. L’intuition est traitée comme une fantaisie, la créativité est étouffée. Et pourtant, ce sont elles qui font ce que nous sommes, elles aussi qui placent l’intelligence humaine bien au-delà de celle des robots. Nous ne serons jamais égalés par des machines, pourtant, demain, c’est elles qui vous soigneront ! Cela a déjà commencé et c’est très imprudent. Le vivant n’est ni modélisable, ni prédictible ni programmable. L’oublier est se mettre en danger.
Le peu de considération qu’ont eu depuis 2020 les médecins pour le serment d’Hippocrate indique bien leur manque de foi et d’amour pour notre merveilleux métier, mais aussi leur ignorance de la corruption du système de santé. La médecine n’est plus un sacerdoce, c’est un travail, comme un autre. Avant d’être sans doute remplacés définitivement par des machines, les docteurs feront un 8-17 honnêtement mais sans passion, apportant au passage de substantiels bénéfices aux lobbies pharmaceutiques qui les ont transformés en dealers de drogues officielles plus nocifs à leurs patients que leurs ancêtres lorsqu’ils utilisaient des plantes, mais ô combien rentables pour cette mafia qui ne vous aime jamais tant que lorsque vous consommez des médicaments.
Par conscience de ces dérives, par peur de mon formatage, par dégoût d’un tel modèle de société, pour respecter mon serment, mes valeurs, mes convictions, pour éviter de vous nuire, parce que je tiens à vous, chère patiente-amie, je quitte ce navire en perdition, ce train fou qui tente de nous broyer. Je ne nourrirai plus ce système mortifère.
En ce 1 er janvier 2024, je range ma plaque, mes ordonnances et mon diplôme. Certes, je reste médecin. Personne ne peut m’ôter ce que j’ai appris. Je garde donc toutes mes connaissances, mes près de 26 années d’expérience à vos côtés et toute ma passion. Je ne veux simplement plus jouer le rôle qu’on attend de moi : obéir, vous traiter comme des enfants, vous donner des médicaments, vous pousser à consommer des examens, vous empoisonner consciemment ou non avec des produits chimiques, vous en rendre dépendants, vous transformer en marchandise, vous déshumaniser…
En pratique
· Les temps qui nous attendent s’annoncent difficiles. Il est essentiel, dans ce contexte, de comprendre ce qui ne va pas et pourquoi afin de retrouver espoir et joie de vivre. Réfléchir ensemble à ce qui vous rend vivante, ce qui fait de vous l’être unique, la merveille de la nature que vous incarnez, trouver ce qui ré-anime votre flamme intérieure est ce qui vous permettra de tenir debout. L’écrivain que je suis propose de vous accompagner sur le chemin tout particulier de votre intériorité grâce à la magie des mots. Partons à la rencontre de vous-même en un bref récit d’enfance et visitons vos rêves avant qu’on vous les vole car ils sont votre contribution à un monde meilleur…
· Sur un plan plus somatique, j’ai toujours fait de la médecine, jamais de la magie. Je ne connais donc pas tout et je suis faillible car humaine. Néanmoins, je ferai mon maximum pour apporter éclairage et solutions face à vos soucis éventuels, l’idée étant surtout de vous aider à rester en bonne santé et plus autonome que jamais.
· Mes consultations seront donc des rencontres informatives et formatives, ayant pour but de vous permettre de comprendre votre corps, votre santé, de déjouer les pièges du système et de pouvoir l’utiliser à bon escient dans votre unique intérêt. La médecine reste un bel outil malheureusement en de mauvaises mains et pour de mauvaises raisons actuellement.
· Notre relation sera, plus encore qu’auparavant, une véritable collaboration, où votre participation active est requise. Il est faux de penser que le médecin sait mieux que vous comment vous fonctionnez et ce dont vous avez besoin. Vous êtes la personne la mieux placée pour savoir ce qui est bon pour vous. Faites-vous confiance comme j’ai confiance en vous !
· L’examen physique sera optionnel et non systématique. Il est donc tout à fait possible que nous passions simplement un moment à discuter de vous, de votre santé, de votre bien-être, des résultats d’examens demandés par d’autres praticiens, des éventuelles pathologies trouvées ainsi que des solutions à mettre en place ensemble.
· Je ne prescrirai plus de médicament ni d’examen mais discuterai avec vous et au cas par cas de l’utilité des uns et des autres. Vous pourrez ensuite agir en toute connaissance de cause pour obtenir (ou arrêter) un traitement.
· Je vous communiquerai une information claire, complète et loyale, indépendante de tout influence lobbyiste, concernant divers sujets comme les vaccins (bébés, enfants, adultes), la contraception, les traitements de la ménopause et, de manière plus générale, tout ce qui peut concerner la santé de la femme.
· Je ne ferai plus de frottis de col. La façon standardisée dont ces prélèvements sont analysés (par logiciel) comme si nous avions des cellules identiques à tous les âges de la vie et ce, quelle que soit notre santé, notre contraception, notre flore, nos vies, mène au surdiagnostic avec, comme conséquence, une hyperconsommation de traitements et de chirurgie simplement par méconnaissance du problème tant par les patientes que par leurs médecins, ce qui permet d’ailleurs aux laboratoires de s’octroyer des remboursements pour contrôle mais entraîne les femmes dans une boucle sans fin de stress et de culpabilité que je déplore. Réaliser un frottis de col une fois par trois ans reste important, bien entendu et je vous guiderai sur le moment adéquat pour le prévoir chez un collègue. Mais je serai surtout à vos côtés pour discuter des conclusions si « problème » il y a.
· Je continuerai à proposer un accompagnement informatif et soutenant des femmes enceintes et des couples durant la grossesse, avec discussion, e.a. sur les modalités et lieux potentiels d’accouchement. Toutefois, je ne ferai plus aucun accouchement ni dans ni hors hôpital.
· Comme par le passé, je mets à votre disposition la possibilité de bénéficier en consultation de la thérapie de régénérescence tissulaire par la technique Mona Lisa Touch en cas de problèmes urinaires ou intimes. Informations complètes au cabinet, prix sur devis lors de la visite préliminaire. (Plus d’informations également sur le site https://www.monalisatouch.com/fr/patients/)
· Aucune attestation de soin donné ne sera plus délivrée à partir du 1er janvier 2024 (facture sur simple demande). En conséquence, tous mes prix sont revus à la baisse, allant de 35€ minimum à 70€ maximum TTC hors laser.
· Pour des raisons de rentabilité hospitalière, je n’ai plus accès aux salles d’opération. En d’autres termes, je n’opère plus moi-même mais suis en capacité de vous confier au collègue le plus expert pour votre souci en cas de nécessité.
· Enfin, je me réserve le droit de reprendre mon rôle de médecin prescripteur à tout moment si les circonstances de la vie, l’environnement, l’OMS, une nouvelle pandémie ou une urgence d’une particulière gravité devait survenir et ce, quoi qu’il arrive, puisque je n’ai pas été déchue de mon droit d’exercer mais m’en suis retirée volontairement.
· Néanmoins, je suis pour l’heure en attente du verdict de la chambre d’appel disciplinaire de l’Ordre des Médecins, le conseil provincial m’ayant condamnée à 3 mois d’interdiction d’exercer pour avoir critiqué les soins à distance, la vaccination de masse et le masquage des enfants. Mes futures activités concernant la santé et non la médecine, je me considère comme parfaitement libre de vous proposer mon nouveau métier et ce quelle que soit la décision de cet Ordre dont je renie l’autorité. Je vous présente donc :
L’effleur’Âme
Très sincèrement, chaleureusement et
humainement vôtre,
Laurence Kayser
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