Paracha : Lors de la semaine qui suit Pessah, deux Parachot au lieu d’une sont lues, il s’agit de la Paracha Aharé Mot, « après la mort » (Lévitique/Vayikra 16.1-18.30) et de la Paracha Kedochim, « Saints vous serez » (Lévitique/Vayikra 19.1-20.27).

Toutefois la référence de ce qui va suivre est la paracha Kedochim, d’où le titre. Mille choses seraient à dire sur cette paracha d’une densité très conséquente et surtout remplie d’enseignements totalement cachés lors d’une simple lecture, mais ce n’est pas le propos ici, le propos est le lien avec ce qui va suivre.

Je dirai juste, attention à la séparation, la sainteté dans le sens de la séparation d’avec le péché, la faute, la désobéissance , la débauche, mais pas la séparation d’avec ce monde dans le sens de notre vie dans ce monde, le Seigneur Yeshoua nous le dit très clairement dans le chapitre 17 de l’Evangile de Jean, nous ne sommes pas de ce monde, mais nous devons fonctionner dans ce monde en étant envoyés dans ce monde, mais de grâce pas les gros clichés « bateau » véhiculés par la tradition ecclésiale qui ne nous mènent pas bien loin.

Préambule et avertissement

Il est important d’appréhender cette lettre un peu particulière dans l’ordre, si vous n’avez pas le temps, revenez plus tard ou ne lisez qu’une partie à la fois, mais en respectant l’ordre, c’est une construction et une construction ne commence pas par le toit. Cela va être facilité car finalement cette lettre va être scindée en deux parties, ce sera bien une et une seule lettre, mais en deux parties.

Le cœur des pensées qui suivent a été écrit en notes rapides entre le samedi 24 avril 2021 et le dimanche 25 avril 2021 pour être mis en texte ensuite. Comme pour la Paracha, ce qui suit aborde nombreux sujets de la plus haute importance, mais le but n’est pas de les développer ici, mais de donner l’impulsion, la pensée première absolument nécessaire tout de suite et maintenant.

Percevoir et vivre

Ce qui suit est clairement une étape, un point de bascule, un passage obligé, toute notre attention est requise. Je crois que ce qui suit est de la plus haute importante, comprenez le cœur du message, oui comprenez le cœur du message, car ce qui suit touche à de nombreux sujets très profonds qu’il n’est ni possible ni sage d’aborder ici, cela perdrait précisément le cœur du message. Cœur du message qui a assurément pour but d’attirer l’attention sur des choses qui vont se produire dans nos vies, oui dans nos vies à chacun et cela tout de suite et maintenant. Apprenez à percevoir c’est capital, plus comprendre et élaborer des théories en tout genre, ce temps est passé désormais, nous devons percevoir et vivre.

Alerter et prévenir sont des verbes-clés pour ce qui suit auxquels il faut ajouter : Préparez-vous, n’ayez crainte, vous allez être un peu secoués, mais n’ayez crainte, il le faut, il faut passer par cela, n’ayez crainte, vous serez en mesure de le supporter, je vous en donne ma parole, ne résistez surtout pas, laissez-vous faire, le Seigneur n’ira pas au-delà de ce que vous pouvez supporter, il ira même bien en deçà, car le but est d’attirer l’attention, ce n’est pas un jugement.

Des secousses, oui, désagréables, oui, mais la douceur et la paix royale du Seigneur seront avec vous, restez dans sa paix, restez dans sa paix, laissez-vous faire, même si vous ne comprenez pas tout de suite, vous comprendrez après, laissez le Potier façonner, oui laissez-le façonner.

Amis, allons-y les amis !

Les amis, les amis, les amis, c’est à dessein que j’emploie ce mot ami et quitte à surprendre, je dis que le mot ami va plus loin que le mot frère, le mot frère reste finalement assez impersonnel, nous nous considérons comme frères et sœurs en Yeshoua, ce qui est parfaitement juste et vrai, mais finalement cela ne débouche pas forcément sur ce que cela devrait être. Par contre ami, c’est autre chose, même si nous avons tendance à penser le contraire, oui en vérité le mot ami va beaucoup plus loin, car il s’y trouve une notion d’Alliance et une notion de sacrifice, une Alliance volontairement et totalement choisie.

Combien de frères et sœurs dans la chair de même que de frères et sœurs dans les assemblées vivent concrètement de manière très lointaine les uns des autres ? Nombreux, oui nombreux, peu importe le vocabulaire employé, peu importe. Mais l’Alliance entre David et Jonathan, c’est autre chose, oui vraiment une Alliance de vie, une Alliance de vie jusqu’à donner sa vie. Le Seigneur Yeshoua ne dit pas autre chose, il ne nous a pas appelé Ami tout de suite, mais la notion d’ami apparait ensuite de manière très évidente :

Evangile de Jean, chap.15

15:13 Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.

15:14 Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande.

15:15 Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon Père.

Retenons fermement cette notion d’ami, oui c’est cela le message, devenons des amis les uns pour les autres, véritablement, des amis cela veut dire : tout pouvoir se dire sans strictement aucun esprit de jugement, aucun, pensez à David et Jonathan, vraiment. Transparent, sans crainte d’aucune réaction négative car il n’y a pas de réaction négative entre de vrais amis, il n’y en a pas, l’Alliance des amis est sans aucune condition, je répète, sans aucune condition, comme l’amour, l’amour n’a pas de condition, sinon ce n’est pas de l’amour, en aucun cas, je répète tellement c’est important, un amour, une amitié sans strictement aucune condition, aucune, aucune, aucune. Et je vous le dis les amis, nous allons en avoir besoin, nous allons en avoir besoin de cet amour des amis sans condition.

Le Seigneur a, quant à Lui, mis une condition à son amitié (« si vous faites ce que je vous commande »), mais il est le Seigneur, entre nous, il n’y a jamais de condition, jamais.

Purification

Une purification comme jamais, même pour ceux qui ont déjà fait ce travail, car cela va aller plus loin, plus loin, à l’image des sacrificateurs et des souverains sacrificateurs de la première Alliance. J’insiste, cela concerne ceux qui ont déjà procédé à un travail de sanctification. Pour les autres, je crains hélas qu’il ne soit trop tard, donc ce qui suit concernent des disciples de Yeshoua déjà largement mis à part, ceux qui marchent avec le Seigneur, je ne m’adresse donc pas ici aux rétrogrades ou aux nombreux non sanctifiés qui fréquentent des assemblées.

Une purification en forme de cheminement, en forme de passage, nous devons passer par là, il le faut. Un autre mot m’est venu et là je vous en supplie ne voyez surtout pas ce mot comme une mode, une tendance dans le vocabulaire, hélas, plusieurs se servent de ce type de mot sans rien en comprendre, ne sachant strictement rien sur les sens profonds et cachés. Ce mot est le Tikkoun, transcrit en général par réparation, ce qui n’est pas vraiment correct, mais il n’y a pas de traduction, c’est ainsi. Nous devons maintenant entrer de manière vivante et profonde dans ce type de mot, il ne s’agit pas de faire de la traduction, de la technique et encore moins de la doctrine, il s’agit de vivre, vivre au sens profond pour entrer toujours davantage, pour percevoir ces notions qui ont été cachées jusqu’à présent, jusqu’au temps du dévoilement.

Sur quoi va porter cette purification ? Je vais vous le donner comme cela est venu, bien qu’il y ait de quoi trouver cela un peu étrange et que je ne serais pas en mesure de donner mille explications, à nouveau j’insiste par-dessus tout sur le vivre, le vivre et percevoir, alors voici les objets de notre attention.

  • L’organe de reproduction masculin
  • Le sang
  • L’impureté, la saleté

Je suis pleinement conscient que mentionné ainsi non seulement ce n’est pas très attirant il faut bien en convenir mais en plus ce n’est pas super précis pour une application concrète, mais c’est ainsi et je suis catégorique sur les objets de notre attention et ces trois objets vont faire partie de ce processus. Malgré les apparences, hommes et femmes sont concernés par les 3 objets, d’une manière différente il est vrai, mais nous sommes tous concernés.

1) L’organe de reproduction masculin

Ce point est d’une importance essentielle, notre attention, notre sanctification, doit porter à cet endroit, y compris au sens profond pas uniquement l’aspect extérieur en relation avec les péchés si fréquents et si destructeurs qui s’y produisent, cela doit maintenant aller plus loin, plus loin comme un tout, plus loin au sens profond, au sens de la transmission de la vie. Maintenant, oui maintenant cet endroit doit absolument être parfaitement pur, parfaitement. Faites attention les amis, c’est très sérieux, très sérieux.

Ici m’est venue la notion de Tikkoun, de réparation, réparation au sens profond, réparation pour être parfait, parfaitement sanctifié à cet endroit où se trouve d’une part la transmission de la vie et d’autre part un feu de péché redoutable. Je ne suis pas en mesure d’expliquer plus cette notion de Tikkoun, mais assurément la conviction de son importance demeure. Ma compréhension est que chacun doit s’examiner avec ces choses au travers de ce qui va lui arriver dans ce temps, ce temps court et profond dont je parle tout au long de cette lettre. Il faut se prendre en mains devant notre Seigneur, les amis, il faut arrêter de tout attendre des autres, des ministères, des ceci et des cela qui vont nous dire ce que nous devons faire ou non, cet état d’esprit provient essentiellement du mauvais fonctionnement des assemblées, mais c’est un autre sujet.

Selon les maitres d’Israël, lorsque les Ecritures mentionnent la Kedoucha (sainteté) de manière non spécifique, sans précision, alors la Kedoucha est en rapport avec l’impureté en matière sexuelle, ce qui est le cas lors de la première mention (sur trois) dans notre Paracha Kedochim. Partout où il y a une barrière entre l’homme et la débauche se trouve la Kedoucha, ceci sans même entrer dans les sens cachés de ce mot.

Aujourd’hui, notre Kedoucha doit être profonde, notre sanctification doit maintenant entrer dans les sens cachés et profonds pour aller au-delà de la superficialité.

2)  Le sang

C’est ici que m’est venue la notion de restitution, notamment au sens du 1/5ème qui est restitué en plus lors du vol d’un objet ou lors de la consommation par inadvertance de choses saintes sans en avoir le droit, nous trouvons cette notion de restitution avec ajout d’un cinquième dans le livre de Lévitique (Vayikra).

Plusieurs enseignements relatifs au sang se trouvent dans nos deux Parachot citées en introduction. A nouveau, je ne suis pas en mesure de conclure, je sais que ces choses doivent être dites, mais concrètement, je ne peux en dire plus, à nouveau, à chacun d’examiner.

Etonnamment, relevons qu’en vérité ces points 1) et 2) sont liés, ils sont intimement liés, absolument.

3) L’impureté, la saleté

C’est le temps pour un nettoyage profond, très profond, jusqu’aux tréfonds de nos êtres. Nous allons être surpris, il reste bien plus de saleté que nous le pensons et cela doit maintenant sortir, sortir complétement.

Comme pour tout ce qui touche ce message un peu particulier, ce travail de nettoyage sera assez intense, pas facile, mais court et dans la paix du Seigneur et comme pour les autres points le soulagement prédominera, car ce processus n’est pas un jugement, comme je le redirai plus loin.

Certains auront besoin d’aide pour cette partie du travail, ils n’arriveront pas à finaliser le travail seul. Cependant, cette aide ne sera qu’un « coup de pouce » car le travail principal doit impérativement être fait personnellement. Je reparlerai d’aide un peu plus loin dans ce message.

Pour clore ce point

A nouveau, au risque de paraitre redondant, le but de ce message n’est pas d’approfondir, mais de communiquer sur l’essentiel qui doit faire l’objet de notre attention au moment présent, nous ne sommes pas ici dans de la doctrine, mais dans la vie. Je suis conscient que dans notre culture gréco-romaine où la raison prend beaucoup trop de place, nous avons bien de la peine à lâcher le raisonnement et la compréhension intellectuelle, cependant, ici la notion de compréhension au sens classique doit impérativement être mise de côté, il s’agît d’une compréhension vécue, d’une compréhension de vie, ce qui est tout autre chose, alors, j’insiste encore sur le Percevoir et le Vivre.

Ces notions de Tikkoun, de réparation et de restitution étaient bien présentes, même si je ne suis pas actuellement en mesure d’en dire plus.

On pourrait me rétorquer que le Seigneur Yeshoua a tout accompli et payer complétement le prix de notre rachat, ce qui est parfaitement vrai bien évidemment, je ne proclame pas un nouveau Salut, ce d’autant notre sujet ne parle absolument pas du Salut, mais d’un processus de vie, ce qui est tout autre chose. Qui plus est, c’est le Seigneur qui agit dans ce processus de vie, notre part est d’observer, de ne pas résister pour être en mesure de PERCEVOIR et de VIVRE, alors oui, c’est tout autre chose.

Ce cheminement de purification sera rapide et intense, mais pourquoi ce cheminement ? quel est le but premier de ce processus ?

Nous y viendrons dans la partie 2 de cette lettre.

Fin de la partie 1

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Dans la partie 1 de cette lettre, nous avons parlé de la paracha Kedochim (saints vous serez), nous avons parlé d’un cheminement court, intense et bien particulier, nous avons parlé de l’Alliance des Amis, nous avons parlé de purification et nous avons évoqué la notion de PERCEVOIR et VIVRE. Tout cela pour arriver à la question suivante :

Ce cheminement de purification sera rapide et intense, mais pourquoi ce cheminement ? quel est le but premier de ce processus ?

Identification

Nous entrons ici dans le cœur des objets de cette lettre, l’identification, ce point est de la plus haute importance, il est un des buts du processus décrit dans la présente lettre.

Je me répète encore et encore, mais il s’agit ici d’allumer la lumière, d’entrouvrir une porte pour qu’une lueur encore méconnue soit en mesure de venir jusqu’à nous et surtout, surtout, que nous soyons en mesure de voir cette lumière et d’y donner suite par la vie, pas d’aller dans le détail, tout au moins pour le moment et encore moins de faire de la doctrine. Alors à nouveau, il y aurait mille choses à dire tant ce point est d’une importance inimaginable, mais essayons « simplement » de mettre le projecteur au bon endroit.

L’identification est l’ultime : JE SUIS, que nous trouvons dans les 4 lettres du nom divin qui ne se prononcent pas, d’ailleurs ce n’est pas un nom, personne ne connait le nom jusqu’à aujourd’hui (Ap. 19.12).

Ecoutez, écoutez, écoutez, les amis, je vous en supplie, où se trouve notre identification ?

Et là, tous en cœur, nous répondons, moi compris : En Yeshoua, bien sûr !

Oui, bien sûr, mais dans notre vie de tous les jours le « bien sûr » est-il toujours aussi évident ?

Les amis, ce n’est pas un reproche, je me parle à moi-même, je suis pleinement avec vous dans ce processus, mais franchement, au-delà du vocabulaire utilisé et de notre savoir dans ce domaine, je crois que 99% d’entre nous sont factuellement identifiés à leur vécu et à tout ce qui s’y rapporte.

YESHOUA intègre pleinement le JE SUIS en lui-même, et pour cause, il l’est lui-même, il est la Parole incarnée, notre vie, notre vraie vie cachée en Yeshoua, je sais, nous le savons, nous le disons, nous le proclamons, mais. Mais en vérité, au-delà de la théorie, nous nous identifions concrètement essentiellement à notre vécu, de très bonnes choses bien souvent, mais peu importe, le lien identitaire est avec notre vécu.

Lorsque :

  • Nous racontons avec joie que notre enfant est entré à l’université,
  • Nous racontons avec joie que notre enfant a commencé à parler,
  • Nous racontons avec joie que notre enfant pratique ceci ou cela,

Alors nous nous identifions à quelqu’un d’autre, en l’occurrence nos enfants, or la vie des autres n’est pas notre vie, même celle de nos enfants, même en relation avec des choses bonnes et bénies, non ce n’est pas notre vie. Cela même avec des choses voulues par le Seigneur, des choses très bonnes. Alors imaginons, à l’inverse de ces choses bonnes, ceux qui font la même chose en s’identifiant avec des vedettes du monde, vedettes qui d’ailleurs ne vivent même pas leurs propres vies, quelle catastrophe.

Lorsque :

  • Nous parlons de nous-même, de notre travail, de nos activités, de notre assemblée, de nos capacités physiques, intellectuelles, de notre habileté, de nos loisirs, de notre lieu de domicile, de naissance, ou mille autres « ceci ou cela »,

Alors, nous nous identifions à la forme, aux rôles, aux fonctions, à la vitrine, mais ces choses ne sont pas notre vie et encore moins notre vie cachée en Yeshoua. Là aussi, même avec de très bonnes choses le résultat est le même, ce n’est pas notre vie, ce n’est pas notre essence de vie, cela est la vitrine, cela est la forme visible, la forme extérieure, mais ce n’est pas notre vie.

Alors que dire de ceux, chrétiens compris, qui mettent leur identification dans des choses purement matérielles, telles que leur maison, leur voiture, leur moto, leurs vêtements, leur parure, ou peu importe quoi du même genre ?

Le « Oui bien sûr » de notre identification à Yeshoua n’est bien souvent pas si marqué que nous le disons ou le pensons.

Où est passé le JE SUIS dans toutes ces vitrines et fonctions ?

Allons plus loin

Lorsque :

  • Nous nous plaignons, par exemple de nos conditions de vie, de travail, concernant nos ressources financières, ou peu importe quoi,
  • Nous pensons qu’il doit arriver ceci ou cela dans notre vie dans un temps futur (si possible proche, mais toujours un futur) pour que notre vie soit mieux,

Où est notre identification ? Le Seigneur n’est-il pas suffisant ? Sommes-nous toujours identifiés à Yeshoua ? Identifiés au JE SUIS ? Le Seigneur n’est-il pas suffisant ? Ne mettons-nous pas notre confiance en lui ?

C’est l’abandon et le relâchement qui vont permettre la Vie, pas notre apitoiement sur nous-même, pas nos plaintes, c’est notre égo qui demande cette attention et réclame beaucoup de choses, pas notre vraie vie cachée. C’est ici que nous sommes ramenés aux notions de renoncement à soi-même, de nous contenter de ce que nous avons et c’est ce renoncement qui nous permet d’appréhender notre vraie vie cachée. Mais pas non plus nos bénédictions matérielles, elles ne sont pas non plus part à notre identification, ces choses vont plus loin en vérité, la vie cachée va plus loin, la vie cachée qui permet d’entrer dans des bénédictions insoupçonnées et de venir dans les œuvres préparées d’avance pour nous (Ephésiens 2.10). En un mot : venir à notre vraie vie, celle de tous les possibles, cela fait partie de la notion de « Lekh Lekha, va vers toi, va pour toi » évoquée dans le chapitre 5 des messages intitulés « Sortez du milieu d’eux ».

Allons encore plus loin

(à suivre)