» Elle est à nous la France ! « , a crié l’homme à la barbe teinte au henné, un keffieh palestinien autour du cou.
La scène s’est déroulée samedi [dernier] à Paris, lors d’une prise à partie d’Alain Finkielkraut. Rejoignant son domicile à pied, le philosophe s’était retrouvé par hasard sur le parcours de Gilets jaunes qui manifestaient. Le barbu, filmé à ses dépens, a été des plus injurieux, au milieu d’une poignée d’autres enragés.
Parmi les propos entendus : » Barre-toi, sioniste de merde ! « , » Palestine libre ! « , » grosse merde sioniste ! « , » à Tel Aviv ! « , » nous sommes le peuple, Dieu va te punir ! « , » tu es un haineux et tu vas mourir en enfer ! « , etc. Et ce fameux : » Elle est à nous la France ! « , fleurant bon l’extrême droite.
Du nanan pour tous ceux qui, Bernard-Henri Lévy en tête, dénoncent depuis trois mois l’antisémitisme fondamental des Gilets jaunes et, partant, l’illégitimité de leur révolte.
C’est également cette accusation infâmante qu’avait suggérée le ministre Gérald Darmanin, en parlant de » peste brune » à propos des manifestations du 25 novembre 2018 sur les Champs-Elysées.
Précédemment, en juin, le chef de l’Etat lui-même avait évoqué » la lèpre qui monte « , partout en Europe avec la montée du populisme. Depuis le 17 novembre, date de la première mobilisation des Français oubliés, une propagande venue des amis d’Emmanuel Macron consiste à laisser croire que les Gilets jaunes doivent être tenus pour collectivement responsables des outrances commises par des groupuscules. Le déchaînement antisémite de samedi aurait dû être là pour leur donner raison.
Mais les faits sont têtus : l’homme qui hurle : » Elle est à nous la France! » a été identifié comme un islamiste ayant évolué dans la mouvance radicale en 2014, selon Le Parisien de lundi.
Les macroniens demandent aux Gilets jaunes, avec raison, de se désolidariser de ces intrus. Toutefois, les donneurs de leçons ne font rien, eux-mêmes, pour désigner les vrais antisémites. Ils se contentent de pointer paresseusement un » fascisme » et un » néo-nazisme » devenus marginaux, s’ils existent encore.
Ces fakes news sont cautionnées par le pouvoir et le discours dominant, qui disent pourtant lutter contre les mensonges. Les désinformations ont pour conséquence de fermer les yeux sur les nouveaux antisémites, ceux qui ont agressé Finkielkraut au nom d’un antiracisme dévoyé. Ces judéophobes grenouillent majoritairement à gauche, à l’extrême gauche, chez les islamistes et leurs alliés soraliens (Alain Soral et Dieudonné).
Les coucous étaient dans la manifestation parisienne de samedi. Ils sont les » vrais fauteurs de haine » comme l’a bien dit Finkielkraut dimanche. La peste n’est pas brune mais verte et rouge.
La lèpre qui monte n’est pas chez le peuple français qui veut renaître, mais chez ceux qui veulent s’accaparer la France ( » Elle est à nous ! « , dit le salafiste) au nom d’un grand remplacement qui reste l’objectif d’une idéologie totalitaire et conquérante. Les Tartuffe sont légion chez les arbitres des élégances qui, à l’instar du PS, ont appelé mardi à manifester contre l’antisémitisme sans inviter le Rassemblement national, au prétexte que ce parti n’aurait pas rompu avec » la fachosphère » (Olivier Faure, PS, sur RTL ce matin).
Pour ma part, en dépit de ma totale et ancienne solidarité avec les Français juifs et leurs alertes répétées, je ne m’associerai pas à cette démonstration insincère. Je ne veux pas y côtoyer, en effet, les faux culs et les lâches qui n’osent nommer la source de l’antisémitisme contemporain qu’ils prétendent combattre en l’épargnant.
Publié avec l’aimable autorisation d’Ivan Rioufol pour Dreuz info
La très grave agression verbale dont a été victime Alain Finkielkraut a fait franchir un nouveau cap à la haine des Juifs (Antisémitisme/antisionisme). Elle ne se cache plus, elle s’affiche désormais à visage découvert, sans vergogne.
Seulement voilà , les islamo-gauchistes sont bien enquiquinés avec cette affaire : la crapule qui invective ignominieusement Alain Finkielkraut arbore ouvertement les stigmates de l’islamiste salafiste radical (barbe sans moustache + kéfié palestinien autour du cou). Mince alors ! C’est pas un facho d’extrême droite… Par dessus le marché, l’agression a été hyper médiatisée et ne saurait donc être contestée de quelque manière que ce soit.
Oui, la peste antisémite est bien davantage verte que brune. En voilà la preuve irréfutable. Mais sera-ce suffisant pour faire sortir les têtes des empiffrés avachis du confortable sable rose de leurs illusions ? Il n’y a de pire sourds et aveugles que ceux qui ne veulent rien entendre ni rien voir. Plus encore que l’oligarchie politico-médiatique, ce sont ceux-là (la « majorité silencieuse ») qui sont le tapis « ” vert « ” que piétinent à gogo les antisémites de tous poils.
Ce qui est arrivé à Alain Finkielkraut aurait dû mettre des millions de personnes dans la rue, pas seulement quelques milliers. Pour mettre en évidence l’infâme hypocrisie des participants de ces manifestations.
La plupart des traductions indiquent un cheval verdâtre. Le vert de l’islam !
Alors j’ai vu : et voici un cheval verdâtre ; celui qui le montait se nomme la Mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Et il leur fut donné pouvoir sur un quart de la terre pour tuer par le glaive, par la famine et par la peste, et par les fauves de la terre. (Apocalypse 6:8)
Bible Segond 21
Je regardai et je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom « la Mort », et le séjour des morts l’accompagnait. Ils reçurent le pouvoir, sur le quart de la terre, de faire mourir les hommes par l’épée, par la famine, par la peste et par les bêtes sauvages de la terre. (Apocalypse 6:8)
Bible des Peuples
Je vois alors un cheval verdâtre ; son cavalier, c’est la Mort avec, derrière elle, le Séjour des Morts. On l’autorise à exterminer un quart de la population par l’épée, la faim, l’épidémie et les bêtes de la terre. (Apocalypse 6:8)
Nouvelle Bible Segond
Alors je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom la Mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour tuer par l’épée, par la famine, par la peste et par les bêtes sauvages de la terre. (Apocalypse 6:8)
Bible du Semeur
Je vois un cheval vert pâle. Son cavalier s’appelle » la Mort « , et le monde des morts marche derrière lui. Ils reçoivent le pouvoir sur le quart de la terre. Ainsi ils vont tuer ses habitants avec l’épée, la famine, tout ce qui apporte la mort et avec les bêtes sauvages de la terre. (Apocalypse 6:8)
Traduction du Monde Nouveau
Je regardai et je vis un cheval de couleur verdâtre. Celui qui le montait se nomme la Mort, et le monde des morts le suivait. On leur donna le pouvoir sur le quart de la terre, pour faire mourir ses habitants par la guerre, la famine, les épidémies et les bêtes féroces. (Apocalypse 6:8)
Bible à la Colombe
Je regardai, et voici un cheval d’une couleur verdâtre. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la peste et par les bêtes sauvages de la terre. (Apocalypse 6:8)
Bible Chouraqui
Je vois, et voici un cheval, un vert. Celui qui est assis dessus, son nom: la mort; le Shéol le suivait. Puissance leur a été donnée sur le quart de la terre, de tuer par l’épée, par la famine, par la mort, par les bêtes de la terre. (Apocalypse 6:8)
Traduction Å’cuménique de la Bible
Et voici qu’apparut à mes yeux un cheval verdâtre; celui qui le montait, on le nomme: la Mort; et l’Hadès le suivait. Alors, on leur donna pouvoir sur le quart de la terre, pour exterminer par l’épée, par la faim, par la peste, et par les fauves de la terre. (Apocalypse 6:8)
Traduction Pirot-Clamer / Liénart
Et je vis paraître un cheval vert-jaune dont le cavalier s’appelait Mort; (l’Hadès l’accompagnait). Il leur fut donné pouvoir sur le quart de la terre pour occire par le glaive, la famine et la peste, et au moyen des bêtes sauvages. (Apocalypse 6:8)
Traduction Pirot-Clamer / Liénart