Après avoir écouté hier le témoignage de cette infirmière libérale durement persécutée au pénal par le système corrompu pour avoir édité des faux certificats de vaccination, Elodie  (https://www.youtube.com/watch?v=IZAzDZezIlU), il me semble utile de présenter le droit constitutionnel à la résistance à l’oppression.

 

Avec la Magna Carta imposée à Jean sans Terre mais aussi la tyrannie sous Cromwell en arrière-plan, le philosophe John Locke avait produit l’analyse, fort juste, au milieu d’une réflexion par ailleurs encyclopédique, que les hommes sont naturellement libres et que, partant, un souverain ne peut exercer un pouvoir qui restreint leur liberté que dans les strictes limites du droit auquel tous consentent. Aussi, si le souverain abuse de son pouvoir, il perpètre une oppression à laquelle ses concitoyens ont le droit de résister.

 

Cette idée, de bon sens, car un pouvoir qui s’affranchit du droit qui le fonde est de ce fait illégitime, s’imposa comme une telle évidence que, dès le début de la Révolution française, il fut repris à l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

 

« Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et LA RÉSISTANCE À L’OPPRESSION ».

 

Or, le préambule de la Constitution actuelle de la France dit ceci:

 

”Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, (…)”.

 

Par conséquent, dès 1958, il était déclaré au nom du peuple français dans le texte constitutionnel que celui-ci était attaché aux Droits de l’homme tels que définis par la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

 

Aussi, dans une décision célèbre du 16 juillet 1971, le Conseil constitutionnel en inféra très logiquement que les principes contenus dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen font partie eux-mêmes de la constitution française. Ils constituent ce que l’on a appelé depuis le ”bloc de constitutionnalité”.

 

https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/1971/7144DC.htm#:~:text=Le%20Conseil%20constitutionnel%2C&text=Consid%C3%A9rant%20que%20la%20loi%20d%C3%A9f%C3%A9r%C3%A9e,2.

 

Comme je l’avais expliqué dans de précédents courriels, le Pacte des Nations Unis sur les Droits civils et politiques et la Convention d’Oviedo ont une autorité supérieure aux lois en vertu de l’article 55 de la constitution.

 

Ils ont donc une autorité supérieure à la loi du 5 août 2021.

 

Une dérogation, donc une exception d’interprétation très stricte, n’était légale que si l’État apportait la triple preuve que l’obligation de vaccination des soignants, des gendarmes et des pompiers était nécessaire, efficace pour empêcher la transmission et proportionnée.

 

Or, l’aveu de Mme Small, Directrice de Pfizer, au Parlement européen à l’automne 2022 rendait manifeste qu’une telle preuve n’existait pas à l’automne 2022. Par conséquent, elle n’existait pas non plus en août 2021.

 

La conséquence est donc bien que cette loi du 5 août 2021 viole la constitution de 1958.

 

Pourtant, dans une décision du 5 août 2021, le Conseil constitutionnel, alors présidé par ce Laurent Fabius dont l’un des fils était cadre de l’entreprise McKinsey qui était celle-là même qui avait inspiré et ourdi toutes les mesures oppressives appliquées par McRignol et sa pègre, valida cette loi sans remettre en cause l’inconstitutionnalité de l’obligation vaccinale.

 

https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/2021/2021824DC.htm

 

Il faut dire que la saisine était biaisée puisque on lit au point 121: ”Les sénateurs auteurs de la quatrième saisine, qui ne contestent pas l’obligation vaccinale, font valoir que ces dispositions porteraient une atteinte manifestement excessive à la liberté personnelle d’aller et venir, à la liberté d’entreprendre et au droit à l’emploi”. Il est constant que députés et sanitaires, complices, se sont bien gardés de soulever la véritable cause de l’inconstitutionnalité, qui demeure, de cette loi, à savoir la violation abusive de textes internationaux d’autorité supra-légale.

 

Aussi, les citoyens exposés à une obligation illégale de vaccination puisque violant tant l’article 7 du Pacte des Nations Unis sur les Droits civils et politiques que des articles 5 et suivants de la Convention d’Oviedo se sont retrouvés dans la situation d’oppression que décrivait John Locke et tirait du principe contenu à l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen leur droit constitutionnel de résister à cette oppression.

 

La résistance est légale.

 

Bien sûr, vu le degré de collusion et de corruption des pouvoirs publics, d’oblitération de la séparation des pouvoirs par les complicités et les conflits d’intérêts, c’est le système tout entier qui est oppressif et, partant, illégitime.

 

En cela, l’état de la France est identique à celui qu’elle connut dans les années quarante sous le régime de Vichy.

 

Nul d’entre nous ne s’offusque que l’une des actions des résistants de l’époque fut l’édition de faux papiers et ils furent même honorés à la libération pour l’avoir fait.

 

En éditant de faux certificats de vaccination évitant à des tiers l’injection de produits expérimentaux qui n’étaient ni sûrs, ni efficaces, mais dont nous avons tous rapidement vu le caractère mortel (AVC, turbo cancers, maladies auto-immunes létales), gravement invalidant (perte de la vue, de l’ouïe, amputation de membres, paralysie) et stérilisant (troubles menstruels, perte de mobilité des spermatozoïdes), Elodie a fait acte de résistance à l’oppression comme les résistants des années quarante qui délivraient de faux papiers pour sauver des gens menacés pour leurs opinions politiques ou religieuses.

 

Naturellement, pas plus que le régime de Pétain, le régime de McRignol et toute la vaste pègre politique et juridictionnelle qui en est complice ne le reconnaîtra pas. Mais Elodie aura droit à complète réhabilitation sur base de ses droits constitutionnels lorsque cette pègre sera balayée.

 

Ils ne font d’ailleurs même pas mystère qu’ils ont agi par détournement de pouvoir. Les déclarations d’Olivier Veran à cet égard sont on ne peut plus claires.

 

https://www.brighteon.com/72defbd6-11c6-4329-ae9e-62c18fc3a6f8

 

De même, il est sidérant d’entendre Agnès Buzyn se vanter du dispositif de chantage qu’elle a mis en place

https://www.brighteon.com/5141e437-1604-43bc-8cf1-1c39fed67f48

 

pour contraindre les parents à empoisonner leurs enfants par injection de mercure (thimerosal), de sels d’aluminium et de cellules cancéreuses.

 

https://www.brighteon.com/43b9511c-1ee6-40f4-aa91-db1dac6940bc

 

Ces gens n’ont pas le moindre atome de conscience morale comme les pires pervers psychotiques.

 

J’ai dans mon entourage beaucoup de chrétiens professants qui sont perplexes à l’idée d’émettre de faux certificats, comme constituant un mensonge interdit par les commandements de Dieu (Exode 20).

 

Je veux maintenant leur soumettre, à eux, ceci.

 

Le certificat COVID ourdi par Ursula von der Leyen, dont l’un des fils travaille aussi pour la firme McKinsey, et dont le mari est un opérateur économique de l’industrie pharmaceutique, ce qui donne la mesure de l’insolence des conflits d’intérêt de cette femme https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:32021R0953 m’a empêché pendant dix-huit mois de quitter le Benelux. Je n’ai donc pas pu, pendant dix-huit mois, rendre visite à ma femme en Suède, ni aller dans ma petite maison sur la baie de Morlaix. Mes droits fondamentaux, droit au respect de la vie privée et familiale (article 8 convention européenne des Droits de l’Homme, article 7 de la Charte des Droits fondamentaux de l’UE), droit de jouir de mes propriétés (article 17 de la Charte), droit de circuler à l’intérieur de l’Union européenne (article 45 de la Charte) ont été bafoués par un règlement européen aussi illégal que la loi française du 5 août 2021, exactement pour les mêmes raisons juridiques qui figurent à l’article 52, paragraphe 1, de la Charte.

 

« Toute limitation de l’exercice des droits et libertés reconnus par la présente Charte doit être prévue par la loi et respecter le contenu essentiel desdits droits et libertés. Dans le respect du principe de proportionnalité, des limitations ne peuvent être apportées que si elles sont nécessaires et répondent effectivement à des objectifs d’intérêt général reconnus par l’Union ou au besoin de protection des droits et libertés d’autrui ».

 

Or, au vu de l’aveu de Mme Small à l’automne 2022, il est patent qu’Ursula von der Leyen n’avait aucune preuve que la « vaccination », la base de son certificat COVID, répondait effectivement à l’objectif d’intérêt général d’empêcher la transmission du virus. Son règlement était et reste donc contraire à la Charte des Droits fondamentaux de l’UE, qui a le même rang que les traités fondant l’UE eux-mêmes aux termes de l’article 6, paragraphe 1, du Traité sur l’Union européenne.

 

Toutefois, malgré ma frustration de ne pas pouvoir rendre visite à ma femme, ni de pouvoir entretenir mon jardin en Bretagne, je n’étais pas en péril de mort ou d’atteinte à mon intégrité physique, puisque je n’étais pas sous une obligation incontournable d’injection du philtre empoisonné. Je n’avais donc pas besoin d’un faux document.

 

Bien différente aurait été ma situation si j’avais été exposé à un tel péril et j’invite les chrétiens dubitatifs à bien relire cet extrait de l’Exode  (1:15-21):

 

« Le roi d’Egypte parla aussi aux sages-femmes des Hébreux, nommées l’une Schiphra, et l’autre Pua. Il leur dit: Quand vous accoucherez les femmes des Hébreux et que vous les verrez sur les sièges, si c’est un garçon, faites-le mourir; si c’est une fille, laissez-la vivre. Mais les sages-femmes craignirent Dieu, et ne firent point ce que leur avait dit le roi d’Egypte; elles laissèrent vivre les enfants. Le roi d’Egypte appela les sages-femmes, et leur dit: Pourquoi avez-vous agi ainsi, et avez-vous laissé vivre les enfants? Les sages-femmes répondirent à Pharaon: C’est que les femmes des Hébreux ne sont pas comme les Egyptiennes; elles sont vigoureuses et elles accouchent avant l’arrivée de la sage-femme. Dieu fit du bien aux sages-femmes; et le peuple multiplia et devint très nombreux. Parce que les sages-femmes avaient eu la crainte de Dieu, Dieu fit prospérer leurs maisons ».

 

Dieu approuva l’attitude des sages-femmes et donc aussi des bobards qu’elles avaient racontés à pharaon, figure aussi diabolique que McRignol, von der Leyen et toute leur criminelle pègre.

 

A cet égard, une fois de plus, je vais inviter à lire très attentivement Romains 13 et à arrêter d’en tordre le sens.

 

« Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. Ce n’est pas pour une bonne action, c’est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l’autorité? Fais-le bien, et tu auras son approbation. Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal. Il est donc nécessaire d’être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore par motif de conscience. C’est aussi pour cela que vous payez les impôts. Car les magistrats sont des ministres de Dieu entièrement appliqués à cette fonction. Rendez à tous ce qui leur est dû: l’impôt à qui vous devez l’impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l’honneur à qui vous devez l’honneur ».

 

Au verset 4, Paul parle d’un pouvoir public qui est au service de Dieu pour le bien des hommes. Comment peut-on tordre ce passage pour appeler à la soumission à des pervers qui sont au service du diable pour tuer, rendre invalides et stériles les hommes ? Comment peut-on dénaturer Romains 13 au point d’en lire un appel à l’obéissance à des Hitler et des Staline, des Kim et des Mao Tse Tung, et à toute autorité qui viole le droit qui est le seul fondement de la légitimité de son pouvoir ?

 

Arrêtez donc de « clocher des deux côtés » comme le dit le prophète Elie (1 Rois 18:21), et pas forcément par courage, d’ailleurs.

 

https://www.brighteon.com/19abf31f-9bd6-4fa1-a353-7066ce1f36d2

 

C’est à Dieu que nous devons obéir et pas à des autorités perverses, sadiques et sataniques: «Pierre et Jean leur répondirent: Jugez s’il est juste, devant Dieu, de vous obéir plutôt qu’à Dieu » (Actes 4:19) . « Tu ne tueras point » ! Ce commandement vaut aussi pour l’injection obligatoire de poisons, évidemment !!!!

 

Je vais copier ce courriel à beaucoup plus de destinataires que les autres fois vu justement la confusion terrible chez tellement de chrétiens si couchés devant les « autorités », quelque illégitimement qu’elles se conduisent, qu’ils se soumettront probablement sans ciller à l’antichrist en invoquant Romains 13 le moment venu !

 

Bien à tous.