L’avocat international Reiner Fuellmich, spécialiste de la défense des consommateurs face aux géants de la finance ou de l’industrie (Deutsch Bank, Volkswagen), a accordé une interview récente à France Soir, qui a été sous-titrée en français par VOSTFR et dont voici le lien.
Ci-dessous, je propose ma traduction des points saillants de son témoignage, réalisée à partir de la transcription de l’original anglais.
Récapitulatif des sujets abordés :
– Historique de l’implication de l’avocat Reiner Fuellmich dans les poursuites judiciaires.
– Les mensonges clés qui sont à la base de la pandémie frauduleuse.
– Les recours collectifs aux États-Unis, au Canada et en Australie.
– Poursuites pour faute professionnelle au niveau international.
– Diverses poursuites judiciaires pour des situations individuelles.
Les points saillants du message:
- Au vu du nombre de gens qui se suicident à cause des retombées de la situation , nous sommes dans une situation de Troisième Guerre mondiale, en pire.
- La crise du Covid ressemble à s’y méprendre à une réédition du scénario de la grippe porcine – mêmes personnes jouant les mêmes rôles. Le même professeur Drosten de l’Université de la Charité, le même Neil Ferguson de l’Imperial College à Londres. La même panique qu’on essaie de créer.
- Le professeur Drosten y est un acteur majeur. En fait, il n’est ni professeur ni même médecin.
- Sa “thèse” de doctorat s’est avérée être un document qu’il a concocté en juin 2020, pas du tout en 2003 ou 2002 comme il le prétend [durant ses soi-disant études de doctorat].
- Cela nous a vraiment interpellés, car si quelqu’un ment sur son cursus universitaire, la question se pose de savoir s’il dit la vérité ailleurs.
- Par exemple, dans son article de triste mémoire où il prétend avoir inventé un nouveau test PCR capable de détecter des infections.
- Ou dans son autre article, publié un peu plus tard, où il affirme que les infections asymptomatiques existent. Jusque là, il était entendu que toute personne ne présentant aucun symptôme ne pouvait pas être contagieuse, elle était donc en bonne santé. Quelle personne va consulter un médecin quand elle n’a aucun symptôme ? Or voilà que tout d’un coup, on nous affirmait qu’on avait eu tout faux, car on pouvait bel et bien être malade et asymptomatique. En d’autres termes, il fallait avoir peur de tout le monde.
- Il est évident que s’il y a un souci de crédibilité au niveau des qualifications du faux professeur Drosten, toutes ses énonciations ou préconisations s’écroulent du même coup comme un château de cartes.
- Quant aux tests PCR , que faut-il croire à leur sujet ? Comme le véritable inventeur des tests PCR, Kary Mullis, l’a répété à maintes reprises, ils ne peuvent renseigner sur les infections. Plus d’une centaine d’experts du monde entier, immunologistes, biologistes, nous l’ont aussi confirmé : le test PCR n’est pas conçu pour être un outil diagnostique, ni autorisé à être utilisé comme tel.
- Nous avons donc ici deux gros mensonges, faits en connaissance de cause puisque cet homme dit être un expert. Mensonges délibérés puisque dans un entretien il y a six ans, pendant l’épidémie de grippe MERS, qui était aussi un coronavirus, il a dit que les tests PCR étaient si sensibles qu’ils donnaient des résultats positifs pour presque tout, même chez des personnes en bonne santé.
- Si les infections asymptomatiques sont une fable, et que des outils de tests non fiables sont sciemment utilisés, il en ressort que ce n’est pas par erreur, mais le fruit d’une volonté délibérée de gonfler le nombre des cas par le biais de faux positifs.
- Quelle conclusion en tirer sinon que les enjeux n’ont rien à voir avec la santé, et tout à voir avec le contrôle, le pouvoir et l’argent ?
- Lorsqu’un grand nombre de personnes ont subi des préjudices résultant d’une même cause, un recours collectif est possible. En l’occurrence, le confinement, causé par le test PCR de Drosten. Ce dernier devra en répondre, ainsi que ses collaborateurs, notamment l’OMS, qui ont vendu ces tests PCR au monde entier.
- La première plainte que nous avons déposée est pour diffamation. Nous y représentons notre ami Wolfgang Wodarg, accusé de mensonge par des “fact checkers” pour avoir pointé l’inutilité des tests PCR. Ces “vérificateurs ” ne sont rien d’autre que des gens payés par YouTube, Twitter et Facebook pour diffamer les gens qui expriment une opinion sur le Covid et le PCR.
- Nous avons envoyé un autre dossier à Drosten lui-même, lui expliquant qu’il devait se rétracter mais que, même s’il le faisait, à ce stade sa responsabilité civile était déjà engagée pour les préjudices qu’il avait causés.
- Le plus important est, bien sûr, de lancer ces recours collectifs, aux États-Unis, au Canada, et si possible aussi en Australie. Voici comment cela fonctionne : une personne qui a subi des préjudices dans l’un de ces pays suite au confinement induit par le test PCR, peut déposer plainte contre Drosten, l’OMS ou toute autre partie qui lui a fait valoir que ce test était un outil diagnostique. Elle expliquera alors au juge qu’il y a des milliers d’autres personnes qui ont subi le même type de préjudice, et lui demandera de laisser cette affaire se poursuivre sous forme d’un recours collectif. Si le juge accepte, il publiera cette décision. Et si l’affaire est internationale, il la publiera dans tous les grands médias du monde, afin que toute personne lésée puisse se joindre au collectif. Une seule affaire sera entendue. Si elle est gagnée, tous les autres demandeurs seront réputés avoir gagné également.
- Nous coopérons avec nos confrères en Italie, en France, en Espagne, en Autriche, en Suisse, dans tous les pays dont les avocats nous ont contactés. Et ils obtiennent de nous tout ce dont ils ont besoin.
- D’autres actions vont être intentées pour faute professionnelle. Parce que nous savons que les photos de New York et Bergame, en Italie, ont été montrées dans le monde entier pour effrayer les gens, pour obtenir leur docilité sur les masques, la distanciation sociale, le confinement. Nous savons maintenant, grâce à notre réseau de médecins de New York, d’Italie ou d’ailleurs, que ces images étaient une mise en scène.
- Nous attendons qu’une date soit fixée par le tribunal ici à Berlin. Très bientôt, une plainte sera déposée aussi aux États-Unis. Et peu après, une véritable action collective sur les tests PCR intentée au Canada.
- J’aurais aimé agir plus tôt, mais il nous a fallu un certain temps pour comprendre ce qui se passait. On ne peut pas aller au tribunal sans avoir une vue d’ensemble. Nous l’avons maintenant et nous savons que cette pandémie est en fait une mise en scène qui n’a rien à voir avec la santé publique. C’est une question d’argent, de pouvoir et de contrôle des peuples.
- Notre priorité dans l’immédiat est de saisir l’Agence européenne des médicaments responsable de l’approbation des vaccins afin de l’en empêcher, parce que nous savons qu’ils sont extrêmement dangereux. Ce ne sont pas des vaccins mais de l’ingénierie génétique.
- En Allemagne, il y a environ 30% des gens qui sont complètement d’accord avec le gouvernement et qui, s’ils le pouvaient, porteraient probablement trois, quatre ou cinq masques les uns sur les autres. Mais 20% pensent que quelque chose ne va pas du tout, 50% commencent à se poser de plus en plus de questions, et au moins 90% des gens ne veulent pas être vaccinés.
- Nous sommes un grand groupe d’avocats et nous nous répartissons la tâche. Certains d’entre nous vont se diriger vers les tribunaux administratifs, d’autres vont travailler sur les affaires de responsabilité délictuelle civile – ma spécialité – et d’autres vont s’occuper du pénal.
- De plus en plus de médecins sortent de l’ombre et s’adressent à nous, à notre Commission Corona, par le biais de notre outil de signalement. Ça commence à chauffer…
Source: MPI
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