Fin janvier 2022, des médecins militaires américains jettent un pavé dans la mare. Sous le statut protégé de « lanceurs d’alerte », et représentés par leurs avocats, ils rendent publics des chiffres effarants, issus d’une base de données médicale de l’armée américaine.
Ces chiffres montrent une explosion inouïe des maladies et accidents médicaux chez les soldats américains en 2021[1] – l’année de la vaccination de masse.
Par rapport à la moyenne 2016-2020, ils constatent en 2021 des augmentations :
- De près 300 % du nombre de cancers ;
- De 270 % du nombre d’infarctus du myocarde (et de 470 % d’embolies pulmonaires) ;
- De 470 % du nombre d’infertilités féminines ;
- Etc.
Pour les problèmes neurologiques, l’augmentation est de près de 1 000 %, comme on le voit dans le graphique ci-dessous :
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Graphique montrant une augmentation considérable du nombre de maladies neurologiques en 2021 – données issues du ministère de la Défense des États-Unis
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L’une des lanceuses d’alerte, le médecin militaire Theresa Long, a même confié au Dr Pierre Kory qu’en 2021, 88 soldats de Fort Bragg, une grande base militaire américaine, avaient été retrouvés morts dans leur lit – essentiellement des hommes relativement jeunes et en bonne santé[2] ! Si tout ceci est confirmé, ce serait une des preuves les plus tangibles de la catastrophe sanitaire causée par les vaccins anti-Covid chez les 18-65 ans (ils ont été déployés à partir de début 2021 et rendus obligatoires dans l’armée américaine en août 2021). Évidemment, les autorités américaines se sont empressées d’essayer d’étouffer le scandale : elles ont tranquillement déclaré que ces données étaient dues à un « bug informatique »[3], qui aurait sous-estimé les chiffres de 2016 à 2020. Le problème de cette « excuse » est que certains diagnostics n’ont pas augmenté en 2021 dans les chiffres originaux : par exemple, on trouve autant de maladies de Lyme en 2021 que les années précédentes. Pourquoi le « bug » aurait-il concerné certains diagnostics et pas d’autres ? Et pourquoi les diagnostics qui ont explosé en 2021 correspondent-ils « étrangement » aux effets indésirables graves fréquemment dénoncés des vaccins anti-Covid (cancers, problèmes cardiaques, maladies neurologiques…) ? Au total, même si l’exactitude des chiffres reste encore à confirmer, il est évident qu’il y a dans cette affaire un scandale sanitaire en puissance[4]. Si les trois médecins lanceurs d’alerte ont sacrifié leur carrière pour dévoiler ces chiffres effarants au grand public, c’est parce que ces chiffres étaient cohérents avec ce qu’ils voyaient sur le terrain[5] : ils ont observé quantité de problèmes graves de santé chez les soldats, liés aux vaccins Covid. Ces dégâts graves sont d’autant plus crédibles qu’ils sont confirmés par une autre source de données : celle des effets indésirables des vaccins (VAERS). En effet, la biostatisticienne Jessica Rose a trouvé en 2021 une augmentation de 4133 % (!!) du nombre de morts rapportées à la pharmacovigilance vaccinale, au sein des hôpitaux militaires américains[6]. Tout ceci est extrêmement inquiétant pour tous ceux qui ont reçu les vaccins Covid. Mais en plus du scandale sanitaire, il y a un mystère à expliquer : c’est le comportement de l’armée américaine. Si les vaccins anti-Covid ont provoqué autant de dégâts parmi les soldats américains, pourquoi les dirigeants de l’armée n’ont-ils rien dit ? Pourquoi, au contraire, l’armée est-elle en train, aujourd’hui même, de « virer », sans ménagement, les soldats qui ne sont pas vaccinés[7] ? Pourquoi se priver de jeunes soldats qui ne risquent rien de la Covid, pour un vaccin dont tout le monde a pu constater qu’il ne freine en rien l’épidémie ? Cela n’a aucun sens, sauf si… …sauf si on réalise que les grandes armées, elles aussi, ont versé dans la religion du dieu Vaccin, et se font désormais un devoir d’entretenir le culte. Ce pourrait être lié, vous allez le voir, à la prolifération massive des armes biologiques. C’est une histoire passionnante, dramatique… mais soigneusement dissimulée et donc mal connue, pour des raisons évidentes de « secret défense ». Voici ce que j’ai découvert – préparez-vous à être « décoiffé ». De la seconde guerre mondiale aux années 1970, le premier âge d’or des armes biologiques C’est la Seconde Guerre mondiale qui a lancé l’avènement des armes biologiques. Le Japon a été l’un des grands précurseurs de l’horreur, avec leur unité 731, une base de recherches biologiques tenue secrète, qui a tué des milliers de cobayes humains, notamment pour créer une arme biologique liée au bacille de la peste. En 1944, cette unité avait même préparé un plan, l’opération Cerisiers en fleurs dans la nuit, visant à asperger la côte ouest des États-Unis d’insectes porteurs de la peste. Les Alliés, de leur côté, avaient aussi un programme de recherche et de production d’armes biologiques : ils avaient notamment installé un laboratoire ultra-secret au Canada « pour fabriquer une arme biologique de destruction massive », à savoir des bombes à anthrax[8] – dont 5 000 seront effectivement envoyées en Angleterre. Il y avait aussi un volet défensif à ces recherches : en perspective du débarquement de 1944, l’armée américaine avait fabriqué 1 million de doses d’un vaccin contre la toxine botulique, craignant que les Allemands n’utilisent cette bactérie comme arme biologique. Au sortir de la guerre , la course aux armes biologiques s’est accélérée, en particulier chez les deux grands vainqueurs qu’étaient les États-Unis et l’URSS. On ne sait pas grand-chose des recherches américaines, à part que les généraux américains ne se cachaient pas de travailler sur des armes biologiques (et on soupçonne fortement la maladie de Lyme d’être née de la fuite d’un laboratoire militaire d’une bactérie de tique manipulée artificiellement[9]). En France aussi, il y a eu des recherches sur les armes biologiques, avec notamment la confection « d’un programme d’incapacitants à base d’entérotoxine staphylococcique et de Brucella arbotus »[10]. Quant à l’URSS, elle était à la pointe des travaux sur les armes biologiques, avec de nombreux laboratoires spécialisés. L’URSS a notamment travaillé sur la toxine botulique, très étudiée, car une dose infinitésimale de cette toxine peut suffire à paralyser ou à tuer. Dans une interview donnée à Moscou News en 2007, le Dr Bursov, qui a travaillé avec Béria sur les armes biologiques et la toxine botulique en particulier dans les années 1950-1960, a ainsi fait cette déclaration absolument sidérante : « Nous avons décidé de vacciner la population soviétique contre la toxine botulique. Mais comment faire ? Après tout, cela susciterait des questions du reste du monde : pourquoi vaccine-t-on subitement en URSS ? Nous avons alors inclus les composants de ce nouveau vaccin dans le vaccin usuel contre la polio… et nous avons vacciné tout le monde de telle manière que personne n’en sache rien, en URSS ou à l’étranger »[11]. (Malgré mes recherches, je n’ai pas réussi à recouper cette information explosive, j’aurais vraiment aimé trouver une autre source pour la confirmer, mais l’interview semble authentique.) Dans son rapport de 2003 sur les nouvelles menaces, le Pr Didier Raoult rapportait cet autre « incident » révélateur, qui s’est produit en 1971 : « Quelques cas de variole sont survenus chez les croisiéristes en déplacement sur la mer d’Aral, en face d’un laboratoire militaire russe. Ces cas de varioles étaient extrêmement graves, hémorragiques (…), sans que les patients aient eu des contacts directs avec un sujet varioleux. Ceci laisse penser qu’ils ont été victimes d’un aérosol émanant du laboratoire militaire en question et que ce virus varioleux était particulièrement virulent. »[12] Heureusement, l’Occident et l’URSS ont signé en 1972 un traité de non-prolifération des armes biologiques. C’est la fin « officielle » de la course aux armements biologiques. Depuis 1972, les armes biologiques sont théoriquement interdites… mais les grandes armées n’y ont JAMAIS renoncé Dans les faits, la recherche ne s’est jamais arrêtée… elle s’est simplement faite plus discrète. On sait que les Soviétiques ont continué de travailler sur les bacilles de charbon (anthrax) après la signature du traité – la preuve avec des centaines de morts en 1979 dans une ville qui comprenait un laboratoire militaire, et le bacille du charbon retrouvé dans les autopsies. Vous voyez le problème qui se pose pour n’importe quelle Et c’est encore la même chose aujourd’hui, vis-à-vis des Russes ou des Chinois – ou même de l’Iran ou la Corée du Nord. Rien ne peut garantir que ces nations ne soient pas en en train de concocter secrètement des armes biologiques dévastatrices. Ce risque est considéré comme un enjeu militaire majeur, comme le montre un document interne au Pentagone signé Robert Kadlec, « monsieur Biosécurité de l’armée américaine » datant de 1998 : « Les armes biologiques, sous le couvert d’une maladie endémique ou naturelle, offrent à l’agresseur la possibilité d’un déni plausible. Le potentiel de guerre biologique à créer des pertes économiques importantes et l’instabilité politique qui en découle, associé à la possibilité d’un déni plausible, dépasse les possibilités de toute arme humaine »[13]. Les États-Unis, comme toutes les grandes armées, ne peuvent que se sentir obligés de se maintenir à la pointe de la recherche scientifique sur les armes biologiques, pour anticiper ce que des puissances adverses pourraient mettre au point. La Chine a d’ailleurs reconnu en 1994 qu’elle avait des unités de recherche « anti-armes biologiques » (mais elle a nié avoir des programmes de recherche offensifs)[14]. Ce genre de recherches défensives, et très probablement offensives également, se poursuit dans le monde entier. Il y a quelques semaines, la n°3 du département d’État américain a reconnu l’existence de laboratoires biologiques en Ukraine. Dans la foulée, l’Organisation mondiale de la santé a demandé la destruction des éventuels « agents pathogènes dangereux » stockés dans ces laboratoires. À quoi servaient réellement ces laboratoires biologiques ukrainiens ? Un journaliste américain a révélé qu’une source fiable lui avait confirmé que ces laboratoires ukrainiens visaient au moins en partie à faire des recherches d’armes biologiques, pour le compte des États-Unis[15]. Bref, la recherche sur les armes biologiques ne s’est jamais arrêtée. Le Sars-Cov-2 lui-même est probablement une arme biologique ! Quand ces recherches ne sont pas tenues secrètes, elles apparaissent sous le couvert de recherches à visée « scientifique ». C’est le cas en particulier des recherches biologiques de « gain de fonction », qui consistent à rendre artificiellement un pathogène plus contagieux ou plus virulent. Voici un exemple choquant de ce genre de travaux : des chercheurs du laboratoire chinois de Wuhan et de l’Université américaine de Caroline du Nord ont annoncé en 2015 avoir créé un virus « chimérique » à partir du coronavirus du Sars, pour le rendre plus infectieux[16]. Cela paraît fou, mais le but « officiel » de cette opération était d’anticiper la prochaine épidémie, en examinant dans quelle condition un virus de chauve-souris peut devenir plus dangereux. Quand vous y réfléchissez une seconde, cet objectif paraît franchement absurde. On ne voit pas comment ce genre de manipulations dangereuses pourrait empêcher la moindre épidémie « naturelle »… et au contraire, on voit bien qu’elles risquent de créer une pandémie artificielle, via une fuite du laboratoire[17]. Voilà pourquoi il paraît aujourd’hui évident que les recherches de « gain de fonction » ont vraisemblablement aussi un but militaire (de même que les recherches nucléaires civiles de certains États ont parfois un but militaire inavoué). Il est d’ailleurs très probable que le Sars-Cov-2, le virus responsable de l’épidémie de Covid-19, ait été créé en laboratoire dans le but de faire une arme biologique. C’était la thèse initiale d’une lanceuse d’alerte chinoise, virologue à Hong Kong en 2020 (réfugiée aux États-Unis depuis)[18]. Dans la foulée, de nombreux experts ont défendu la même idée[19][20]. Il faut dire qu’un document datant de 2015, signé par 18 scientifiques militaires chinois, expliquait que la famille des coronavirus « peut être manipulée artificiellement pour créer une nouvelle maladie humaine, utilisée ensuite comme une arme »[21]. Le regretté Pr Montagnier préférait penser que ce virus avait été créé dans le but de mettre au point un vaccin contre le Sida, mais vu les caractéristiques de ce virus, créé pour être le plus infectieux possible pour l’homme, la piste militaire paraît plus probable. En tout état de cause, il est clair que nous sommes dans un monde où les armes biologiques ne sont pas seulement une éventualité, mais une menace militaire sérieuse. Et dans ce cadre, la vaccination devient donc un enjeu de sécurité nationale, avec tout ce que cela implique ! Je vous expliquerai cela en détail dans ma prochaine lettre, à ne pas manquer. Je vous parlerai des vaccins contre l’anthrax et la variole, imposés par l’armée américaine à ses soldats jusque dans les années 2000. Je vous raconterai comment l’opération américaine visant à créer les vaccins anti-Covid a été largement supervisée par le département de la Défense… et ce que cela signifie. Je vous parlerai aussi des relations secrètes qu’entretiennent les États, leur armée et Big Pharma. Bref, restez connecté : tout ceci est un élément méconnu, mais certainement aussi important de la propagande vaccinale. Bonne santé, Xavier Bazin Sources : Rendez-vous ici pour voir les sources |
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