Galates 2.20, « …et ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ, qui vit en moi… ».
A – Si nous voulons être sincères et honnêtes avec nous-mêmes, nous pouvons constater que notre « moi » ou notre vieille nature prend encore une bien trop grande place dans notre vie…
C’est souvent notre vieille nature qui s’oblige de vivre une bonne vie chrétienne, c’est notre « moi » qui est ainsi à la manœuvre, ainsi « c’est nous » qui voulons servir Jésus…
Mon moi, encore lui, « moi » va se fâcher, jalouser, tricher, tromper, refuser de pardonner, éprouver de la rancune, critiquer, s’inquiéter, etc.
Oui nous avons besoin de mourir à nous-mêmes, ou nous devrions dire nous avons besoin d’être brisés…pour pouvoir mourir à nous-mêmes.
Dieu ne peut pas faire grand-chose dans ma vie tant que j’en tiens les rênes. Lorsque je vois que le Fruit de l’Esprit est si merveilleux, je veux le porter… et par erreur je vais m’efforcer de le produire. Chose impossible à ma vieille nature. Si je veux que ce Fruit soit le fruit dans ma vie, je me dois de mourir à moi-même pour que l’Esprit puisse vivre en moi à ma place.
B – Comment la plénitude de Jésus peut-elle me combler, intervenir dans ma vie et pour ma vie ? C’est possible si je laisse Jésus régner sur mes pensées, mes désirs sur ma propre vie ?
Comment puis-je bénéficier de cette plénitude de vie que Jésus promet, si je défends ma position, si je défends mes droits, que je ne renonce pas à moi-même. Alors que je devrais laisser à Jésus toute la maîtrise de ma vie et la maîtrise des événements qui m’entourent ? Renoncer à mes droits, c’est laisser Jésus s’occuper de la situation.
Je me dois de me conformer strictement à la Bible parole de Dieu, et cela me conduit à renoncer à mes désirs naturels ou charnels.
Chaque vexation, chaque rejet ou humiliation que je suis conduit à endurer est un moyen que Dieu utilise pour me « briser ». Même si aux yeux des autres je parais être faible, c’est afin de pouvoir faire couler d’avantage la vie de Christ en moi, afin d’être fort en lui et par lui. Je vais pouvoir dire comme l’apôtre Paul dans 2 Corinthiens 12.10, »…quand je suis faible c’est alors que je suis fort… ».
C – Jésus, renonçant à sa position, à sa gloire a été brisé pour nous, il est mort pour nous. Il a renoncé à tout, et selon Philippiens 2.5-8, il a vraiment été loin pour nous.
Par exemple le sermon sur la montagne avec ses enseignements de non vengeance, d’amour désintéressé, nous montre notre véritable position. Nous pouvons prier « O Seigneur, viens et brise-moi. Que je puisse vivre pleinement ce texte dans ma vie de tous les jours. Aide-moi à me courber et mourir à moi-même, comme tu l’as fait à Golgotha »…
Cette « position de mort » avec lui, n’est pas acquise une fois pour toute, il faut à chaque instant revivre des nouveaux brisements dans les nouveaux choix que la vie nous offre. Mais c’est de cette façon que le Seigneur Jésus peut se révéler en nous et à travers nous.
Si notre vie reste centrée sur nous-mêmes c’est-à -dire aux antipodes de celle de Jésus, nous ne pourrons jamais être remplis de SA VIE. La seule condition pour être rempli de sa vie c’est d’accepter que Dieu fasse en permanence mourir la nôtre. C’est notre choix.
L’Esprit de Jésus, Jésus, nous donnera les instructions (nous rappellera la Parole de Dieu) pour savoir quoi faire à quel moment. Pourvu qu’on l’écoute Lui, qu’on Lui obéisse, et non pas à la chair. C’est de la là que vient la douleur; car la chair tire et l’Esprit de Jésus tire aussi.
Accepter, consentir à se laisser tirer par Jésus notre Maître digne de confiance, tout en supportant la douleur de la chair (amie du monde) qui insiste encore mais qui finira tôt ou tard par lâcher prise, par être étouffée par la puissance de Jésus. Accepter ça, c’est mourir…pour vivre la vie de Jésus (Qu’il faut aimer fortement de tout son cœur, de toute sa pensée).
Romains 12: 1-2
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait [aux yeux de Dieu].
Romains 6:12
Que le péché ne règne donc point dans votre corps mortel, et n’obéissez pas à ses convoitises.
Romains 6: 14
Car le péché n’aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce. [Sous le couvert, dans les bras de Jésus]
Que reste-t-il?
Croire, et « concentrer » son amour et son intérêt sur Jésus (qui nous a aimé le premier).
Tout Lui dire (priez sans cesse), le remercier pour tout, pour Lui (abondez en actions de grâce).
Remplacer moi, moi, moi, par Lui, Lui, Lui (pas avec la bouche seulement) pour pouvoir porter sa croix (mourir pour vivre).
Jean 15: 15
Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire [de bon, que Dieu considère]
ROM6.2 Nous qui sommes morts au péché, comment vivrons-nous encore dans le péché?
ROM6.6 Notre vieil homme a été crucifié AVEC lui, pour que le corps de péché soit détruit et que nous ne soyons plus esclave de la chair.
Nous avons été crucifiés AVEC lui, nous sommes morts AVEC lui;
ROM 6.7 celui qui est mort est libre du péché.
En effet, nous avons été enseveli avec Christ par les eaux du baptême, et nous sommes morts avec lui à la malédiction du péché. On sait que celui qui est pendu au bois était maudit, et GAL3.13 Jésus étant fait malédiction pour que nous soyons tous un en lui à la Croix. Nous somme bien morts avec lui, à cette malédiction.
La chair en nous se réveille lorsqu’on marche selon l’évangile, et Paul demande de marcher selon la foi d’Abraham (et non d’Abram), celle qui appelle les choses qui ne sont pas comme si elles étaient. Nous sommes morts avec Christ au péché mais la chair se manifeste et veut s’imposer quand nous obéissons à l’Évangile. Regardons nous donc comme morts au péché, selon le genre de foi d’Abraham.
Soyez bénis
Soeur Béatrice, ce que tu dis est édifiant. Je trouve aussi qu’il est certes vrai que « Il vous rappellera tout ce que je vous ai dit » peut s’appliquer à nous. Le Seigneur agit des fois. Et l’être humain a aussi une mémoire qui, à force de travailler, nous rappelle des choses qu’on a comprises. Peut-on vraiment affirmer que cette phrase du Seigneur aux apôtres parle des mêmes grâces du Saint-Esprit que nous qui commençons la marche?
Je trouve un peu mystérieuse cette parole du Seigneur car les apôtres n’étaient pas dans les mêmes conditions que nous. Selon ce que le Seigneur m’a amené à comprendre, si je ne m’égare pas, cette phrase explique en effet un miracle, un peu comme les guérisons et autre prodige. On peut le voir dans le contexte. Il s’est passé une chose avec une image similaire dans Exode.
Le Seigneur a donné une formation qu’on qualifierait aujourd’hui intensive. Pendant ces 3 ans et demi, il a enseigné les apôtres tous les jours. Peu avant sa mort, le Seigneur dans son langage nous embrouille un peu. Il parle des choses qui vont arriver à la résurrection et des choses qui vont arriver à la pentecôte, comme si il s’agissait du même événement. Il faut peut-être lire Jean 14 à 16, 50 fois, à tête reposé pour que le voile commence à se dégager.
Par rapport à la pentecôte il dit Jean 14.26: le consolateur vous rappellera tout ce que je vous ai dit:
Par rapport à la résurrection il dit: Jean16.25. L’heure vient où je vous parlerai ouvertement.
En effet, lorsque Jésus est né de Marie, il était dans ce monde inférieur aux anges (He 1.7), lui même s’appelant Fils de l’homme. Mais, après la résurrection, il a hérité un nom plus excellent que les anges et il a été déclaré F.D (Fils de Dieu) avec puissance selon l’Esprit de Sainteté (ROM 1.4, HE 1.5).
Maintenant, lorsque Dieu a de nouveau introduit Jésus dans le monde, il n’est plus venu en tant qu’être inférieur aux anges, ou être humain, mais il est venu en tant que le F.D, un être divin (sous une apparence humaine) supérieur aux anges et Dieu dit: que les anges de Dieu l’adorent.(HE 1.6)
Ainsi, celui qui est venu se présenter devant les apôtres après la résurrection était la même personne, mais avec une gloire très grande.
Le Fils de Dieu (Dieu) vient à la résurrection pour parler ouvertement à ses apôtres. La croix étant accompli, il pouvait enfin leur révéler les vraies choses.
ACT 1.4 Pendant 40 jours il leur a enseigné le Royaume de Dieu, l’évangile, qu’ils devaient aller enseigner au peuple: la chute de l’homme, le péché d’Adam, la mort de jésus, le baptême en son nom, la notion du sang de Jésus, la doctrine des baptêmes,… bref tout ce qui a trait à la nouvelle alliance. Mais les apôtres n’en parlent pas dans leur écrit. Ils court-circuitent l’instant entre la résurrection et l’ascension de Jésus.
Ces 40 jours entre la venue de Dieu sur terre à la résurrection et son ascension sont un mystère car un schéma similaire a déjà été produit dans l’ancien testament.
C’est ici que se trouve une image car de même que Dieu est descendu avec une gloire visible sur la montagne sainte et a enseigné à Moise, pendant 40 jours, la loi qu’il devait aller enseigner au peuple, de même aussi le Fils de Dieu (Dieu) est venu à la résurrection et a pris une forme humaine (avec une gloire invisible) pour enseigner pendant 40 jours aux apôtres l’évangile de la nouvelle alliance!!
Est ce vraiment une coincidence? Dieu sait comment enseigner aux hommes pour qu’ils comprennent. S’il faut encore attendre que l’Esprit vienne réveiller tous ces enseignements, ça se rapproche plus d’un miracle, quand on voit le contexte.
Ainsi, Dieu s’est assuré que les apôtres aient tout ce qu’il faut pour bâtir l’Église. Pour conclure, je pense que l’être humain a une mémoire et peut se rappeler de certaines choses. Peu avant la pentecôte les apôtres pouvaient bien enseigner l’évangile, mais il ont dû attendre que le Saint-Esprit vienne leur rappeler tous les enseignements de Jésus pendant ses 3.5 ans en tant que être humain, et pendant ces 40 jours en tant que Dieu. Selon moi, ca ressemble plus à un miracle qu’à un simple rappel.
Que le Seigneur vous bénisse!
C’est très intéressant, et cela demande effectivement réflexion
Quand le Seigneur dit aux apôtres (qui ne sont plus là , mais nous) que le consolateur leur rappellera toutes choses, consolateur que nous avons aussi, il parle aussi pour nous dans le sens où on l’entend.
« Mais le consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit » (Jean 14: 26).
Rappeler, enseigner, consoler, en somme nous AIDER, c’est le propre même du Saint Esprit, quelle que soit l’époque ou les circonstances. Ceci, de telle sorte que l’on ne peut RIEN faire sans LUI; car cet Esprit Saint, c’est JESUS CHRIST lui-même notre Maître qui vit en nous.
Ce que vous avez dit au sujet des apôtres et de l’enseignement qu’il ont reçu est très bon à savoir, mais ce n’est pas vraiment le propos. L’Esprit lui, continue à faire le même travail qu’il a fait dès le début, et en nous même et plus précisément dans notre mémoire. Il y a des choses ponctuelles que le Seigneur dit et qui ne concernent que les apôtres (comme lorsqu’il il leur demande d’attendre à Jérusalem que le consolateur leur soit envoyé…, où encore lorsqu’il les nomme : « vous, les douze »).
Ce qui concerne l’Esprit de Dieu par contre nous concerne aussi, nous les vivants encore sur cette terre.
Il est bien vrai que l’être humain a une mémoire pour se rappeler de certaines choses. C’est justement par cette mémoire que passe le Seigneur pour produire le rappel. Il ne peut pas passer par un pied pour produire un rappel. C’est dans la mémoire (esprit humain) que SE LOGENT les enseignements que l’on reçoit (ce sont des semences dont nous avons absolument besoin, autrement comment se rappeler?) et c’est là aussi que SE LOGENT les RAPPELS que donnent du Seigneur. A contrario le rappel ne peut pas se loger dans le ventre ou dans le pied…
La mémoire seule ne peut rien, si elle pouvait quelque chose l’enseignement suffirait, il n’y aurait pas eu besoin de baptême du Saint Esprit (baptême que tous ceux qui sont nés de nouveau ont déjà reçu), c’est-à -dire qu’il n’y aurait pas eu besoin que DIEU NOUS DONNE UN CONSOLATEUR. C’est pour vous dire à quel point nous sommes limités en tant qu’homme: non seulement il a fallu qu’il nous donne un enseignement (prédication de l’Evangile, la Parole), mais il faut aussi qu’il vienne lui-même s’installer en nous, pour rappeler cet enseignement, pour LUI DONNER VIE. Quand le Saint Esprit rappelle (en passant par la mémoire), il donne vie à ce que nous avons entendu, lu. Sans cette vie, ce n’est que « règles sur règles », « préceptes sur préceptes ».
Je me suis déjà rappelé par l’effet de ma seule propre mémoire (je perçois la différence lorsque ce n’est pas de moi-même que je me rappelle…) et par mes propres efforts, des choses que le Seigneur m’a dite dans la Parole, mais cela ne m’a pas empêché d’agir à l’encontre de ce dont je m’étais rappelé. Je n’avais pas de force pour obéir, ou plutôt je n’avais que mes propres faibles forces. ça ne m’a servi à rien, et ça m’est arrivé plusieurs fois, et ça n’est arrivé que lorsque je n’avais plus la vie de l’Esprit de mon Seigneur Jésus…comme un lumignon qui fume, quelqu’un qui boite.
La preuve que la simple mémoire ne peut pas nous aider, mais l’Esprit qui agit sur la mémoire et sur la pensée, c’est que l’on peut passer des heures à lire la parole (la lecture, un rappel ponctuel) sans rien voir, rien comprendre. Et quelqu’un qui a péché par l’Esprit, et que l’Esprit a quitté, il aura beau être enfermé dans une chambre avec tous les versets bibliques collés sur les murs, il mourra quand même…il ne lui reste que la chair, il ne lui reste qu’à marcher par la chair pour le restant de ses jours, et il mourra (« Si vous vivez par la chair, vous mourrez », « celui qui n’a pas l’Esprit de Christ NE LUI APPARTIENT PAS »).
Tout ceci pour dire quoi? Tout ceci pour ramener qui le veut à l’essentiel, c’est qu’il nous faut toujours recourir au Seigneur Jésus PAR LA FOI (puisqu’on ne le voit pas de nos propres yeux!), espérer en lui, espérer en son aide CONSTANTE, et l’appeler au secours (« aide-moi, Jésus ») quand il y a alarme (comme quand la barque tanguait et que les disciples ont crié à l’aide; ou comme l’homme qui a dit « je crois, viens au secours de mon incrédulité! »…il faut être honnête avec Lui, le lui dire quand on ne croit pas, c’est une façon de croire).
Et lorsqu’il nous dit: « la connaissance enfle, mais la charité édifie », ce n’est pas que la connaissance soit mauvaise en soi (plusieurs passages bibliques louent la connaissance), mais ça veut dire que la connaissance par elle-même et pour elle-même, elle tue, elle mène à la mort car elle manifestera la chair (ex. la religiosité, le retour à la loi).
Comment donc faire? Quelle est notre solution?
C’est celle-ci: « la charité édifie » et c’est ce que j’ai essayé d’exprimer plus haut, c’est-à -dire CONCENTRER TOUT SON AMOUR ET SON INTÉRÊT SUR JÉSUS.
Je ne vois pas d’autre solution. Sans Lui, nous ne pouvons rien faire. Nous ne sommes pas (ou ne devons plus être, nos désirs, nos propres façon de voir, etc.), c’est lui qui EST et qui doit Être. Il doit vivre au travers de nous, c’est ce qu’il veut.
C’est au contact de Jésus (avoir conscience du Seigneur) que les points retournent sur les i, que tout ce qui doit changer change, que le péché, la chair, n’a plus de pouvoir sur nous, que tout ce qui doit évoluer évolue, ou est mieux abordé.
C’est en ayant conscience de Lui (par la foi, car on ne le voit pas avec les yeux) qu’on marche EN LUI. C’est ainsi aussi qu’on ne rate pas le coche (que lui-même conduit).
« Ainsi donc, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez en lui, Etant ENRACINÉS et FONDÉS EN LUI (!), et affermis par la foi, d’après les instructions qui vous ont été données, et abondez en actions de grâces. » (Colossiens 2: 6-7)
Il continue, pour être plus clair et pour parler des stratagèmes qui font marcher par la chair et non par l’Esprit (marcher par l’Esprit = marcher EN Jésus): « Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, S’APPUYANT sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et NON SUR CHRIST.
L’Esprit fait tout, Jésus fait tout, il n’agit pas « des fois ».
La défaillance se trouve de notre côté: on cesse « des fois » de marcher par l’Esprit (et par la foi, puisqu’on ne voit pas), et on a l’impression que c’est normal. Mais ça ne l’est pas, c’est Anormal.
Bien sûr encore, la Parole de Dieu et l’action de l’Esprit vont ensemble (Des passages qui y référent se suivent en Jean 14). J’ai connu quelqu’un qui se faisait tourmenter par les démons, et le Seigneur a fait savoir que cela cesserait s’il était enseigné en profondeur. Et c’est exactement ce qui s’est produit. C’est donc que le diable compte sur l’ignorance pour agir, de même que Dieu a aussi besoin de la connaissance (qu’il peut certes donner lui même, sans aucun intermédiaire) pour agir. Ainsi l’Esprit enseigne, mais il se sert aussi de certaines personnes pour en enseigner à d’autres.
Tour cela c’est Jésus qui le fait. Que rien ne nous détourne de lui. Jésus n’apporte pas de remède… IL EST le remède.
« Et abondez en actions de grâces » (preuve encore que l’on a conscience de lui, en tout et pour toutes choses).
Je te rends grâces Seigneur Jésus Christ, notre Seigneur et notre Sauveur. Aie pitié de nous, merci d’avoir eu et d’avoir encore pitié de nous. Merci d’être avec nous tous les jours jusqu’à la fin du monde. Merci de nous permettre d’avoir TOUT pleinement en Toi.
Merci pour ce que tu es, que je ne t’oublie jamais, que je n’oublie jamais d’où tu m’as tirée et de quoi tu m’as fait échapper. Merci pour toutes les fois où tu mes supportes et me pardonnes. Merci, Merci, Merci, mon Dieu et mon Amour, mon Espérance. Merci, pour ton Esprit, qu’il ne manque plus jamais. Merci, merci, merci, MERCI MON JESUS!!