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Je vous partage la lettre d’une professeur qui vient de descolariser sa fille
Ceci suite aux mesures prises et même amplifiées
Dans l’établissement qui la recevait……
À méditer

Je partage ici la lettre de déscolarisation de ma fille.
Depuis que nous avons pris cette décision, elle ne s’est jamais sentie aussi légère, joyeuse et enthousiaste. Elle s’était peu à peu habituée à tolérer l’intolérable.
Le 1er novembre 2020
À l’attention de M. , Principal du collège Albert Camus de Gaillac,
Monsieur,
En tant que mère de Marie M., née le , et inscrite dans votre établissement en classe de 5ème D, je vous annonce qu’elle quitte votre établissement.
Je vous invite donc à signaler à l’Académie que ma fille n’est plus sous votre responsabilité.
J’ai personnellement été professeur de Lettres classiques pendant 16 ans, aussi jamais n’aurais-je pensé être contrainte ainsi de retirer ma fille de l’enseignement public français.
Je n’arrive pas à concevoir comment vous-même et le personnel enseignant pouvez, depuis juin mais plus encore depuis la rentrée de septembre, tolérer et cautionner de tels dysfonctionnements et maltraitances graves au sein de votre établissement.
Avez-vous oublié tous les principes et idéaux qui étaient les vôtres lorsque vous vous êtes engagé dans cette profession ? Avez-vous oublié toute conscience personnelle ?
Comment pouvez-vous oser convoquer une enfant dans votre bureau parce qu’elle a eu l’audace de manger à la cantine à côté d’une amie ?
Comment pouvez-vous tolérer qu’une professeur (je ne citerai aucun nom ici) se mette à hurler de manière hystérique lorsqu’elle s’aperçoit qu’un élève a le masque sous le nez ?
Comment pouvez-vous tolérer que certains professeurs interdisent aux élèves de se moucher ?
Comment pouvez-vous tolérer qu’un élève se fasse exclure d’un cours parce qu’il a tenté à plusieurs reprises de respirer un peu en glissant le masque sous le nez ?
Comment pouvez-vous tolérer qu’un élève se fasse disputer et accuser de faire des histoires quand il se trouve avoir des vertiges à cause de de l’hypoxie générée par le port du masque ?
Comment pouvez-vous tolérer qu’une professeur réponde à la question d’un élève : « Tu n’as pas à discuter de décisions qui sont prises ailleurs. »�Le rôle du personnel enseignant est normalement d’apprendre aux jeunes à penser par eux-mêmes.
Comment pouvez-vous tolérer qu’une professeur fasse exprès de rentrer brutalement dans les vestiaires et de leur hurler dessus lorsqu’elle voit des élèves sans masque ? (Avez-vous déjà essayé de vous déshabiller sans enlever votre masque ??)
Comment pouvez-vous tolérer qu’une professeur ose dire à ma fille que ce n’était pas son masque qui l’empêchait de respirer, mais qu’elle « avait un problème au cerveau »?
Comment pouvez-vous tolérer qu’une professeur l’accuse pendant dix minutes devant toute la classe d’être potentiellement la cause de la future mort de sa famille ?
Comment pouvez-vous tolérer que l’infirmière du collège passe régulièrement dans les classes, pour leur dire :
– Qu’ils ne doivent pas faire de câlins en famille.
– Qu’ils ne doivent pas s’approcher des personnes de leur famille, « même à un enterrement » (!!!)
– Qu’ils peuvent être responsables de la mort de leurs grands-parents s’ils n’obéissent pas aux consignes.
Etc, etc.
Comment pouvez-vous tolérer que certains élèves se comportent en délateurs et petits kapos entre eux, avec la bénédiction des adultes les entourant ?
Je pourrais malheureusement continuer encore longtemps, ce ne sont là que quelques échantillons du tourbillon de folie où vous avez choisi d’amener votre établissement.
Comment les adolescents que vous êtes censés entourer et accompagner peuvent-ils se développer psychiquement harmonieusement dans te telles conditions ?
Comment peuvent-ils continuer efficacement leurs apprentissages dans la sérénité et l’enthousiasme dans de telles conditions ?
La multiplication des dysfonctionnements graves et de la maltraitance font que ma fille est actuellement en phobie scolaire, alors qu’elle appréciait grandement avant autant l’école primaire que le collège, et se réjouissait d’y aller.
D’autre part, le port du masque permanent lui cause de graves troubles physiologiques.
Il ne lui est donc plus possible, dans l’état actuel des choses, de continuer sa scolarité dans le cadre d’un collège.
Ma lettre pourrait être encore bien plus longue :
Je pourrais vous rappeler qu’aucune étude internationale n’a démontré une quelconque utilité au port du masque.
Je pourrais vous rappeler que les études internationales sont unanimes : les enfants et adolescents ne sont ni contaminés, ni contaminants du SARS COV 2.
Je pourrais vous rappeler que la létalité du covid 19 est celle d’une grippe moyenne, pas plus.
Je pourrais vous rappeler qu’un traitement simple, très peu cher et efficace existe, et que par conséquent aucune psychose n’est nécessaire.
Je pourrais vous rappeler qu’aucune surmortalité nationale, ni internationale n’existe.
Je pourrais vous rappeler que, parmi les morts du Tarn, seuls 0,6% sont des morts déclarés COVID.
Je tiens à votre disposition différents liens si cela vous intéresse.
L’histoire jugera le comportement de tous les fonctionnaires ayant choisi d’être complices de la mise en place de ce régime totalitaire.
Auriez-vous imaginé, il y a un an seulement, pouvoir recevoir une telle lettre ?
Pour le peu que j’ai pu vous rencontrer l’année dernière, vous m’avez toujours semblé quelqu’un de compétent et d’humain, ayant à cœur de faire votre travail au mieux avec les adolescents dont vous êtes chargé.
J’imagine fort bien les pressions et obligations que vous avez à subir. Mais le devoir de chaque citoyen, d’autant plus en ces moments sombres, est d’agir en respectant ses principes moraux. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons aller de l’avant.
Je vous laisse devant votre conscience.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments citoyens.