Transmis par Elisabeth777
Les expériences de conversion sont souvent riches en émotions, parce qu’elles sont nouvelles et si incroyablement spéciales. Le changement qui se produit dans notre âme est si soudain qu’il peut complètement nous submerger. Il est merveilleux d’être soudainement détourné du péché et de l’esclavage, et d’aller vers une vie entièrement nouvelle en Christ.
Le début de notre croissance spirituelle peut être comparée à un enfant qui apprend à marcher. C’est merveilleux et excitant quand un enfant fait ses premiers pas. Papa et maman sourient en le pressant : « Aller, viens, tu peux le faire ! » Sur ses petites jambes flageolantes, il fait deux pas, trois pas et il se retrouve par terre. Immédiatement, il est soulevé dans les bras et complimenté. Ses frères et sœurs l’encouragent : « grand garçon. » Il est le centre de l’attention générale et finalement, quand il arrive à traverser la pièce, tout le monde applaudit. Quelle expérience riche en émotion cela doit être pour lui.
Mais rapidement, le bébé n’est plus le centre d’attention. A présent, quand il tombe, il se relève tout seul et parcourt la maison, faisant le bazar. Il tire sur les plantes, traîne des pots et des casseroles, sort les vêtements des tiroirs. Et on le punit pour qu’il apprenne. Soudain, les choses ne sont plus aussi excitantes pour lui. Ses premiers pas étaient marqués par le rire et la joie, mais à présent, le fait de marcher n’est plus aussi spectaculaire ni riche en émotions.
Il en est de même pour ta croissance spirituelle. Lorsque tu étais un bébé dans le Seigneur, tu ressentais que Dieu t’accordait une attention toute spéciale. A chaque fois que tu tombais, Il était là pour te relever.
Mais, comme l’écrit Paul, tu n’es pas destiné à rester un enfant pour toujours. De la même façon qu’un bambin apprend qu’il ne faut pas aller sur la route, tu apprends à ne pas marcher dans les feux spirituels. A présent, à chaque fois que tu tombes, tu regardes autour de toi pour voir si quelqu’un est là pour te relever, mais il n’y a personne.
Dieu est en train de t’apprendre à te baser sur Sa Parole, à marcher par la foi et à ne plus ramper comme un bébé.
« Soyez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés ; et marchez dans l’amour, de même que le Christ nous a aimés et s’est livré lui-même à Dieu pour nous en offrande et en sacrifice comme un parfum de bonne odeur » (Éphésiens 5:1-2).
bonsoir et que Dieu bénisse abondamment chacun ici. Si j’interviens sur ce sujet c’est en raison d’une chose qui m’est arrivée et ici ce témoignage peut permettre à chacun de regarder un peu plus loin , ici selon ce que Dieu lui dira sur ce sujet
J’ai pour loisirs et même manière de prier la peinture . Lorsqu’on peint,on apprend toujours beaucoup en imitant les grands peintres renommés
imiter pour apprendre,imiter pour copier ne sont pas tout à fait » le même objectif »
dans le premier cas , l’imitation est une écoute , un regard, une obéissance , une pédagogie
dans le second cas , l’imitation peut devenir facteurs de fraudes , d’usurpations, de » faux » donc de vols , de mensonges ( les faux billets imitent les vrais mais volent et trompent les gens )
le spécialiste de l’imitation peut être le diable donc ici attention aux faux » Jésus » qui ont tout en » apparence du vrai » mais tels le font les faux billets vous trompent et vous volent
un jour , alors que j’étais encore dans l’église catholique, j’avais été » surprise » de voir des livres au nom d’imitation de Jésus Christ »
Le peu , je dis bien le peu que j’aie parcouru ce livre, on pouvait avoir de sacrés frissons en se demandant quoi
du sado -masochisme ? une sorte de gloire de la souffrance afin de » ressembler au Christ par tel renoncement , tel sacrifice , telle humiliation , tel souffrance acceptée pour s’unir au Christ pour » la rémission des péchés et j’en passe
Désolée mais ici pour faire simple et bref ,j’appelle cela de la manipulation faite par un » maître » dans ce domaine d’abus spirituels , hélas qui ici oublient la perfection ,l’infinie perfection du sacrifice de la Croix
donc un jour alors que l’une de mes amies évoquait ce sujet » d’imiter le Christ » en tout point , je lui ai répondu
Je préfère être moi- même , telle que je suis et non dans une comédie
par contre si par imiter j’entre dans une pédagogie , c’est différent
trés différent
je ne cherche pas à reproduire pour faire » comme » car si j’y prétendais , je serais sans nul doute orgueilleuse
je ne cherche pas à faire » comme » mais à être reprise , à être façonnée , ce qui est différent
si par imitation , je suis invitée à regarder et à écouter; il me reste la liberté totale de me servir d’outils pour créer à mon tour ou celle de reproduire à l’identique
l
Mais à force , je réalise que Dieu nous libère d’être des modèles qui copient et copient
Dieu préfère nous sanctifier en nous demandant juste de suivre Jésus et de regarder à ce qu’il fat et à écouter ce qu’il dit
afin justement de ne pas copier mais d’être créateurs quelque part , des collaborateurs de sa création