Transmis par Elisabeth777
« Il y a un fleuve dont les ruisseaux réjouissent la ville de Dieu, le saint lieu des demeures du Très-haut. Dieu est au milieu d’elle ; elle ne sera pas ébranlée. Dieu la secourra au lever du matin » (Psaumes 46:4-5 version Darby).
Oui, ce fleuve, c’est Jésus et Sa présence. Au moment où tu déposes tes doutes et tes frayeurs et que tu cries : « Seigneur, je crois et j’espère en Toi, d’une abondante espérance », tu seras transplanté sur les rives de ce fleuve par la puissance du Saint-Esprit.
La raison pour laquelle il est tellement important de prendre racine profondément en Dieu, c’est parce que le pire est encore à venir!
« Si tu cours avec des piétons et qu’ils te fatiguent, comment pourras-tu lutter avec des chevaux ? Et si tu ne te sens en sécurité que dans une région paisible, que feras-tu sur les rives tumultueuses du Jourdain ? » (Jérémie 12:5).
Les temps que nous vivons sont supposés être des temps agréables. Nous vivons sous une petite averse printanière par rapport à la tempête qui s’annonce. Les temps que nous vivons sont un véritable jeux d’enfant à côté des troubles qui viennent. Tu penses peut-être que tu traverses quelque chose de plutôt affreux, mais c’est paisible en comparaison de la détresse qui va bientôt s’abattre sur la Terre !
Nous allons avoir besoin d’être très profondément enracinés ! Si tu ne puises pas ta force en Lui aujourd’hui, tu ne pourras jamais tenir quand de terribles ténèbres couvriront la Terre. Toi et moi, nous sommes testés en ce moment par de « légères difficultés » (2 Corinthiens 4:17), afin de nous conduire vers le Seigneur, pour que nous creusions profondément jusqu’au secret réservoir de vie.
» Béni soit l’homme qui fait confiance à l’Éternel… Il ressemble à un arbre planté près de l’eau et qui étend ses racines vers le cours d’eau : il ne s’aperçoit pas de la venue de la chaleur et son feuillage reste vert. Lors d’une année de sécheresse, il ne redoute rien et il ne cesse pas de porter du fruit » (Jérémie 17:7-8).
Merci Seigneur de nous apprendre, de nous entrainer, de nous traîner…
à faire la course avec les chevaux,
à nous sentir en sécurité dans la mer agitée,
à laisser la plante que nous somme s’enraciner sur une terre exposée à tous les vents…
Alors quand viendra la course contre les lions et toutes les bêtes sauvages nous saurons que assis sur le Lion de la tribu de Judas, nous ne craignons rien. La victoire est à nous.
Quand viendront les tsunamis, nous saurons que notre Père commande aux vents et ils lui obéissent, aussi notre coeur sera en paix.
Quand viendront la foudre, les ouragans, plantés en celui qui ne dort ni ne sommeil, nous pourrons nous prosterner et dire avec joie : que tes oeuvres sont grandes O Eternel et tes voies si parfaites.
Le pire et des tempêtes se produisent souvent depuis la nuit des temps. Et on attend toujours celui qui y mettra un terme ! . . .
@Barathe: Voilà un commentaire d’un goût étrange, pour ne pas dire douteux. L’article nous alerte simplement sur le fait que des temps de plus en plus difficiles s’annoncent pour les chrétiens, ce que l’actualité confirme (demandez aux chrétiens syriens ou irakiens!). Qu’il y ait eu des persécutions épouvantables et récurrentes dans l’histoire de l’Eglise est exact; il n’en reste pas moins qu’elles ont lieu aujourd’hui à l’échelle planétaire, et que se réfugier ailleurs sera une solution de moins en moins envisageable pour les victimes: les terres de liberté se font rares.
Quant à la seconde phrase, que sous-entend-elle? En tout cas, elle rappelle cette prophétie de II Pierre 3, 4: « Ils disent: où est la promesse de son avènement? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création. »