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Même quand les médias s’agitent, je ne suis pas très motivé pour vous parler des « fausses alarmes ».
C’est pourquoi je suis resté muet sur la variole du singe (« Mpox »).
Il était évident pour moi que le soufflé allait retomber rapidement (ce qui est en train d’arriver).
Je vous donne un seul chiffre.
Cette année, environ 500 personnes sont mortes du Mpox en République démocratique du Congo1.
Mais chaque année, 25 000 personnes meurent du paludisme dans ce même pays2.
Or, en Occident, quand on attrape le paludisme, on n’en meurt pas.
Donc, il est absurde de s’alarmer ici parce que des personnes meurent du Mpox dans un pays en proie à la malnutrition et au sous-développement.
De plus, même en Occident, cette variole du singe n’affecte pas tout le monde – loin de là.
Je vous cite le bilan de Santé publique France au sujet de la minuscule épidémie de monkeypox de 20223 :
« 1 567 cas confirmés ont été recensés en France.
Tous les cas recensés à ce jour (sauf 9) sont des adultes de sexe masculin.
96 % des cas pour lesquels l’orientation sexuelle est renseignée sont survenus chez des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH). »
Parmi les cas pour lesquels l’information est disponible, 74 % déclarent avoir eu au moins 2 partenaires sexuels dans les 3 semaines avant l’apparition des symptômes.
Parmi les cas investigués, 78 % ont présenté une éruption génito-anale. »
Et sur ces 1567 cas recensés, il y a eu 30 hospitalisations et zéro mort.
Zéro mort, alors même que des hommes au système immunitaire défaillant (sida) ont probablement été touchés par cette maladie.
Alors pourquoi l’OMS a sonné l’alerte ?
Officiellement, parce que le virus a « muté ».
En réalité, les modes de transmission n’ont pas vraiment changé.
La preuve : une étude récente en République démocratique du Congo a montré que 90 % des cas hospitalisés étaient liés à des relations sexuelles avec des prostitués (hommes et femmes) dans de « mauvaises conditions d’hygiène »4.
Bref, il n’y avait strictement aucune raison d’inquiéter la population mondiale.
On est clairement dans une forme de « pornographie de la peur » (fear porn), comme disent les Américains.
À mes yeux, cette histoire ne fait que confirmer l’état de corruptionavancé de l’OMS et des institutions de santé occidentales.
La preuve avec trois titres de presse datant du mois d’août.
(Il faut simplement savoir que la firme pharmaceutique Moderna, bien connue pour son « vaccin » contre le Covid, a aussi un vaccin à ARN messager contre le Mpox dans ses tuyaux5).
1er août :
14 août :
16 août :
Bref, ces histoires de gros sous ne m’intéressent plus tellement.Je les ai déjà analysées en détail dans mes livres Big Pharma démasqué ou Antivax toi-même, et il n’y a malheureusement rien de nouveau sous le soleil.
Ce qui m’intéresse davantage, désormais, c’est la santé, la vraie.
Et j’aimerais votre avis sur la suite.
J’ai dans mes cartons encore plusieurs lettres importantes sur la vitamine C.
Je vous dois notamment ma recommandation « finale » sur la dose quotidienne à prendre au long cours (c’est un sujet beaucoup plus complexe qu’il n’en a l’air, raison pour laquelle je prends mon temps : je tiens vraiment à avoir « tout lu » avant de vous conseiller quoi que ce soit).
À moins d’une récrimination générale, vous ne couperez pas à ces lettres – la vitamine C est trop importante pour que j’abandonne ce sujet en cours de route.
J’ai aussi plusieurs sujets en tête, sur lesquels il me tarde d’enquêter.
Je pense par exemple à la mélatonine.
J’ai déjà collecté beaucoup d’études sur ses effets très impressionnants (y compris contre le cancer !), et j’ai sur mon bureau un livre intrigant mais dont je n’ai lu que le début, « Le miracle de la mélatonine ».
Même chose pour l’iode : mon ami le Dr Vincent Reliquet a publié récemment un livre passionnant sur ce minéral sous-estimé.
À l’en croire, certaines personnes pourraient retrouver une santé éclatante en avalant 10 à 100 fois la dose quotidienne d’iode… mais je préfère enquêter en profondeur avant de recommander de tels dosages.
Un autre sujet que j’aimerais étudier un jour est celui des parasites.
La découverte de l’efficacité de l’ivermectine contre le Covid a confirmé que les antiparasitaires ont des vertus insoupçonnées.
Il se pourrait même que l’ivermectine ait des effets majeurs contre le cancer – et cela semble être le cas, aussi, d’autres médicaments antiparasitaires comme le mebendazol, le fenbendazol ou l’albendazol.
Et puis il y a des faits fascinants et peu connus sur les parasites… comme le fait qu’ils semblent se reproduire au moment de la pleine lune, ce qui en fait un moment particulièrement adapté pour se « vermifuger ».
Voilà quelques-uns des sujets que j’ai en tête pour de futures enquêtes.
De façon générale, je reste à l’affût des remèdes « miracles » peu ou pas assez connus, comme le chlorure de magnésium ou les thérapies par les lumières rouges.
Est-ce que ce « programme » vous convient ?
Si oui, dites-le moi !
Si non, dites-le moi aussi !
Avez-vous des sujets particuliers qui vous tiennent particulièrement à cœur ?
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