De Jérusalem,
C’est assez incroyable comme les gens s’acharnent à prouver que rien ne va en Israël, comme s’ils y trouvaient un certain plaisir. Évoquant le vaccin, certains journaux ont même titré « Une nouvelle shoah !… ». Et ces infos bien sûr se propagent comme une traînée de poudre, y compris au travers de ceux disant aimer et soutenir Israël.


Que l’on soit pour ou contre le vaccin, quelle qu’en soit la raison, nous devons mesurer nos paroles. Avons-nous le droit de condamner avec tant de violence l’action du gouvernement israélien pour essayer de sortir son pays de la situation sanitaire qui frappe actuellement toutes les nations ?
Comment pouvons-nous nous permettre de comparer ce gouvernement aux dirigeants nazis ? Et pourtant, en propageant ce genre de nouvelles, c’est bien ce que certains font !

L’État hébreu, qui a déjà vacciné près de la moitié de sa population, retrouve progressivement une vie normale. Salles de sport, spectacles, et bientôt restaurants… Un « retour à la vie », dira le blogueur Julien Bahloul qui témoigne depuis Tel-Aviv au micro d’Europe 1, du soulagement de retrouver petit à petit la vie d’avant (europe1fr).

La bataille contre ce virus a également permis à Israël de trouver des médicaments « made in Israel » – les chercheurs israéliens ont déjà conçu 2 traitements.
– Mis au point dans le laboratoire du professeur Nadir Arber à l’hôpital Ichilov de Tel Aviv, l’EXO-CD24 guérit 96% des patients (i24news).
– Il existe également ce médicament expérimental, l’Allocetra, développé à l’hôpital Hadassah de Jérusalem. Yair Tayeb, un patient guéri de 49 ans, inspecteur dans le bâtiment, a évoqué sa sortie de l’hôpital trois jours seulement après avoir pris le médicament. « Je ne pouvais pas respirer et je pouvais à peine parler. J’étais dans un état très grave », a expliqué Tayeb. Environ 2 heures après avoir pris l’Allocetra, il a ressenti un changement. « On m’a administré le médicament. Et soudain, 2h après, j’ai ressenti quelque chose d’étrange au plus profond de mon corps. J’ai arrêté de tousser, ma respiration a commencé à se calmer, je me suis senti mieux. J’ai arrêté de transpirer. Je ne pouvais pas y croire, j’étais si heureux », a-t-il raconté (timesofisrael).

Haman mis KO par une jeune princesse

La fête de Pourim tombe à point nommé, alors que d’un côté, les ennemis ou « fâcheux consolateurs » selon le mot de Job, calomnient Israël, et de l’autre – les mollahs – déclarent tranquillement qu’ils vont détruire Israël par le feu nucléaire.

Haman aura tout essayé pour détruire le peuple juif à l’époque de la perse antique. Malheureusement pour lui, il a trouvé en face de lui un Mardochée et sa nièce Esther, déterminés à défendre coûte que coûte leur peuple.

Esther signifie « caché, dissimulé » en hébreu. Cela signifie qu’il y a des choses cachées dans la meguila d’Esther.

Pour ceux qui doutent de la vérité de cette histoire, il y a ce mystérieux élément qui nous ramène à l’époque du jugement des nazis à Nuremberg, en 1946. Julius Streicher, un des sbires d’Hitler, s’était écrié avant d’être pendu : « Pourim 1946 ! » – Dix de ces criminels nazis furent jugés et pendus.

Or, nous lisons dans le livre d’Esther que la reine Esther avait demandé au roi de pendre les dix fils d’Haman… qui avait déjà été exécutés (Esther 9 :13). Pourquoi une telle demande, les fils d’Haman n’étaient-ils pas déjà morts ? Quel est le sens caché de cette requête ?

Un autre mystère s’ajoute alors au premier : dans les lettres écrites concernant les fils d’Haman, il y a des lettres plus ou moins grosses, ce qui s’appelle pour des spécialistes, des anomalies prophétiques… et la valeur numérique de ces lettres correspond au bout du compte… à la date : 1946. Etonnant et magnifique ! (lire torah-box).

Que tous les fils d’Haman se reconnaissent, parmi tous les antisémites/antisionistes ou les « médecins de mort », toujours selon Job. Car, « Il ne sommeille ni ne dort, le Gardien d’Israël » (Ps 121). Dans tous les cas, avec l’aide de Dieu, Israël en sortira gagnant.

‘Hag pourim samea’h à tous les amis juifs,
Gérald & Sophie Fruhinsholz et l’équipe de Shalom Israël