Savez-vous bien que Dieu exauce les prières ?
La semaine dernière, il pleuvait abondamment dans mon coin de Tregor sur la baie de Morlaix.
De retour dans les Luxembourg, il y pleut tout autant.
Eh bien, voilà ! Au printemps, tandis que je revenais de Suède, j’entendis une de ces « prophétesses » de la météorologie d’une radio belge annoncer sans ciller qu’il y aurait un été torride et sec comme jamais. Bouillant de rage en oyant ces sottes présomptions, j’élevai aussitôt une prière à Dieu depuis ma chapelle roulante: « Papa, envoie-nous d’abondantes pluies diluviennes cet été ! »
Alors, je jubile de voir la confusion chez les païens. En Bretagne, je les entendais annoncer sur France culture des températures extrêmes en Provence, jusqu’à 37 degrés à Nice ! La belle affaire ! Quand je fis visiter Avignon à ma femme il y a une douzaine d’années, il y faisait justement 37 degrés !!! Et vous savez ce qui se passe en Corse, en Italie, en Grèce ? Eh bien, il y a des incendies de forêts ! Incroyable, inouï ! Je n’ai pas oublié les végétations calcinées par le feu la première fois que je me rendis en Corse en 1976, ni les incendies que je vis se déclencher sur une île grecque en 1993 puis dans le Tyrol du sud. Des « Canadair », j’en avais déjà vu en Provence en 1968 !
Ah oui, j’oubliais: le feu est plus chaud et brûle plus depuis le « réchauffement climatique » …

Le climat est sous le contrôle de Dieu, comme absolument tout le reste.

Ce qui détraque le climat, cela a toujours été, est toujours et sera toujours le péché.

« La colère de l’Éternel s’enflammerait alors contre vous. Il fermerait le ciel et il n’y aurait pas de pluie. La terre ne donnerait plus ses produits et vous mourriez bien vite dans le bon pays que l’Éternel vous donne » (Deuteronome 11:17).

« Le ciel sur ta tête sera d’airain et la terre sous toi sera de fer » (Deut. 28:23)

« Et moi, je vous ai refusé la pluie, Lorsqu’il y avait encore trois mois jusqu’à la moisson; J’ai fait pleuvoir sur une ville, Et je n’ai pas fait pleuvoir sur une autre ville; Un champ a reçu la pluie, Et un autre qui ne l’a pas reçue s’est desséché » (Amos 4:7).

« Je la réduirai en ruine ; elle ne sera plus taillée, ni cultivée, les ronces et les épines y croîtront et je donnerai mes ordres aux nuées afin qu’elles ne laissent plus tomber la pluie sur elle » (Esaïe 5:6).

Et qu’est-ce qui provoqua la longue sècheresse du temps du roi Achab, n’est-ce pas le fait qu’Israël s’était détourné du vrai Dieu pour rendre culte aux faux dieux, baal et astarté, de la reine libanaise (sidonienne) Jezabel ?

Et le fait qu’on trouve maintenant des buddah dans tous les coins dans des pays qui, sur près de soixante générations, avaient perpétué l’Alliance conclue avec le Dieu d’Abraham pour tous les Francs par le roi Hlodovic (Clovis) n’aurait pas de conséquence ?
Le fait que les lois multiséculaires qui sacralisaient la vie et la famille, don de Dieu, ont été démantelées pour légitimer la répudiation mutuelle, la pornographie, l’avortement, le mariage pour tous, l’adoption pour tous, la gestation pour tous et jusqu’à la mort pour tous, Dieu y serait indifférent quand la Bible nous dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et toujours ? C’est un des frères de Jésus, Juda, qui nous a mis en garde que la grâce de Dieu n’autorise point la dissolution (verset 4).

« Non, la main de l’Éternel n’est pas trop courte pour sauver, Ni son oreille trop dure pour entendre. Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face Et l’empêchent de vous écouter. Car vos mains sont souillées de sang, Et vos doigts de crimes; Vos lèvres profèrent le mensonge, Votre langue fait entendre l’iniquité. Nul ne se plaint avec justice, Nul ne plaide avec droiture; Ils s’appuient sur des choses vaines et disent des faussetés, Ils conçoivent le mal et enfantent le crime. Il couvent des oeufs de basilic, Et ils tissent des toiles d’araignée. Celui qui mange de leurs oeufs meurt; Et, si l’on en brise un, il sort une vipère. Leurs toiles ne servent point à faire un vêtement, Et ils ne peuvent se couvrir de leur ouvrage; Leurs oeuvres sont des oeuvres d’iniquité, Et les actes de violence sont dans leurs mains. Leurs pieds courent au mal, Et ils ont hâte de répandre le sang innocent; Leurs pensées sont des pensées d’iniquité, Le ravage et la ruine sont sur leur route. Ils ne connaissent pas le chemin de la paix, Et il n’y a point de justice dans leurs voies; Ils prennent des sentiers détournés: Quiconque y marche ne connaît point la paix. – C’est pourquoi l’arrêt de délivrance est loin de nous, Et le salut ne nous atteint pas; Nous attendons la lumière, et voici les ténèbres, La clarté, et nous marchons dans l’obscurité. Nous tâtonnons comme des aveugles le long d’un mur, Nous tâtonnons comme ceux qui n’ont point d’yeux; Nous chancelons à midi comme de nuit, Au milieu de l’abondance nous ressemblons à des morts. Nous grondons tous comme des ours, Nous gémissons comme des colombes; Nous attendons la délivrance, et elle n’est pas là, Le salut, et il est loin de nous.Car nos transgressions sont nombreuses devant toi, Et nos péchés témoignent contre nous; Nos transgressions sont avec nous, Et nous connaissons nos crimes. Nous avons été coupables et infidèles envers l’Éternel, Nous avons abandonné notre Dieu; Nous avons proféré la violence et la révolte, Conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge; Et la délivrance s’est retirée, Et le salut se tient éloigné; Car la vérité trébuche sur la place publique, Et la droiture ne peut approcher. La vérité a disparu, Et celui qui s’éloigne du mal est dépouillé. -L’Éternel voit, d’un regard indigné, Qu’il n’y a plus de droiture » (Esaïe 59:1-15)

Ne croyez pas les malhonnêtes qui vous manipulent en disant que les températures sont les plus chaudes jamais enregistrées. Rappelez-vous donc que le thermomètre à mercure ne fut inventé qu’en 1724 et que cela prit encore beaucoup de temps avant qu’il y en eût assez et dans des dimensions les rendant assez maniables pour pouvoir procéder à des mesures nombreuses et significatives !

En fait, nous avons des documents qui attestent qu’il y a eu des périodes de dure sécheresse dans un passé relativement proche. Ce fut le cas, par exemple en 1540, au point que le lac de Constance n’était plus qu’une flaque d’eau, qu’il n’y avait plus de cataracte à Schaffhouse et que l’on passait à pied de Strasbourg à Kehl.

https://www.contrepoints.org/2020/08/02/213214-la-terrible-canicule-de-lete-1540

Et que se passait-il en ces temps ? Les hommes résistaient à la Parole de Dieu retrouvée qui les conviait à réformer une Église naufragée dans la superstition, la simonie et la prévarication. Et ceux qui recevaient l’amour de la vérité ne l’aimèrent toutefois pas au point de ne pas prendre le glaive dont beaucoup allaient périr aux quatre coins de l’Europe occidentale.

Il y eut pareillement des étés anormalement chauds et secs entre 1303 et 1306. Coïncidence ? N’est-ce pas à ce moment que régnait l’épouvantable criminel du nom de Philippe le bel ? Il fut le premier à violer la frontière tracée entre la France occidentale et la Lotharingie au traité de Verdun de 843 en annexant une partie du Duché de Bar qui était manifestement une terre de l’Empire. Il récidiva plus tard en s’emparant du Lyonnais. Il persécuta et dépouilla les Juifs de France, son zèle antisémite culminant en juin 1306 par un édit les expulsant du Royaume de France, annulant leurs créances et confisquant leurs biens. Le rapace fondit ensuite sur l’ordre du Temple. Bien que ses prédécesseurs n’eussent point tous été des parangons de vertu, on n’avait point vu encore un tel démon assis sur le trône de France (occidentale). D’ailleurs, il est, à juste titre, le premier roi maudit du roman historique de Maurice Druon.

Bien sûr que le climat va se réchauffer. C’est la quatrième coupe du jugement de Dieu: « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l’autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire » (Apocalypse 16:8-9).
Il ne s’agit pas de gaz carbonique ou de vapeur d’eau. Il s’agit du jugement d’une humanité qui, de plus en plus, hait Dieu et se vautre dans ce qu’Il dit abominable. Ne le savons-nous pas que nous sommes désormais pires que Sodome et Gomorrhe ?

Justement, non, ce ne sont pas des Bill Gates ou des Charles d’Angleterre qui vont « sauver le climat ». Voyez-vous, Andrew, le frère du roi allait sur la fameuse île de Jeffrey Epstein où se rendait aussi Bill Gates, et pas pour étudier la botanique.
Nous avons lu dans la Genèse de quelle manière les gens de Sodome et Gomorrhe avaient voulu montrer leur hospitalité aux anges hôtes de Lot. La lie pédocriminelle que nous appelons « élite » profane des enfants, puis, quand elle en a bien abusé, les recycle en magasins de pièces détachées dont les organes sont vendus à bon prix pour les transplantations qu’opère notre « médecine » de Frankenstein. Oui, pires que Sodome et Gomorrhe !

Pourquoi donc croyez-vous que déferlent sur le monde occidental, à partir notamment de cette OMS noyautée par Bill Gates, des programmes incitant à initier les enfants en maternelle à la masturbation et à favoriser les relations intimes des enfants avec les adultes ? Nous sommes dans un raz de marée de vices sans précédent qui est vomit par toute cette lie enténébrée que nos media putrides osent appeler « philanthropes ».

Savez-vous ce qui caractérisait les Samaritains ? Ils s’étaient fait leur soupe spirituelle, un peu de Dieu d’Abraham, un peu de tel faux dieu, de telle fausse déesse (2 Rois 17:25-41).
Eh bien, il en va malheureusement de même de la plupart des Chrétiens d’aujourd’hui. « Adultères que vous êtes! ne savez-vous pas que l’amour du monde est inimitié contre Dieu? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu. Croyez-vous que l’Ecriture parle en vain? C’est avec jalousie que Dieu chérit l’esprit qu’il a fait habiter en nous » (Jacob 4:4-5).

Le faux dieu des Chrétiens, c’est notamment cette idole païenne appelée « science ».
Comment voulez-vous qu’une connaissance soit sérieuse, soit crédible, lorsqu’elle ignore l’élément essentiel de la réalité: la volonté souveraine du Dieu créateur !
Cette imposture païenne, matérialiste, athée, transforme en absolu des choses qui ne sont que relatives et sur lesquelles Dieu intervient souverainement. Il a fait durer pour moi plus de cinq minutes une minute décisive. Il m’a abrité dans un bloc de béton pendant une tempête où il n’y avait eu d’abri ni avant, ni après. Il m’a montré, ainsi qu’à trois autres personnes, dont ma mère, une étoile très haut dans le ciel qui palpitait au rythme de cantiques qu’elles chantaient. Il m’a fait échapper à une collision frontale avec une voiture qui doublait à grande vitesse en troisième position. Que cette collision n’ait pas eu lieu était impossible sans Son intervention. Et je peux continuer la liste. Si je taisais ces évènements que j’ai vécus, je serais un menteur, comme ceux qui servent le diable, leur père.

Le principal sens de « sophia » en grec ancien n’est pas « sagesse » mais « science ». La science du monde n’est que folie aux yeux de Dieu (1 Corinthiens 3:19).