Dans deux précédentes lettres, je vous ai parlé de l’importance de la famille Rockefeller dans la mise en place de Big Pharma et des brevets qui rapportent gros.

Ceci sera ma dernière investigation concernant la toute-puissance Rockefeller sur le système de santé mondiale.

J’espère ne pas être censuré par Google ou Facebook, car ce que je m’apprête à vous dire est assez… bousculant.

Cela concerne directement qui vous êtes au plus profond de vous-même : la génétique (et les modifications génétiques qui sont à l’œuvre aujourd’hui).

Eugénisme, transhumanisme, naissance de bébés génétiquement modifiés… Tout cela fait également partie du cheval de bataille des Rockefeller.

Et cela ne date pas d’hier !

Des millions de dollars investis pour améliorer la « race humaine » aux Etats-Unis

1910.

Quelques mois avant la dissolution de la Standard Oil (l’entreprise de pétrochimie de John D. Rockefeller) et la création de la Fondation Rockefeller, un tout nouveau projet voit le jour :

L’Eugenics Record Office (ERO).

Son objectif : rassembler des données biologiques et sociales sur la population américaine, et devenir un centre de recherche sur l’eugénisme et l’hérédité.

Les Rockefeller financent le projet et il y a une chose particulièrement intéressante :

Leur budget est nettement supérieur à celui accordé à l’ensemble des autres recherches effectuées dans les grandes universités américaines.1

En politique, le mouvement eugéniste américain prend également de l’ampleur et influence de nombreuses lois telles que l’Immigration Act de 1924.

Celle-ci a par exemple pour conséquence :

  • La fermeture des frontières américaines aux juifs, aux arabes, aux asiatiques et aux Européens de l’Est.
  • La stérilisation de milliers d’Américains ayant des gènes considérés comme « défectueux » (personnes immigrées, handicapés…)2

À la suite du Rapport Flexner (voir ma précédente lettre à ce sujet), de nombreuses études eugénistes voient le jour grâce au financement de la Fondation Rockefeller dans les universités les plus prestigieuses telles que Stanford, Harvard, Yale, etc.3

Déjà à l’époque, plusieurs chercheurs trafiquent et mentent sur certaines données afin d’aller dans le sens des politiques eugénistes en cours.4

Tout ceci est déjà particulièrement choquant.

Mais le pire reste à venir.

Eugénisme pendant la Seconde Guerre Mondiale : quelle influence les Rockefeller ont-ils eu ?

Dans les années 1920, la Fondation Rockefeller injecte plusieurs millions de dollars pour développer des centres de recherche sur la biologie et la génétique humaine.

Aux Etats-Unis, mais aussi en Allemagne :

  • En 1926, la Fondation propose 4 millions de dollars à une centaine de chercheurs eugénistes allemands pour poursuivre leurs recherches ;
  • Jusqu’en 1939, les Rockefeller financent le Kaiser Wilhelm Institute for Psychiatry (institut en étroite collaboration avec les expérimentations faites à Auschwitz, et dont l’un des directeurs de recherche – Ernst Rüdin – a collaboré avec Hitler en matière de santé de la « race aryenne »).5,6
  • En 1929, c’est au tour de l’Institute for Brain Research d’être financé par la Fondation à hauteur de 317 000$ (l’objectif de ce centre était l’étude de la biologie de la « race allemande »).7

Pour des journalistes comme Edwin Black8, la Fondation Rockefeller a participé idéologiquement à la création de « la race aryenne » et aux expérimentations morbides réalisées dans les camps de concentration et d’extermination9.

Vous vous en doutez, il est aujourd’hui impossible de savoir ce qu’il s’est réellement joué dans les coulisses de l’Allemagne nazie et de la Fondation Rockefeller.

Ce qui est en tout cas factuel, c’est que les eugénistes américains et allemands ont étroitement collaborés et échangés dans l’entre-deux guerres, notamment grâce aux nombreux financements de la Fondation.

En témoigne d’ailleurs en 1933 :

  • La remise de prix à Harry H. Laughlin (le surintendant de l’Eugenics Record Office), pour ses travaux de recherche sur l’eugénisme et l’immigration par l’Université allemande Heidelberg10;
  • La loi de stérilisation allemande d’Hitler11, largement inspirée du modèle de l’Immigration Act américaine de 1924 (également impulsée par Laughlin).

À partir de 1939, la Fondation Rockefeller stoppe totalement ses financements et ses liens avec l’Allemagne nazie.

Néanmoins, un autre scandale se prépare pour les philanthropes… Celui de la syphilis au Guatemala.

Scandale de la syphilis au Guatemala : une Fondation philanthropique pas si éthique !

Entre 1946 et 1948, un programme américain expérimental inocule la syphilis à des centaines de personnes pour vérifier l’efficacité de la pénicilline sur les maladies sexuellement transmissibles.

Orphelins, prostituées, handicapés mentaux, soldats… Les institutions guatémaliennes donnent leur accord pour cette expérience. Pas les cobayes eux-mêmes.

À la tête de ces études, Thomas Parran, un officier du Service de Santé Publique américain et par ailleurs membre et administrateur de la Fondation Rockefeller.12

Des rapports d’études mentionnent le fait que des prostituées guatémaltèques auraient été contaminées en leur imprégnant un tampon de bactéries de blennorragie dans le sexe.13

Une fois infectées, on leur aurait demandé d’avoir des rapports sexuels avec plusieurs hommes à la chaîne, dont des prisonniers et des militaires. Aucun de ces « cobayes » n’auraient été averti de leur participation à ces études.14

Depuis 2015, un procès est en cours contre la Fondation Rockefeller, le groupe pharmaceutique Bristol Myers Squibb et l’Université John-Hopkins.15

Outre le scandale éthique énorme que cette affaire représente, les Rockefeller et le groupe pharmaceutique Bristol Myers Squibb sont accusés d’avoir « mis les intérêts et gains financiers de l’entreprise au-dessus de la vie et du bien-être des sujets d’essais guatémaltèques et de leurs partenaires sexuels, de leurs épouses, de leurs enfants et de leurs petits-enfants. »16

Tester des médicaments et faire des expériences eugénistes sur les plus pauvres : une aubaine courante pour Big Pharma !

En réalité, tester des médicaments sur des populations considérées comme « inférieures » ou dans des pays en développement fait partie des pratiques courantes de Big Pharma :

Une étude de 2009 a montré que plus d’1/3 des recherches financées en 2007 par les 20 plus grands labos pharmaceutiques américains ont été menés hors des Etats-Unis (essentiellement pour des raisons financières).17

Cette proportion ne fait qu’augmenter depuis, donnant lieu à des préoccupations éthiques, mais aussi financières (la plupart des pays où ces études sont réalisées n’ont pas les moyens de superviser ces recherches et de protéger la population « cobaye »).

Cela a notamment été le cas au Nigéria en 1997, lors d’une épidémie de méningite.

Pour tester l’efficacité de son nouvel antibiotique (Trovan), qui n’avait encore jamais été utilisé chez les enfants sous forme orale, Pfizer administre son nouveau médicament à une centaine d’enfants nigériens.

Il y a 2 gros problèmes à cela :

D’une part, Pfizer n’avait pas obtenu le consentement approprié des parents et des enfants participants à l’essai clinique.

Mais surtout, la firme n’a jamais été inquiétée pour le décès des 22 enfants morts à la suite de cette étude (le labo a réglé l’affaire en toute discrétion hors des tribunaux, en versant la somme de 175 000$ à chaque famille victime).18

Améliorer la génétique humaine et le progrès scientifique : à quel prix ?

Tout ceci montre encore une fois le rôle prépondérant de l’argent et des pratiques plus que douteuses dans le système de santé mondial mis en place par la famille Rockefeller.

Du côté de l’eugénisme, plusieurs millions de dollars sont injectés chaque année par les Fondation Rockefeller, mais aussi Bill et Melinda Gates dans des recherches supposées « améliorer » la génétique humaine et le progrès scientifique.

Ces dernières années, plusieurs projets transhumanistes ont vu le jour, comme :

  • La naissance des premiers bébés génétiquement modifiés en Chine finÀ2018 : les jumelles Lulu et Nana ont été « modifiées » afin de les rendre résistantes au VIH, leurs parents étant eux-mêmes touchés par ce virus.19

➡  À ce jour, l’essai semble être une catastrophe : la date de naissance des bébés aurait été falsifiée, le scientifique à l’origine de cette « évolution » serait assigné à résidence, et les chercheurs n’auraient aucune idée de l’éventuelle mutation des autres gènes des 2 jumelles.20

  • Le projet de « carnet de vaccination injecté sous la peau » au Kenya et au Malawi : financée par la Fondation Gates, et imaginée par le MIT, cette technologie permettrait d’avoir « une meilleure connaissance de l’historique vaccinal de la population dans des pays où les dossiers médicaux sont parfois inexistants ».21

➡ Sujet hautement sensible avec la crise du Covid, cette technologie permettrait à un simple smartphone proche de la peau de détecter votre information vaccinale.

Le projet le plus juteux, et le plus préoccupant, c’est bien évidemment celui des vaccins ARN injectés à des milliards de personnes à travers la planète ces 2 dernières années.

En plus d’avoir rapporté des milliards, plusieurs études semblent confirmer le fait que ces vaccins ARN s’intègrent bel et bien dans l’ADN humain et puisse le modifier.22

Des chercheurs suédois ont notamment montré qu’en seulement 6 heures, le message ARN présent dans les vaccins Pfizer/BioNTech était capable de s’infiltrer et d’altérer l’ADN humain.23

Et cela n’est malheureusement que le début des découvertes sur l’envers du décor des « vaccins » à ARN.

Je ne peux que vous recommander de vous informer régulièrement sur ces sujets sensibles, car ils peuvent vous toucher vous et vos proches.

Prenez soin de vous,

Gaspard Frey
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